Une boulangerie sandwicherie de Vénissieux a cessé « volontairement » de vendre des préparations contenant du porc. Ce n’est pas la première fois. Mais d’habitude les médias étouffent l’info.
Bienvenue dans l’émirat du Rhonistan
« Je baisserai définitivement le rideau dans deux mois. Sinon ils brûleront tout. (…) Après les différentes pressions pour faire du halal, je craque. Je refuse que l’un de mes salariés ou moi même risquent quoique ce soit (…) On ne veut plus de nous. Je ne déposerai pas plainte. Au revoir, ils ont gagné. »
Les propos initiaux du proprio sont clairs et nets, même si le lendemain, comme souvent les victimes sous pression, il se désolidarise de Reconquête! et du RN qui ont pris sa défense. Les barbus n’auront pas sa haine.
Bien entendu, des mahométans ont immédiatement allumé un contre-feu sur Internet. Les uns affirmant que la boulangerie devrait être fermée en raison de manquements à l’hygiène. D’autres, niant les faits et dénonçant le racisme et l’islamophobie. Les plus niais claironnant qu’il n’y aurait plus de problèmes, si tout le monde mangeait halal !
Le commerçant visé est conseiller municipal LR couilles molles d’une ville dirigée par la communiste Michèle Picard, qui a cédé son siège de députée au LFI Idir Boumertit. La rançon de la dhimmitude ? Cette édile est accusée d’arroser avec l’argent public des associations exotiques telles que Millî Görüş. Et d’avoir attribué 600.000 euros à un média local à sa dévotion. Aucun soutien donc à attendre de la mairie. Pas plus que du préfet qui fait la sourde oreille.
Heureusement, il n’y a pas toujours eu que des soumis dans l’administration
Une enquête récente (2021) de la Cour des comptes dénonçait le communautarisme religieux à Vénissieux, et tout particulièrement dans le quartier des Minguettes. Plus qu’un territoire perdu de la ripoublique. Déjà une enclave étrangère hostile régie par la charia.
Après avoir entendu divers acteurs locaux et nationaux, les juges de la rue Cambon fustigeaient la domination sans partage d’un communautarisme religieux que, jusqu’alors, les bien-pensants refusaient de voir. Au nom de l’irénique vivre-ensemble.
Étaient visés en premier l’impact de l’islam dans les collèges, et le rejet des enseignements « impies » assorti de menaces physiques contre les profs. Avec un argumentaire religieux rabâché contre la cosmogonie, les ères géologiques et l’apparition de la vie (selon eux, la terre plate n’a que 6000 ans), le darwinisme, l’égalité des femmes et des hommes.
Toute la science serait contenue dans le coran qui a tout prévu. Loin, très loin de la prétendue « exception andalouse » qui attribuait aux mahométans les connaissances pillées en Grèce, en Perse ou aux Indes, et colportées ensuite, figées, sans jamais les faire évoluer.
La Cour des comptes se référait à des documents du ministère de l’Intérieur énonçant que « depuis les années 1980, le quartier des Minguettes est devenu un bastion de l’islam fondamentaliste et, plus largement, du repli communautaire musulman. »
Le service de prévention du terrorisme de Beauvau présentait même au début des années 2000 le quartier vénissian comme un « sanctuaire du salafisme à surveiller tout particulièrement. »
Donc au sommet de l’État, on savait. On n’a pas l’excuse d’avoir été pris à l’improviste. Bien au contraire. Puisqu’on a tout fait pour accélérer l’implantation islamique en accordant des passe-droits, en plus des avantages sociaux sur l’attribution desquels il était préconisé de ne pas se montrer trop regardants.
De son côté, la préfecture du Rhône déplorait alors « un islam de plus en plus rigoriste remettant en question la place des femmes et la mixité dans l’espace public ». On peut supposer que, pour agir, le préfet attendait des instructions qui ne sont jamais venues…
Tous ces rapports ont été classés sans suite, pour ne pas donner prise aux accusations d’islamophobie
On savait. Comme les Français lucides qui, avant 1939, avaient lu « Mein Kampf ». Tout y était annoncé et minutieusement décrit. Les intentions belliqueuses et les victimes désignées. Pareil dans « Mein Korampf ». Mais on a préféré s’engourdir les méninges dans un mélange nauséeux de dissonance cognitive et de procrastination.
Les incompatibilités de l’islam avec la société française ont été reconnues il y a plus de trente ans par les services de l’État chargés d’assurer notre sécurité. Ces documents, loin d’inquiéter en haut lieu, ont incité nos pleutres gouvernants à céder chaque jour un peu plus de terrain aux islamistes afin, croyaient-ils, de préserver la paix civile.
Pourtant étaient pointés « des problèmes de comportement, la promotion d’un autre mode de vie, la multiplication des incidents quotidiens et des provocations avec les forces de l’ordre, un phénomène d’entre soi sur une base religieuse, un rejet sans concession des coutumes établies comme serrer la main pour se dire bonjour. »
Les « croyantes » apparaissaient de plus en plus marginalisées, un nombre croissant d’entre elles ne sortait plus sans leur chaperon. Avec pour corollaire des espaces publics qui se vident, une présence des hommes oppressante, des écoles désertées, l’emprise du ramadan toujours plus prégnante même sur les non-musulmans, des attestations de virginité pour les jeunes filles, ou des certificats pseudo-médicaux pour exemption des activités sportives.
Mais aussi le boycott de toute information sur l’éveil de la sexualité à l’adolescence et sur les sentiments pouvant lier une fille à un garçon et réciproquement. Sans oublier l’exigence de plages de prières tant au sein des entreprises et des administrations que des établissements scolaires.
Et on ne découvrirait tout ça que maintenant, après une histoire de quiche aux lardons qui aurait exaspéré des mahométans ? Tout était écrit noir sur blanc, il y a 30 ans. Officiellement. Et on n’a rien fait pour y remédier. Sinon expulser à grand renfort médiatique, deux ou trois imams radicaux. Qui, chassés par la porte, sont revenus par la fenêtre.
C’est ainsi que meurent un pays et sa civilisation, en se soumettant sans se battre aux diktats des allogènes
L’affaire de la quiche de Vénissieux est loin d’être unique. On ne compte plus les commerces « haram » fermés sous la pression des mahométans les plus fanatiques. Et rachetés par leurs coreligionnaires les plus pragmatiques. Cette gangrène gagne insidieusement le corps social depuis des décennies. D’autant mieux occultée qu’il est interdit de publier des statistiques ethniques ou religieuses. L’enquête doit donc se faire au cas par cas, en croisant les données sur une période élastique.
Tandis que les traîtres de la droite courbe comme les collabos islamo-gauchistes s’entendent pour nier le phénomène. La disparition progressive des boucheries charcuteries de quartier aurait pour cause l’augmentation des loyers commerciaux, le développement du véganisme et la concurrence des grandes surfaces. Lesquelles, pour la plupart, se sont mises au halal. Avec des étiquettes écrites en arabe.
Si certains Français remarquent la disparition des trois quarts des petits commerces alimentaires, et leur remplacement par des boucheries halal et des kebabs, c’est une impression erronée. Comme le sentiment d’insécurité et l’illusion du Grand remplacement. Des thèmes qu’il faut laisser aux fachos qui exagèrent tout. D’ailleurs, il n’y a qu’eux pour critiquer les transformations vestimentaires. Si élégantes et si discrètes.
La Cour des comptes osait il y a trois ans (qu’en serait-il aujourd’hui ?) constater « l’existence d’une visibilité de rupture avec la société et d’une affirmation de l’identité religieuse musulmane (port du voile, djellaba, kamis, etc.) ». En prétendant que cet accoutrement n’est pas celui traditionnel d’Afrique du Nord (tout dépend où…) mais une mode récente issue du courant ultraconservateur wahhabite d’Arabie Saoudite importé par les télévisions satellitaires. Comme si l’islam conquérant n’avait pas vocation universelle.
En janvier 2016, les pouvoirs publics avaient ciblé un certain « cheikh Abdelkader Bouziane » originaire de Saïda en Algérie, qui vivait en France comme au VIIe siècle. Pratiquant la polygamie, voilant entièrement ses femmes et les corrigeant quand il l’estimait nécessaire, il a prêché pendant vingt-cinq ans entre Villefranche-sur-Saône et Vénissieux, sans que les pouvoirs publics s’en émeuvent. Enracinant dans la tête des jeunes que son islam médiéval était le seul vrai islam.
Mais chut ! On pourrait vous prendre pour des islamophobes. Et vous jeter en prison comme au Britishstan (ex Angleterre).
Christian Navis
https://climatorealist.blogspot.com/
https://ripostelaique.com/la-viande-de-porc-bientot-interdite-en-france-des-mahometans-lexigent.html