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Les voitures électriques ont davantage d’accidents que les thermiques !

La bagnole électrique, c’est merveilleux. Même si elle coûte cher, n’est généralement pas réparable après un choc, et si les batteries ont parfois des poussées de fièvres meurtrières. Justifiant des surcoûts d’assurances. Tout le monde sait cela aujourd’hui. Mais il est interdit de le dire dans les médias francistanais. L’ARCOM (Agence de Répression et de Censure de l’Opinion dans les Médias) veille et punit les hérétiques.

Premières victimes oubliées, les chats, les chiens, les cyclistes et les piétons. Les enfants et les vieux étant les plus exposés

Le bruit feutré du déplacement d’air qu’elles provoquent n’alerte pas comme le vrombissement d’un moteur à pistons. Nos amis à quatre pattes, tout comme nous, ont appris à se méfier des automobiles. Mais pas des véhicules électriques. Quant aux personnes qui souffrent d’un handicap auditif, même corrigé, elles sont encore plus vulnérables. Car elles ont du mal à interpréter des signaux sonores atténués et inhabituels.

Comme il est interdit d’en parler, aucune statistique ne peut être publiée en France. Les assureurs ont les leurs, mais elles doivent rester secrètes. Application des vieilles recettes qui fonctionnent si bien pour duper les Français : il n’y aurait pas un réel danger à cause des voitures à piles. Mais seulement une impression de danger. Un sentiment de danger. Voire une légende urbaine. Imparable, puisqu’on n’a pas le droit d’argumenter contre.

L’Eurocrature et ses gauleiters ayant décidé de forcer tous les automobilistes à passer à l’électrique, et puisqu’on assiste à un recul des ventes de ces bagnoles en Europe, les médias aux ordres ne doivent parler que des avantages : moins polluantes, plus silencieuses, plus agréables à conduire, relativement économiques à l’utilisation… Si on trouve une borne de recharge qui va bien.

Néanmoins, deux études faites à l’étranger ont filtré, prouvant que les voitures électriques tuent plus que les thermiques

Comment cela est-il possible ? Des experts espagnols, hollandais et irlandais se sont penchés sur la question. Ces spécialistes en accidentologie ont publié des conclusions pertinentes, que toute personne de bon sens aurait pu pressentir. En Francarabia, c’eût été impossible. Les rapports auraient été saisis et détruits par la police politique. Et ces inconscients auraient été radiés et interdits d’exercer à vie. Le covid a donné un aperçu de l’arbitraire des Macronescu.

Là où la cenSSure est moins agressive, une étude exhaustive portant sur plusieurs marques de véhicules présentes dans leurs pays respectifs a été menée par des ingénieurs des universités de Limerick en Irlande, de Rotterdam aux Pays-Bas et de Barcelone en Espagne. Ils ont analysé les données techniques provenant d’un panel de 15.000 voitures accidentées, réparties entre électriques, hybrides et thermiques, dans la même proportion que sur le parc automobile concerné.

Leur constat est sans appel, mais il est interdit de le dire en France : À kilométrage égal, et usage comparable mêlant urbain et routier, les voitures électriques ont une probabilité plus élevée d’être impliquées dans un accident que les voitures thermiques.

Plus précisément, d’après les responsables des accidents routiers chez l’assureur AXA en Suisse, les conducteurs de voitures électriques provoquent 50 % d’accidents de plus que ceux des voitures à moteur thermique. Selon une étude de 2019 renouvelée en 2022 sans grands changements.

Pourquoi ce déséquilibre ? Les conducteurs électrifiés seraient-ils moins prudents que les autres ? Que nenni ! C’est du côté des caractéristiques des véhicules qu’il faut trouver les explications. Reproduites en banc d’essai réel et en répliques numérisées, elles concordent.

Leurs merveilleuses bagnoles sont des dangers publics

Déjà une remarque liminaire qui ne va pas plaire aux personnes qui suivent la mode et regardent trop la télé. Une voiture électrique ne se conduit pas comme une voiture classique. Certains modèles développent un accélération de zéro à 100 km/h en deux secondes, presque comme une Formule 1. Quand on tourne brusquement le volant en accélérant, pour sortir d’un embouteillage, on s’envole comme un jet au décollage.

Il pourrait être judicieux d’ajouter au permis B une qualification spécifique pour avoir le droit de les conduire. En s’inspirant de certains pays, comme l’Australie, qui ont instauré un permis spécial pour les voitures de sport. Ou la France et les 240 membres de la FIA qui contrôlent les aptitudes des pilotes de voitures de course.

On objectera que ce n’est pas comparable. Mais les auteurs des études citées insistent sur le fait que l’accélération des voitures électriques est très vive et peut surprendre. Surtout ceux qui ont toujours monté en régime en passant les vitesses. Cela peut entraîner une perte de contrôle du véhicule pour quelqu’un qui n’y est pas habitué. Au démarrage, c’est un grand danger pour les piétons et les cyclistes. Et ensuite, lors des reprises pour doubler par exemple, il y a un risque de départ dans une courbe sinusoïdale difficile à maîtriser.

À cela s’ajoutent les écrans tactiles qui sont une distraction pour les conducteurs. Et pas seulement les amateurs de jeux vidéo. Au lieu d’avoir les yeux rivés sur la route, ces automobilistes se perdent à naviguer dans des menus ésotériques pour tenter de régler les divers paramètres ou pour accéder à certaines commandes. Or ils suffit de quelques secondes d’inattention pour qu’un accident survienne. Un risque accru en milieu urbain ou sur des routes sinueuses.

Les voitures électriques se font plus souvent défoncer par derrière que les autres

Une étude américaine de la société Mitchell, une entreprise d’expertise qui travaille pour les compagnies d’assurances, a mis en évidence une observation pas vraiment surprenante, concernant les voitures à piles. Elles sont presque deux fois plus souvent percutées par l’arrière que les voitures thermiques. À cause de la conception typique de ces véhicules.

L’explication retient la dynamique de freinage particulière pour la plupart des voitures électriques lors de la conduite en mode pédale unique. En théorie, les réactions sont progressives, en fonction de la pression ou relâchement du pied. Mais un réflexe brusque peut entraîner une décélération plus rapide que celle annoncée par le constructeur. Avec parfois un dysfonctionnement de l’ABS trop sollicité. Un piège invisible quand on n’a pas l’habitude de ce genre de conduite. Et celui qui vous suit, surpris, vient s’encastrer.

Tout feu, tout flamme

Quand la batterie ou une partie de ses éléments sont situés à l’arrière, cas relativement fréquent, lors d’un choc l’accumulateur peut se fendre et émettre des vapeurs hautement toxiques. Avant de prendre feu. Le lithium pouvant alors alimenter le brasier comme un comburant. C’est très écologique. Mais au moins, tu ne souffres pas quand tu crames, puisque tu es déjà dans le coma à cause des gaz.

Les cellules Lithium-ion (Li-ion) émettent en cas d’emballement thermique des fumées extrêmement corrosives et produisent de l’acide fluorhydrique mortel en cas d’inhalation. Bien entendu, les fabricants se défendent en alléguant le nombre de dispositifs de sécurité qu’ils ont mis en place. Mais aucune autorité scientifique n’a fixé ni évalué ces systèmes. Aucune expertise neutre ne les a validés.

Naturellement, des concessionnaires et des revues automobiles qui accompagnent l’électrification heureuse, se sont inscrits en faux. Évitant les débats techniques. Il faudrait les croire sur parole. Ils évoluent dans le même flou artistique que les pouvoirs publics qui « ne comprennent pas » pourquoi 4 personnes ont péri grillées dans une Tesla, le 12 octobre dernier, à Melle (Deux-Sèvres). L’enquête n’a pas permis de déterminer la cause des décès, nous dit-on. On s’est juste « étonné » que la bagnole se soit embrasée à la suite d’un choc.

Tout comme les autorités policières et judiciaires « n’avaient pas compris » pourquoi, le 27 mars 2024, en Haute Garonne, une femme a brûlé vive dans sa voiture électrique après avoir heurté un arbre.

Ensuite, les flux de l’actualité et le tintamarre des distractions ont emporté les questions gênantes. Tout ça est beaucoup moins intéressant que les talk shows, la télé-réalité, les télé crochets, le zizi de Brichel et la guerre en Ukraine.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/les-voitures-electriques-ont-davantage-daccidents-que-les-thermiques.html

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