Fripounette qui se trimballe Pustula en Inde et en Chine, était furieux contre Trump qui n’a pas voulu inviter sa bonne copine. Parce que l’UE n’est pas un pays, et que personne n’a élu cette grognasse. Il s’est vengé en faisant accueillir Vance aux marches du palais par un majordome gay, ce qui a eu l’air d’amuser beaucoup le vice-président. Les caprices de Macronescu sont mondialement connus et traités par le mépris.
C’est l’affolement à l’Élysée, ça sent la fin de règne
Le despote se sentant un peu seul, a appelé à la rescousse les pointures de l’Eurocrature, Tusk le Polack, Starmer le rosbif, Giorgia la pazzaiola, et Olaf Ouaf Ouaf le caniche de Pustula. Parlant au nom de tous les « Européens » qui ne lui ont rien demandé, l’immature mégalo a annoncé qu’il allait empêcher Trump et Poutine d’entamer sans lui des négociations sur la paix en Ukraine.
Toujours aussi tronche en biais, Zygomyr le virtuose du piano à queue, a exigé des Européens qu’ils rejettent tout accord conclu entre les Russes et les Américains. Plastronnant avec son rictus de faux cul habituel, il a prévenu l’Europe que Poutine s’apprêtait à en faire la conquête, de l’Oural à la pointe de Bretagne. S’ils veulent éviter le pire, les Européens n’auraient d’autre choix que de déployer au sol dans son pays délabré au moins 200.000 soldats. Et cette fois, officiellement. Plus en catimini. Jupiter et Starmer en boivent du petit lait.
Le clown mendigot de Kiev a enjoint les Eurocraturiens à créer une force armée de l’UE, sans dire avec qui, avec quoi ni comment, mais qu’importe, l’essentiel étant de la mettre à son service pour aller casser du Ruskof. Ce simple d’esprit passé du cirque à la politique, rêve toujours de s’emparer de Moscou, comme il s’en gargarisait en 2023 avant l’échec de sa contre-offensive « irrésistible ».
Les exclus de la cour des grands peuvent toujours râler, ça n’y changera rien
La réunion orchestrée par Fripounette devrait discuter des moyens à mettre en œuvre pour empêcher les Américains et les Russes de s’entendre, sans demander la permission à l’Élysée. Les Yankees ont bien offert aux petits pays des strapontins, et promis de les informer sur le cours des événements. Mais ça ne saurait suffire. Macronescu réalise qu’il n’est plus le maître du monde comme Soros et Attali le lui ont fait croire, et il ne supporte pas un tel affront. Il peut trépigner, baver et se taper la tête contre les murs, ça n’y changera rien.
En fait, les deux grands ont déjà décidé du gel de la ligne de front, de la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN, du désengagement financier et militaire des USA, des compensations légitimes pour les Russes, et de la manière dont l’État voyou pourrait recevoir une force européenne d’interposition. Ça fait des semaines que Keith Kellogg le dit, au nom de l’exécutif US, mais les petits caporaux de l’UE ont la comprenette lente.
Médiocres et arrogants, incompétents et pervers, les autocrates européistes tiennent leur pouvoir du Nouvel Ordre Mondial. Ils ont été mis en place par les banksters pour servir leurs intérêts et leur doivent allégeance. La finance, les médias, les trusts, les tribunaux, les lobbies et toutes les mafias ont choisi les plus dépravés pour mieux les dominer.
Aveuglés de suffisance, ces fantoches ne se donnent même plus la peine de poncer un vernis de démocratie
Depuis le référendum volé de 2005 (en France et dans toute l’Europe !) aux élections annulées en Roumanie, en passant par l’étranglement financier de la Hongrie, la mise en quarantaine des élus légitimes aux Pays Bas et en Autriche, l’assassinat presque réussi de Fico en Slovaquie, les élections truquées en Moldavie, la néo-Gestapo des Boches qui persécute les opposants au lieu de traquer les terroristes, et le soutien aux oligarques criminels de Kiev, l’Eurocrature est passée en vingt ans de l’autocratie magouilleuse à la dictature assumée.
Les élections leur font peur, le mot référendum les terrifient, les délits d’opinion se multiplient, et après la main mise sur les médias traditionnels, le web est leur nouveau territoire de prédation. Mais c’était sans compter sur Elon Musk, tenu pour un milliardaire farfelu qui s’est révélé un redoutable bretteur. C’était sous-estimer Trump en le qualifiant un peu vite de has been. Et c’était prendre, du haut de leur outrecuidance, JD Vance pour le perdreau de l’année.
Ivres des délices du pouvoir, ces satrapes ont commis une erreur qui, on l’espère, leur sera fatale : Ils ont confondu le gang mondialiste avec l’Amérique. Un malentendu logique du temps du queutard Clinton, du mahométan Hussein Obwana et du valétudinaire Biden. Ou de G.W Bush, tenu par les couilles du fait de ses intérêts pétroliers avec la famille Ben Laden et de son partenariat en affaires avec Khalid Bin Mahfouz.
De 1993 à 2025, ce furent trois décennies d’épanouissement pour les crapules, à l’exception du premier mandat de Trump qui avait commencé à décontaminer les hautes sphères. D’où l’acharnement de l’État profond à tout faire pour le couler, des élections truquées aux médias vendus et aux juges corrompus, jusqu’aux tentatives d’assassinat.
Après le tir de semonce de Vance. Macron convie tous ses amis tocards à un dîner de cons
Avant de retrouver le bureau ovale, le président des États-Unis les avait pourtant prévenus de ses intentions. Mais ils ne voulaient pas le croire. Tellement habitués à pratiquer les rodomontades, les fausses promesses et les palinodies, ils n’ont pas saisi qu’à la Maison Blanche, on ne se chauffe plus de ce bois là. On s’en sert pour corriger les minables.
On voit bien que Macronescu reste en son for intérieur un petit fonctionnaire sorti du caniveau par ses protecteurs les banksters. Aucune envergure. Aucune réflexion. Aucune remise en cause de ses errances. Il est programmé pour la réunionite, ce mal français qui affecte la bureaucratie. On se voit, on en parle, on se fait une bouffe et on se donne RV pour en reparler plus tard. Variation énarchique de la pensée magique : Un problème évoqué est un problème résolu.
Les médias serviles annoncent avec tambours, trompettes et castagnettes : Après la trahison de Trump, Macronescu convoque un sommet d’urgence à Paris. Bigre! Donald et Vlad en tremblent.
Que des leaders légitimes autour de Fripounette : Dick Schnouf le Néerlandais qui a volé la victoire électorale de Geert Wilders, l’Espingouin Sanchez battu dans les urnes qui a gardé son job en s’alliant avec les sécessionnistes, Pustula la Hyène qui ne représente qu’elle-même et accessoirement Pfizer… Et afin que les choses soient claires, tous sous la houlette du lessivier Mark Rutte, patron de l’OTAN nommé par Biden fin 2024, juste avant de rendre son trône usurpé.
Les Polacks et les Ukronazis, suiveurs insignifiants, font une standing ovation à Macronescu. Mais les Boches qui savent que, sans les USA, la Russie les balayerait comme en 1945, restent dans l’expectative. Et puis d’Attila à Hitler, les Huns ont le culte du chef dans leur ADN. Ils se rangent toujours du côté du plus fort. Or avec Trump et Vance, ils en ont deux pour le prix d’un.
Quant aux Angliches, l’abject Keir Starmer adopte le comportement de tous les lâches. Il trahit et massacre son propre peuple et fournit des armes et des mercenaires à Kiev, mais jamais il n’osera défier les USA, puissance tutélaire sans laquelle son pays s’effondrerait. En fait, il a le cul entre deux chaises. Depuis le Brexit, il cherche à se rapprocher des tocards de l’UE. Mais il voudrait aussi rétablir les relations privilégiées traditionnelles avec les États-Unis, donc avec Trump. Pour le Daily Telegraph, « l’heure de vérité a sonné pour Starmer ».
Perturbés dans leur arrogance par l’idée que les États-Unis et la Russie pourraient s’entendent pour exclure l’Eurocrature des pourparlers de paix sur l’Ukraine, les satrapes du vieux continent cherchent une échappatoire. Mais off the record, ils ne se font guère d’illusions. Ils savent pertinemment ce que valent Macronescu et le Zygomyr. Des paravents de papier crépon qui se prennent pour la muraille de Chine.
Les Boches ont tout compris : « Le président Trump a une méthode d’action que les Russes appellent razvedka boyem : La victoire au combat s’obtient en s’adaptant aux réactions de l’adversaire. Vous foncez, vous évaluez le résultat, et si ça ne passe pas, vous changez de position et de tactique pour attaquer ailleurs ». Carl Von Clausewitz avait lu Sun Tzu…
Christian Navis
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