L’affaire du gendarme tué à Mougins met la nation à mal et révèle ce que le pouvoir tente de cacher en permanence, alors que ce n’est plus possible : les méfaits d’une immigration de masse, avec des gens qui n’ont pas l’ombre d’une quelconque compatibilité avec la vie en Occident. Ils s’en sortent souvent avec une appréciation judiciaire du style « Il ne connaît pas nos codes », laquelle vient contredire une autre appréciation judiciaire ; « Nul n’est censé ignorer la loi ». Et cette loi a lentement glissé vers une ethnicisation de son application, devenue très différente selon l’origine ethnique et la couleur du délinquant. Ethnicisation également des commentaires de la presse, qui matraque des jours sur Nahel, la mort d’un jeune défavorablement connu des services de police, mineur, non encadré par ses parents, qui sont tout juste responsables de leur progéniture, et relativise à outrance la mort d’un gendarme, un fonctionnaire et un honnête homme, allant jusqu’à considérer ce qui a toute l’apparence d’un meurtre, comme un banal fait divers. Manque de chance pour le délinquant capverdien, des images de vidéosurveillance mettent à mal sa version du « je l’ai pas fait exprès, je ne l’ai pas vu ». Et donc quoi, il ne faudrait rien lui dire, puis qu’il ne l’a pas fait exprès ?
Ce chauffard multi-récidiviste a tout de même été mis en examen pour « meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique » et la qualification retenue est déjà bien loin du banal accident de la route. La question désormais, c’est de savoir s’il a volontairement ou non percuté le gendarme de 54 ans Eric Comyn. Il a ensuite été placé en détention provisoire, ce qui est la moindre des choses. On a vu des remises en liberté d’énergumènes d’importation pour des viols. Plus largement, ce qui arrive en France, on se demande dans quel autre pays c’est possible ?
Contrôlé positif à l’alcool au moment des faits, l’homme de 39 ans a déjà 10 mentions sur son casier judiciaire, la plupart pour des délits routiers, certes, mais tout de même. Comment peut ont être étranger, toucher certainement des allocations, avoir 10 condamnations, être en liberté sur le territoire français, sans être à minima sous contrôle, ou même, ce qui serait parfaitement logique, avoir été expulsé ? Quel autre pays s’impose un tel calvaire, avec le maintien d’individus étrangers aussi dangereux ? Pour une fois, il n’a pas été déclaré « déséquilibré », ce qui est devenu une grosse ficelle dans un milieu psychiatrique largement peuplé de médecins aux mêmes origines que les délinquants, ce n’est pas un secret.
Et les militants de gauche se déchaînent, tel ce Pablo Pillaud-Vivien, dont on se demande à quel titre il pérore à la télévision, qui explique doctement : « J’ai entendu les propos ultraviolents de la veuve éplorée d’Éric Comyn ». Laquelle veuve explique que par son laxisme, la France a tué son mari, ce qui est factuel. Parce que sans doute, aux yeux de ce Pablo, percuter un gendarme avec sa voiture, ce n’est pas « ultraviolent ». Le même défendait également Nahel : il veut quoi ? L’impunité pour les étrangers de couleur, au motif que leurs grands parents ont été colonisés par les nôtres et que nous sommes condamnés à l’expiation perpétuelle, qui nous assignerait le devoir de nous laisser tuer sans rien dire ? Tout de même, le premier secrétaire du PS a botté en touche sur RTL, estimant «difficile» la question de la récidive. Olivier Faure s’est montré embarrassé, c’est bien le moins. On écoute également, des pseudo-spécialistes expliquer que « la prison n’est pas la solution ». La suppression des allocations n’est pas non plus la « solution », l’expulsion du territoire non plus, n’est pas la « solution ». C’est quoi alors, la « solution » ? Olivier Faure estime que «On a aujourd’hui beaucoup trop de monde» dans les prisons, mais ne propose pour autant pas d’alternative. «Il faut que nous prenions ce débat à bras-le-corps», ajoute-t-il sous forme d’incantation. Ca veut dire quoi « à bras le corps », si rien n’est la solution ? Cette gauche qui s’embrase pour les voyous issus de l’immigration, se retrouve gênée par la mort d’un gendarme dans l’exercice de ses fonctions, on hallucine. Ils veulent quoi, à gauche ?
On sent bien dans cette histoire que si le contrevenant était un professeur, un ingénieur, ou un informaticien du terroir, le discours serait largement différent, la posture des gens de gauche serait autre et celle de la justice également. Le tir des policiers, en cas de refus d’obtempérer, un refus toutes les vingt minutes tout de même, ne déclenche pas les mêmes envolées lyriques, selon que le contrevenant est un français solvable ou une racaille de cité. Il faudrait en revenir au principe très gaulliste : « Il n’y a qu’une seule communauté, la communauté nationale ». Et plus loin, un seul traitement judiciaire et médiatique, le même pour tout le monde, ce qui n’est pas le cas et de très loin.
Nous en avions déjà parlé au RPF, le tir des policiers et gendarmes doit devenir la règle en cas de refus d’obtempérer et de mise en danger de la vie des fonctionnaires. On a vu, à maintes reprises, des innocents tués par des racailles prenant tous les risques pour fuir. La mort d’un voyou par un tir régalien est toujours préférable à la mort d’un innocent fauché par le dit voyou, dans sa fuite. Construire des places de prison, supprimer les allocations aux condamnés, déchoir de la nationalité française les binationaux condamnés, expulser après la purge de leur peine, les voyous étrangers, qu’ils soient ou non en danger dans leur pays d’origine, ce n’est pas notre problème. Supprimer le droit du sol. A cause de naissances sur le territoire français qui servent d’alibi aux pires crapules pour rester en France alors qu’ils n’ont rien à y faire. Autoriser les statistiques ethniques pour savoir, à la fin, avec certitude, quel est le profil ultra-majoritaire de ces auteurs de « refus d’obtempérer ». On le connaît déjà, ce serait juste une officialisation. Ce serait cela « prendre le problème à bras le corps », pour reprendre l’élucubration d’Olivier Faure, qui dit, mais qui ne fait rien. C’est justement sous les deux mandats socialistes de Mitterrand que cette pâmoison devant la voyoucratie issue de l’immigration est montée en puissance.
Oui, la veuve d’Éric Comyn a raison, la France a tué son mari et de cette France là, plus grand monde n’en veut, à part quelques « éditorialistes » hors sol qui peuvent se donner bonne conscience en intimant implicitement aux Français, le devoir de mourir sans broncher, sous les coups des voyous, par définition opprimés. Tant que ce ne sont pas leurs propres enfants qui sont tués ou violés, ils peuvent toujours causer ainsi. La réalité est que la France en a assez, qu’elle l’a dit dans les urnes et que rien ne change.
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Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.
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