Le vice président des USA, J.D Vence n’en finit pas de régaler le camp des souverainistes et des patriotes. Bien entendu, les usurpateurs qui se prétendent démocrates sont eux, en panique totale, car confrontés à leurs actes et contradictions. Cette mise en parallèle est pour eux insupportable, notamment lorsque Vance fait le bilan de la liberté d’expression en prenant des exemples concrets des dérives enregistrées partout en Europe. En Allemagne, on arrête des personnes pour avoir critiqué le féminisme, en Suède c’est pour avoir critiqué l’islam, en Grande-Bretagne c’est un homme qui priait silencieusement devant une clinique d’avortement… Il est d’ailleurs croustillant de voir la réaction des défenseurs de la pseudo liberté, qui ne se conçoit selon leurs critères, que dans la contrainte et la censure. Ils associent cette prise de position à du fascisme. Quel est le rapport ? Par quelle analogie peuvent-ils prétendre que dénoncer l’emprisonnement d’un individu qui conteste une pratique, une idée, est du fascisme ? Mais ils nous ont habitués à user de cette rhétorique pour disqualifier l’adversaire et interdire toute forme de débat.
Pratique lorsque l’on manque d’arguments, ou qu’ils pourraient dévoiler l’indigence de la pensée, voire la totale manipulation des opinions, dans le but de formater les esprits. Ils s’affichent comme des êtres épris de justice, de liberté et ne voient pas en quoi emprisonner un individu pour ses pensées ou croyance serait contraire à ce qu’ils prétendre protéger à coup de censures et d’interdictions. Tout le discours du vice président est vu comme une tentative de déstabilisation de notre société, entendez, celle que la Commission Européenne et ses affidés construisent depuis des années. La bête est affolée, elle rugit, blessée, elle n’est pas encore terrassée. Les révélations sur l’argent abondamment distribué aux médias, ou les sommes allouées dans le plus grand secret à des médias avant les élections européennes, sont pour eux des trahisons. Tout devait rester secret, et c’est cela qu’ils appellent la démocratie. On comprend que la liberté d’expression tendant à dénoncer de telles pratiques les dérange. Voient-ils l’incongruité qu’il y a à traiter de fascisantes de telles positions ? Non. Le refus d’Ursula Von-der-Leyen de s’expliquer sur les contrats des vaccins ou maintenant, sur l’argent déversé à certains organes de presse, c’est de la démocratie !? La recherche de la paix en Ukraine c’est du fascisme, œuvrer pour que la guerre se poursuive indéfiniment, de la démocratie, voyons ? Annuler des élections en Roumanie et affirmer que l’on fera de même en Allemagne si l’AFD gagne, c’est encore de la démocratie, laisser les peuples élire qui ils veulent, du fascisme ?
Heureusement il semble que ces caciques n’aient pas les moyens de leurs folies, mais il faut rester sur nos gardes. Ces tigres de papier n’ont qu’une obsession, faire la guerre à la Russie. Ursula toujours elle, envisage même une accélération de la militarisation de l’Europe pour justement déclencher un conflit avec la Russie. Ces gens sont fous et surtout déconnectés de la réalité. Ils rêvent les yeux ouverts. Notre espoir réside dans une victoire de l’AFD qui remettra en cause toute cette stratégie guerrière et de contrôle systématique de toute pensée, ainsi que dans la prise de conscience par les USA et d’autres puissances, que cette UE est une menace pour le reste du monde et qu’il convient de la déconstruire avant qu’elle ne commette l’irréparable. Bien entendu nous eussions aimé que la France soit à l’origine de ce changement, mais il ne faut pas y compter, ils sont tous inféodés au système qui est en train de mourir. L’absence de réaction face à l’affront d’Ursula Von-der-Leyen qui refuse une fois de plus de se soumettre à la justice et à des explications sur les fonds qu’elle distribue, selon une répartition secrète, en dit long sur leur collusion avec ce pouvoir. Ils sont de fait tous décrédibilisés, et ce n’est pas, pour certains, l’éternelle promesse de changer les choses de l’intérieur, mensonge destiné à faire croire qu’ils s’opposent, qui modifiera quelque chose. Ils se sont tous disqualifiés et depuis longtemps. L’espoir est ailleurs, peut-être, dans la prise de conscience des institutions régaliennes qu’elles ne peuvent plus suivre aveuglément les délires de cette clique, mais nous n’en sommes pas là. Pour le moment nous assistons au début des révélations sur l’état réel de ce qui s’est passé, pendant le Covid, pour la guerre en Ukraine et avec les normes assommantes au prétexte de carbone… et du comment les opinions publiques sont manipulées.
C’est un préalable nécessaire pour que les masses se réveillent et demandent des comptes à tous ceux qui nous ont conduits dans ces ornières. Nous n’en sommes pas encore à ce stade, il va falloir d’autres divulgations, et peut être des actions plus directes sur certaines instances pour que le château de cartes s’écroule enfin.