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Le scandale des délinquants étrangers…

Bruno Retailleau est venu sur LCI expliquer l’aberration de notre système juridique, quant à l’expulsion d’un ressortissant étranger entré illégalement en France. Et de se plaindre des lois qui bloquent l’action. Il aurait pu étendre son analyse sur d’autres thèmes et le constat aurait été le même. Bien entendu l’empilement des lois, des règlements, des normes favorise cet état de fait, et le fouillis engendre la confusion qui elle-même débouche sur la paralysie. En réalité, on s’aperçoit que l’empilement des lois est surtout destiné à favoriser les délinquants qui disposent ainsi de plus de motifs d’annulations de procédures et de recours plus nombreux.

Si l’on rajoute à cela une propension des juges, communément appelés « rouges », à la clémence vis-à-vis des délinquants d’origine extra-européenne, en leur trouvant des excuses ou des circonstances atténuantes, quand les victimes n’en bénéficient jamais, vous arrivez à un cocktail détonnant où l’action d’un ministre est neutralisée, impuissant, il ne peut que reculer. Mais Bruno Retailleau va plus loin, il expose clairement les faits pour démontrer toute l’absurdité du système et laisse aux Français le soin de juger de la situation et de l’état ou nous sommes. Français qui ont compris qu’il y avait une application de la loi pour eux et une autre application pour les délinquants d’origine étrangère, dont nous avons déjà parlé au RPF, dénonçant une « ethnicisation de la justice » devenue parfaitement palpable. Très bien monsieur le ministre, mais c’est tout de même un peu court. Qui vote les lois dans ce pays depuis 40 ans et plus ? Vous, députés, sénateur, membres de gouvernement, êtes à l’origine de ces lois que vous trouvez absurdes aujourd’hui. C’est donc une constante de la vie politique que de crier au loup face à des situations que vous créez de toute pièce.

Un peu comme les budgets. Ils sont mal ficelés, conduisent à une dette colossale et en fin d’exercice, ceux là mêmes qui l’on voté hurlent au dérapage. Et là c’est du même acabit… Bruno Retailleau voudrait-il changer la loi ? Mais avant de s’attaquer à cette tâche, il devrait suivre le conseil que nous avons au RPF donné il y a quelque temps de cela, faire un audit sur l’ensemble des lois, pour supprimer les doublons, retirer celles qui ne s’appliquent jamais, celles dont la loufoquerie ou la sottise frôle le prix Nobel. Mais pour cela il faut revenir à quelque chose de simple, de compréhensible pour tous, et là, le pari est plus qu’osé. Toute notre législation est aux mains de bureaucrates pour lesquels l’accessible fait trop peuple, et l’efficacité une conception soit ésotérique, soit archaïque. Ils ne se complaisent que dans l’alambiqué, le tortueux, qui débouche soit sur la paralysie du système, soit la contradiction, le tout, encore une fois, pour le plus grand bonheur des délinquants et au détriment des victimes. Quand pour appliquer un texte, ou en comprendre le sens, une armée de juristes est nécessaire, c’est qu’il n’est pas bon. Mais faire simple est un art qui n’est plus enseigné dans nos écoles, et encore moins une recherche de nos responsables. Ils trouvent dans le tourmenté, le complexe, le raffinement intellectuel, le bureaucratique une manière de noyer leur propre responsabilité en cas de clash.

L’efficacité n’est pas leur priorité, dès qu’il s’agit de domaines sensibles comme l’immigration, mais faire en sorte que le coupable d’importation soit exonéré de tout et qu’il puisse bénéficier de la largesse, et disons le de la sottise de la loi, portée par une idéologie destructrice de notre nation et son identité, au profit du citoyen légalement présent. Oui la France est malade de sa bureaucratie tentaculaire qui ne vise qu’à contrôler les activités de tous, les encadrer dans leur quotidien, réduisant à néant toute envie d’initiative, tout élan de création et accessoirement, elle permet de ne pas contrarier la doxa immigrationniste obligatoire. Elle est malade de ses politiciens qui sont déconnectés des réalités, dont la plupart n’ont jamais travaillé, et qui viennent en donneurs de leçons fustiger et condamner ceux qui créeraient de la richesse, au seul motif qu’une morale de gauche voudrait qu’il soit indécent de s’enrichir du fruit de son travail. L’exemple le plus frappant est celui du député socialiste Benjamin Lucas, qui s’est permis de critiquer le patron de Renault et son salaire. Lui, le biberonné à l’argent de nos impôts, élu depuis son plus jeune âge, qui ne connaît de la valeur travail que l’effort pour être réélu, et qui trouve que bien gagner sa vie quand on développe une entreprise et que l’on emploie des milliers de salariés, n’est pas suffisant pour avoir un salaire conséquent. La France est malade de cette engeance qui veut légiférer sur tout en oubliant l’essentiel, qui prend exemple sans bien entendu l’avouer, sur la collectivisation de la société pour atteindre son but ultime, supprimer toute liberté, y compris celle d’entreprendre.

Mais il faut d’un côté punir l’honnête citoyen et de l’autre faire preuve d’une largesse sans retenue avec les étrangers débarquant avec beaucoup de droits et peu de devoirs envers le pays d’accueil. La logique s’absente au profit de l’idéologie qui ne dissimule plus ses intentions. Sinon comment expliquer que le maire de Béziers soit convoqué par la justice pour avoir refusé de marier un Algérien frappé d’une OQTF ? N’était-il pas dans son droit de veiller à ce que cette personne légalement reconnue comme de trop ne puisse pas se marier sur notre sol ? Retailleau devrait aussi revoir le principe de ces OQTF, dont la libéralité doit faire sourire plus d’un état dans le monde. Même la Suisse peut renvoyer un Algérien sans problème, la France ne le peut pas.

Oui, il est temps de changer les choses, non pas de légiférer une nouvelle fois mais de commencer par un toilettage conséquent, un grand ménage de printemps de nos lois. Une fois ce travail accompli, de réactualiser les textes en fonction des buts recherchés, de simplifier pour une clarté absolue. Une personne qui entre illégalement sur notre territoire doit être considérée comme un criminel, comme aux US. Un OQTF ne doit pas être remis en liberté en attendant qu’il quitte le territoire de son plein gré. Au RPF, nous proposons que le binational soit automatiquement déchu de la nationalité française en cas de condamnation et que l’étranger soit automatiquement expulsé dans le même cas. Mais non, la France s’enorgueillit de garder et même de verser des allocations aux pires crapules de la Terre entière. Même le RN semble tout acquis à cette doctrine immigrationniste qui consiste à garder les voyous et ose tout juste trouver anormal que nos filles se fassent violer par des gens sous OQTF… c’est dire l’état de terreur dans lequel sont nos politiciens face à des pseudo-journalistes, en réalité propagandistes durs, qui leur demandent des comptes en public, en cas de manque de soumission à une doxa inhumaine qui veut que l’on sacrifie régulièrement un Samuel Paty afin de pouvoir entretenir son égorgeur…

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/02/08/le-scandale-des-delinquants-etrangers/

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