Synthèse nationale
Dans la nuit de mercredi à jeudi, à Lyon, la devanture de l'Institut de sciences sociales, économiques et politiques (ISSEP), cofondée par Marion Maréchal, a été taguée par, semble-t-il, un trio de vaillantes défenseuses de l'intersectionnalité. Raison de l'ire des trois furies : la tenue d'une conférence par Marguerite Stern (co-autrice du livre Transmania), intitulée : "Comment l'idéologie transgenre détruit des vies", dans les locaux de l'école supérieure, jeudi 19 septembre au soir.
Comme à l'habitude de leur camp politique, ces trois adeptes du "pas de liberté pour les ennemis de la libertés" si cher à l'extrême gauche "progessiste" ont exprimé leur courroux sur la façade du bâtiment (comme pour marquer "leur" territoire) en y vomissant frénétiquement et mécaniquement leurs slogans traditionnels : "Facho", "ACAB" (traduction : "Tous les flics sont des batards"), "Sale TERF" (traduction : "Féministe radicale excluant les personnes trans"), etc.
Il serait bon que le pouvoir, si prompt à taper sur la moindre organisation, le moindre militant de la cause nationale dès qu'ils bougent une oreille, adopte enfin une attitude moins tolérante (pour ne pas dire complice) à l'égard des excités gauchos en tout genre.
Comme l'a dit Paul Claudel : "La tolérance ? Il y a des maisons pour ça".