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Quand Lapix s’affole…

Le monde médiatique aux ordres se voit de plus en plus et on en mesure toute la réalité avec le meurtre de Philippine. Immédiatement des contre feux se sont allumés. L’un pour expliquer que les migrants, on ne peut pas les renvoyer à cause du prix que cela nous coûterait. Et on assiste à une Anne-Sophie Lapix, jamais en reste, demander à Bardella où il trouve l’argent pour expulser tout le monde, le tout en ne le laissant pas répondre. On se pince, tellement la réponse est évidente : sur les crédits qui servent à leur entretien. Même si leur expulsion coûte, une fois qu’ils ne sont plus là, ils ne coûtent plus rien.

Dans la même fibre, on a des « intervenants », toujours télécommandés, qui expliquent doctement que supprimer l’AME coûtera plus cher que de les faire soigner par la Sécu. Là encore, s’ils ne sont plus là, pas besoin de les soigner. Mais ils ajoutent, « et ça peut générer des problèmes de santé publique »… une manière implicite d’avouer qu’ils peuvent amener des maladies exotiques avec eux et justement créer des problèmes de santé publique.

Tous ont l’air de se liguer pour faire avaler aux téléspectateurs qu’il est impossible de ne pas accueillir tous les migrants qui veulent venir en France et par conséquent, impossible de ne pas les soigner, les héberger et donc hors de question de les renvoyer. On se demande comment font les autres pays, qui n’en accueillent pas, n’en soignent pas et donc, n’en renvoient pas. Les solutions on les connaît pourtant. Pas d’allocations, fin des allocations à une date précise pour ceux qui sont déjà là, pas de régularisation, pas de logement, pas de droit du sol, uniquement des visas de travail à des dates définies. C’est peu ou prou, ce que font la majorité des pays du globe, sans que cela ne pose le moindre problème à la sphère médiatique française.

On a peut être un début de réponse avec la proposition, voici presque un an, par le Hongrois Viktor Orban, d’une loi “Stop Soros”. Tel que, au moins, c’est une réalité, sinon, pourquoi cela nécessiterait-il une loi officielle ? Orban entendait obliger les ONG “encourageant l’immigration illégale” à rendre compte régulièrement de leurs activités et imposer 25% de taxe punitive à celles percevant le plus d’argent de l’étranger. Il y a donc bien un plan « Soros », dont l’existence remonterait à 2005 et qui est cautionné par de nombreux indicateurs sur le terrain, comme la présence de tous ces bateaux gonflables à usage unique, ces relevés GPS qui montrent les rencontres en mer entre bateaux de migrants et bateaux d’ONG. Cela accrédite l’idée d’une véritable concertation avec les gouvernements européens, qui savent donc, mais qui laissent faire, il faudrait leur demander pourquoi.

Et donc les intervenants se succèdent pour expliquer qu’il ne faut pas se focaliser sur le profil du meurtrier, même s’il est quasiment toujours le même et de penser qu’il s’agit d’un problème de « violence systémique », même s’il n’existe pas dans les villages encore préservés de toute présence de ces « étrangers ». C’est un problème civilisationnel entre deux conceptions de la femme, l’une qui date d’il y a 1400 ans et l’autre, actualisée en permanence dans un Occident qui n’a cessé de promouvoir le progrès social. Parce qu’il faut bien en prendre conscience, on parle de Philippine parce que c’est une jolie jeune fille innocente, mais ces meurtres sont désormais quotidiens ou presque et quand la victime est une personne âgée ou un Français pour lequel la dimension symbolique est moins évidente, personne n’en parle. Ceci alors que le même réseau fait de la surenchère immédiate sur un Ylan ou un Nahel.

La collusion de presque tous les médias avec la machinerie idéologique gouvernementale se voit donc bien et d’autant mieux que ces temps derniers, elle a été de plus en plus à la manoeuvre. La variole du singe a disparu des écrans : des sondages ont montré que les gens ne marcheraient pas. Les frappes autorisées depuis l’Ukraine, par des missiles longue portée européens, sont également sortis de l’actualité : tout le monde a compris que Poutine ne bluffait pas et ainsi de suite. Israël a éliminé le chef du Hezbollah et voilà tout le petit monde médiatique, pro-palestinien, qui verse sa larme, apparaissant, avec des mines graves, comme déçu de cette nouvelle victoire de l’État hébreux, alors qu’il y aurait sans doute matière à plutôt se réjouir du fait que l’un des instigateurs du 7 octobre soit hors d’état de nuire ? Plus nous avançons vers le clash généralisé, plus la dimension propagandiste du petit monde médiatique est visible, jusqu’au réseaux sociaux les plus prisés, comme Facebook ou Linked-In, qui « invisibilisent » à divers degrés et sans doute sur commande, les publications qui ne vont pas dans le sens de la doxa officielle. Les donneurs de leçons expliquent qu’il faut allez voir en Corée du Nord, si on pense que la France et plus loin, l’Europe, sont des dictatures, mais n’ont toujours pas compris qu’une dictature du XXième siècle et une dictature du XXIème siècle, ce n’était pas la même chose. La puissance informatique désormais, permet d’être un dictateur en temps réel et c’est la raison pour laquelle les gouvernements européens poussent à l’informatisation et la dématérialisation : l’argent, les voitures, les services, la santé… ce qui permettra à terme de faire taire n’importe qui, en l’excluant de l’ensemble du système, dans lequel il ne pourra, dans un premier temps, plus se déplacer, puis dans un second temps, plus manger ni se faire soigner. Le bruit des bottes du milieu du siècle dernier est remplacé par l’invisibilisation informationnelle, c’est encore pire et encore plus difficile à combattre.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2024/09/28/quand-lapix-saffole/

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