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Ouf, les Jwoke sont terminés

Chronique de Paysan Savoyard (n° 326 – Septembre 2024)

Dans une perspective d’archivage des méfaits et des trahisons du Système, revenons quelques minutes sur les JO de Paris. Ainsi qu’on pouvait s’y attendre, on a eu droit aux Jwoke, comme l’avait dit drôlement Marion Maréchal. Les cérémonies d’ouverture et de clôture l’ont souligné à traits appuyés : il s’agissait de faire la promotion du féminisme, des pratiques LGBT, de la diversité raciale et du métissage. La liste des statues de femmes présentées, par exemple, toutes féministes ou étrangères, était significative. Quant aux Jeux paralympiques, ils occupent une place grandissante imposée par le Système, en dépit du caractère laid et obscène de ce spectacle dérisoire. Si l’on met ainsi en exergue les handicapés, c’est qu’ils comptent, avec les femmes, les homosexuels et les immigrés, parmi les icônes de la religion officielle, la religion de l’égalité (dans cette logique de « lutte contre les discriminations », on peut s’attendre le moment venu aux Jeux des plus de soixante ans, par exemple, les Arthrolympiques). Aucune référence bien entendu, au cours de ces « cérémonies », aux sommets de la culture classique française, ni évidemment aux heures glorieuses de l’histoire de France, ni cela va sans dire, à ses « grands hommes ». Au contraire, dans le registre anti-France, on a obligé la Garde républicaine à se trémousser sur la Marseillaise confiée à la  chanteuse malienne Nakamura. Ce bilan attendu mérite d’être complété par plusieurs autres constatations.

  • Les pseudo transgressifs à la manœuvre

Les architectes de ces monuments de propagande se piquent d’être transgressifs, de déjouer les clichés et de bousculer les tabous, alors que la réalité est exactement inverse : toutes leurs pseudo transgressions sont des plus prévisibles. Loin d’être transgressifs, les promoteurs de ces événements, comme de façon générale tous les artistes « engagés », représentent au contraire l’idéologie officielle, la norme en vigueur depuis des décennies. Les tenants du Système immigrationniste et woke se présentent comme des agitateurs et des révolutionnaires, alors qu’ils sont au pouvoir, alors qu’ils ont le pouvoir, alors qu’ils ont tous les pouvoirs. A propos de ces pseudo agitateurs, on pense au nom drolatique de ce parti longtemps au pouvoir en Amérique du Sud, le parti révolutionnaire institutionnel. On songe aussi à la personne de D. Cohn-Bendit, ancien anar devenu monument officiel, longtemps député à 10 000 euros non imposés, toujours intervenant attitré des principaux médias.

  • Une propagande omniprésente

Les JO viennent de le confirmer, une fois de plus : sous le règne du Système mondialiste, immigrationniste, anti-France et woke, la propagande est omniprésente. Tout est occasion de la marteler, les livres, les films, la pub, les variétés, les spectacles culturels, le sport… Les événements publics sont bien entendu des occasions privilégiées. E. Macron depuis son élection a utilisé à plein les très nombreuses cérémonies de commémoration, ou encore les fêtes nationales célébrées à l’Elysée, pour matraquer cette propagande. Comme nous l’avons souligné à de nombreuses reprises, l’omniprésence de la propagande est l’une des preuves les plus nettes de ce que nous sommes bel et bien en présence d’un Système d’essence totalitaire.

  • Ce sont les extrémistes qui, comme d’habitude, accusent leurs opposants d’extrémisme

Avec les JO, le Système a utilisé l’un des procédés de propagande dont il est coutumier. Les propagandistes du Système, dans le cas présent les organisateurs des JO, provoquent de façon délibérée les conceptions traditionnelles, c’est le premier temps de la manœuvre, par exemple en insultant le catholicisme (nous y revenons au paragraphe suivant). Ces provocations suscitent des réactions indignées (au demeurant de moins en moins nombreuses et vigoureuses) de la part de l’Eglise et de la droite conservatrice. Le Système, troisième temps, dénonce alors ses opposants et les accuse d’être intolérants et porteurs de haine. Ce procédé d’inversion accusatoire est utilisé de façon systématique depuis des décennies : alors que les tenants du Système sont les pires des extrémistes et des boutefeux, ce sont eux qui accusent leurs opposants d’extrémisme, avec efficacité malheureusement auprès de la majorité de l’opinion.

  • La lâcheté des progressistes

Les JO ont été l’occasion de nouvelles moqueries et d’insultes à l’égard de la religion catholique. Le moment de la cérémonie qui a donné lieu aux polémiques les plus nombreuses a été la parodie de la Cène, où des apôtres drag-queens métissés ont entouré un personnage de Christ féminin et obèse. Ce nouvel épisode le confirme une fois de plus. Pilier et symbole de l’ancienne société, honnie des républicains, la religion catholique est leur ennemi privilégié depuis qu’ils ont accédé au pouvoir il y a plus de deux siècles. Ce faisant les républicains et progressistes font preuve d’une lâcheté remarquable. Ils s’attaquent à la religion catholique, désormais marginale et dépourvue des moyens de se défendre. Il n’est évidemment pas question pour eux, en revanche, de s’en prendre au judaïsme. Ni bien entendu à l’islam, l’affaire des caricatures de Charlie Hebdo ayant définitivement servi de leçon.

  • L’immigration est un projet

Terminons sur le plus important. L’immigration de masse déplaît à l’évidence à un grand nombre d’électeurs du centre et de la fausse droite, comme d’ailleurs, selon les sondages, à la grande majorité des Français. Ces électeurs persistent pourtant à voter pour le Système immigrationniste, persuadés que les gouvernements, confrontés à une immigration qui s’impose à eux, souhaiteraient l’endiguer ou la contrôler et s’y efforcent autant que possible, même s’ils n’y parviennent pas avec suffisamment d’efficacité.

Les JO viennent apporter un nouveau démenti à cette thèse confortable. L’immigration n’est aucunement une fatalité subie par les gouvernements : tout au contraire, et ce depuis maintenant six décennies, l’invasion migratoire est voulue. Elle s’intègre dans un projet d’ensemble, la disparition des frontières et la dilution du peuple de souche dans une nouvelle population mélangée, métissée et la plus nombreuse possible. Grâce à Mme Nakamura, grâce à une équipe de France où les Français de souche européenne n’étaient pas plus de la moitié, le JO ont été une nouvelle occasion d’exalter l’immigration, la diversité et le métissage. Plusieurs intellectuels, politiciens et chroniqueurs attitrés des médias ont bien entendu insisté sur la nécessité de poursuivre dans la voie de la société « ouverte et inclusive » célébrée par les JO. Citons le Monde, le média « de référence » du Système, se félicitant de ce que les JO aient été le reflet d’une « société libre, ouverte, solidaire et tolérante » (voir ici) et aient cherché à « affaiblir les discours exploitant les colères et les peurs, les stratégies misant sur la haine des autres » (voir ici).

Concluons de la même manière que pour nombre de nos chroniques précédentes. La France ne peut se sauver car elle est profondément divisée. Pire, elle est dirigée par ceux-là même qui veulent sa perte. Lors de ces JO, les tenants du Système viennent de le montrer avec éclat : ils sont les ennemis irréductibles de la France française, les ennemis implacables des Français moyens de souche, les ennemis mortels des Blancs européens.

https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/2024/09/09/ouf-les-jwoke-sont-termines/

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