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Pour Zelensky, les carottes sont cuites, mais il veut garder le magot

Il a beau tempêter, éructer, menacer, pleurnicher et se donner en spectacle, son vrai métier, son show quotidien additionne les bides. Mais comme tous les médiocres placés par le hasard à un poste qui les dépasse, il se prend pour un génie. Comme son ami Macron. Pourtant, les réserves de Trump auraient dû lui ouvrir les yeux.

Fini l’argent de poche de l’oncle Sam !

Les oligarques de Kiev vont devoir se serrer le ceinture avec la suspension de l’aide américaine décidée par le nouveau président. L’Ukraine est trop dépendante des containers de dollars, et l’Eurocrature ruinée et désarmée n’a plus les moyens d’accourir à son secours.

Le Zygomyr peut clamer urbi et orbi qu’il a mis en place des mesures visant à s’adapter en attendant une nouvelle politique de la part de Washington, c’est un mensonge et une illusion. L’Ukraine n’a plus les moyens militaires de jouer les prolongations, et encore moins la capacité de manipuler Trump comme son sénile prédécesseur.

Il ne reste plus au Zygomyr que la mendicité menaçante façon punks à chiens, afin d’obtenir de l’Eurocrature de nouveaux subsides dans les domaines humanitaire, sécuritaire et social. Tout en racontant, dans un discours destiné à son peuple, qu’il pourrait très bien s’en passer. Et ce ne serait pas tout à fait faux, si les oligarques rapatriaient les milliards détournés, planqués dans des paradis fiscaux. Sur ce sujet, après avoir tout nié, le petit clown funambule a admis que ces fonds serviraient à une hypothétique résistance, si jamais la Russie gagnait la guerre.

Poutine veut bien négocier avec Donald, un adversaire de son niveau, mais sans Zelensky, illégitime pour engager son pays, puisqu’il n’est plus président de jure depuis avril 2024.

L’auto prolongation de son mandat ne trompe personne. Il a supprimé les élections, sur les conseils de l’Eurocrature parce que, n’en déplaise aux sondeurs truqueurs, tout le monde savait qu’il les perdrait. La population est affamée, les troufions sont harassés, on compte des morts et des estropiés pour rien dans toutes les familles. Dans un contexte où la corruption était endémique avant le conflit, elle est devenue depuis quasiment l’unique moyen de survivre.

Quant à dire que Poutine s’ingénie à reporter les dates de la négociation, parce qu’il serait en train de perdre la guerre, c’est une propagande démentie par les constatations sur le terrain, confirmées par satellites. L’armée russe continue sa progression, lente mais inexorable. L’enfumage de Kiev, généreusement repris par nos médias de connivence, a beau affirmer que la victoire est proche, plus personne de sérieux n’y croit. À cela, s’ajoute la grogne de l’armée.

Zelensky est sur un siège éjectable et fait semblant de l’ignorer

Malgré la vigilance du SBU (la Gestapo ukrainienne) la télé et la radio d’État ne peuvent plus cacher que la moitié au moins des fonds destinés à la lutte contre les Russes, et à la reconstruction des infrastructures énergétiques, ferroviaires, industrielles, immobilières et routières frappées par les combats, s’évaporent dans des paradis fiscaux au profit des dirigeants du pays.

Pas plus que les médias locaux ne peuvent masquer que des avions-cargos et des wagons entiers d’armements, quand ils parviennent à destination, sont en grande partie détournés vers les marchés noirs du Proche-Orient, d’Afrique et des Balkans. Au profit de terroristes se prétendant armées de libération. Mais aussi pour renforcer des mafias de la drogue et du crime organisé.

Or s’il est facile d’intimider les troufions et les cadres subalternes, c’est plus ardu quand des officiers supérieurs remettent en cause le génie militaire du Zygomyr. Cela ne présage rien de bon pour le petit führer. Les tensions au ministère de la Défense de Kiev ne peuvent plus être cachées. Entre les voraces repus et les patriotes découragés, et entre les jusqu’au-boutistes et les stratèges réalistes qui ont compris que l’incompétence, la cupidité et l’obstination de Zelensky, les menaient au désastre.

Trouvant qu’il n’a pas assez d’ennemis, le Zygomyr qui se croit toujours protégé par Pustula, se met à dos la Slovaquie

L’ Ukraine est en ruines, amputée au moins de 20 % de son territoire, elle a perdu le tiers de sa population, en grande partie exilée, et risque de disparaître après la fin des hostilités. Quand les BlackRock, McKinsey et autres Goldman Sachs se seront servis sur la bête. Avec les intérêts. Il n’y a que Macronescu qui a fait des cadeaux à fonds perdus avec l’argent des Français.

Après ce premier dépeçage, resurgiront les vieilles revendications territoriales de la Pologne, de la Roumanie et de la Hongrie. Dont des terres mitoyennes peuplées de gens de leur peuple, ont été attribuées à l’Ukraine à la suite de sordides marchandages internationaux.

Comme si ces conflits larvés ne suffisaient pas, le Zygomyr est en train de se fâcher avec les Slovaques qui n’ont, pour le moment, pas encore revendiqué leur part de la Transcarpathie attribuée à l’URSS par Staline en 1945, et que l’Ukraine détient indûment.

Se croyant déjà mandaté par l’Eurocrature, Zelensky pratique allègrement l’ingérence étrangère dans les affaires intérieures de la Slovaquie

Le social-démocrate, Robert Fico, président du gouvernement de son pays, trois fois réélu depuis 2006, et victime en 2024 d’un attentat qui a failli lui coûter la vie, dispose d’une légitimité réelle à la différence du Zygomyr. Mais comme il est, avec Orban qui se rebiffe contre la dictature européiste, un des rares dirigeants d’un pays de l’UE et de l’OTAN à ne pas céder à la russophobie ambiante, Pustula et ses sbires ont entrepris de le déstabiliser, en encourageant leur protégé de Kiev à intervenir chez son voisin.

Pour « punir » les Slovaques, le minus de Kiev a fermé le 1er janvier 2025, le robinet des livraisons de gaz russe. Mais il est allé plus loin dans la nuit du mercredi 29 au jeudi 30 janvier 2025. Après que des barbouzes ukrainiens aient encouragé des manifestations organisées par des ONG tributaires de la mondocrature, contre la neutralité de la Slovaquie envers Moscou, ils ont carrément incité les Slovaques à faire un coup d’État pour se débarrasser de Fico.

Ces méthodes de nazis n’ont rien de surprenant quand on sait que le bundestag (le Parlement des Boches) légifère sous une immense aigle symbole de leur hégémonie retrouvée, dont on a seulement retiré la svastika entre les pattes.

La subtilité n’étant pas la qualité première du Zygomyr, il a ajouté l’insulte à ses tentatives de déstabilisation d’un pays voisin avec lequel il a des désaccords. Affirmant que Fico aurait été drogué par les Russes ! Le ministre slovaque des Affaires étrangères Juraj Blanar a exprimé sa vive protestation et l’ambassadeur ukrainien a été convoqué mercredi à Bratislava, sans qu’on sache s’il s’est excusé. En toute hypothèse, ces manigances, loin d’émietter la cohésion slovaque, la renforcent. Ce pays trop longtemps envahi et asservi par les empires centraux, puis les soviets, tient trop à son indépendance !

On se demande si le Zygomyr réalise la portée de ses propos lorsqu’il déclare : « La partie ukrainienne a mis en garde à plusieurs reprises les dirigeants slovaques contre les dangers de leur politique prorusse ».

Un avertissement en forme de menaces d’ingérence dans la politique d’un État souverain ! Après que Fico ait été grièvement blessé par balles le 15 mai 2024 lors d’un attentat. Bien que nos merdias aient tenté de noyer le poisson, en alléguant que le criminel était un « poète fou d’extrême drouâte » (sic), quand celui-ci a revendiqué son acte, motivé par le refus du gouvernement Fico de fournir une aide militaire à l’Ukraine.

L’UE veut être à la table des négociations alors qu’officiellement ils nient être des belligérants, tandis que l’Ukraine ne fait pas encore partie de leur association de malfaiteurs

Cela pourrait expliquer les ingérences dans la politique slovaque, afin de torpiller un des seuls États susceptible d’être acceptés par la Russie comme tiers de confiance.

Reste à savoir ce que Poutine et Trump, les vrais décideurs, en pensent. Les eurotocrates essaient de convaincre Washington que ce serait une juste compensation à la décision du président US d’obliger les Européens à prendre davantage de responsabilités pour assurer leur sécurité. Ça reste à voir…

Quant au président russe, il a maintenu que si son pays pouvait participer à des pourparlers de paix avec l’Ukraine, il a exclu la possibilité de parler directement à Zelensky qui ne représente que lui même. Sans rien changer à ses quatre conditions non négociables : pas de trêve provisoire permettant de réarmer l’Ukraine, reconnaissance comme russes des territoires libérés, renonciation de Kiev à intégrer l’OTAN et abandon des sanctions économiques.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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