Nous ne sommes que début août, et déjà l’offensive pour la vaccination obligatoire contre la grippe, qui s’ajoute à celle contre le Covid, bat son plein. On se croirait revenu dans les grandes années 2020-2021 où les médecins de plateau, tous bien payés par les laboratoires pharmaceutiques, crachaient quotidiennement sur les professeurs Raoult et Perronne, et exigeaient toujours davantage de passes sanitaires, de confinements, de mesures liberticides et de vaccinations obligatoires.
Ces salauds-là réussiront même à priver d’emploi pendant deux ans des soignants qui refusaient de se faire vacciner, affaiblissant dramatiquement les effectifs des hôpitaux. Ils imposeront le vaccin à des millions de salariés, ils obligeront les sportifs à se faire piquer pour pouvoir continuer à pratiquer leur passion, voire leur métier, et ils imposeront un climat de terreur à l’ensemble de la population française.
Personne n’a oublié leurs menaces et leurs insultes contre les non-vaccinés, et leur satisfaction quand Macron expliquera que sa mission était d’emmerder les non-vaccinés.
Cinq ans plus tard, l’offensive recommence. Dans les cabinets médicaux, dès l’été, on voit fleurir des affiches montrant les personnes âgées comme dangereuses, et incitant toute la population à se faire vacciner, tout en préparant l’opinion à une vaccination obligatoire pour les plus de 65 ans, en leur expliquant que cela sera gratuit, et qu’on les encourage à se faire vacciner contre la grippe et le Covid.
Mais il n’y a pas que les personnes âgées qui sont visées, il y a surtout le personnel hospitalier. Notre grand « copain » le docteur Mathias Wargon met les pieds dans le plat. Cela n’a pas suffi aux salauds de covidistes de briser la carrière de milliers de personnel soignant, virés comme des malpropres de l’hôpital sans la moindre indemnité ni la moindre possibilité de travailler ailleurs. Ils rêvent de recommencer avec la grippe. Si on écoute celui que nous avons surnommé le docteur wesh-wesh, à cause de son langage de petite racaille de banlieue, il éructe contre ses collègues parce que seulement 20 % d’entre eux seraient vaccinés contre la grippe, ce qui lui paraît intolérable. Et donc, il tape le poing sur la table, et exige que toute la profession soit vaccinée de force, soit les 80 % qui ne le sont pas encore, faute de quoi il faudrait les virer !
On résume. Nous sommes dans une période où l’hôpital prend l’eau, où le personnel n’en peut plus, où il manque cruellement d’effectifs, où les Français ne reconnaissent plus leur hôpital public, où les déserts médicaux deviennent un cauchemar pour la France rurale, où les toubibs et le personnel médical sont de plus en plus souvent agressés par les racailles, et cet abruti est prêt à piquouser de force le personnel soignant qui, fort de l’expérience du Covid, n’a plus une confiance totale dans les vaccins, surtout quand des sommités comme le professeur Raoult, à qui wesh-wesh n’arrive pas à la cheville, expliquent que le virus évoluant tous les ans, le vaccin contre la grippe n’est pas forcément la bonne solution.
On ne peut que reprendre la question induite par le titre : Wargon, c’est un connard ou un salaud ? Au vu du langage de charretier du loustic, qui a traité, entre autres, de « cons » et « d’alcooliques » les non-vaccinés, je pense qu’on peut se permettre d’utiliser ces deux qualificatifs sans risquer de se retrouver devant la 17e chambre…
Pour approfondir la question, je vous renvoie à ce texte de mon ami Paul Le Poulpe, daté de décembre 2020, qui vous aidera peut-être à répondre à cette question, tout en vous faisant découvrir l’épouse Wargon, autre spécimen de petite bobo de gauche adepte du totalitarisme. Mathias, c’est le vaccin obligatoire, Emmanuelle, c’est la planète et pour la sauver, faut parquer tout le monde (sauf les bobos comme elle et son wesh wesh) dans des cages à lapin de 10 mètres carrés, avec interdiction de posséder une bagnole…