Ivre de la complaisance des médias occidentaux et de la complicité des satrapes de l’Eurocrature, le petit clown de Kiev a cru pouvoir attaquer frontalement Donald et l’envoyer dans les cordes. Le résultat ne s’est pas fait attendre. Trump qui ne l’appréciait guère depuis qu’il avait couvert les combines du fils Biden en Ukraine, l’a carrément assommé.
La bien-pensance a beau pousser des cris de vierges outragées, le nabot nazillon en prend plein la tronche
Les propagandistes du Nouvel Ordre Mondial n’ont pas encore compris, eux aussi, que l’ère des mensonges d’État et des médias couchés touchait à sa fin. Les baratineurs russophobes ont perdu toute crédibilité. Et Donald Trump a rétabli la vérité des faits historiques. Faciles à vérifier.
Il ne reprend la rhétorique du Kremlin en disant que les Ukronazis ont ouvert les hostilités de 2014 à 2022 en persécutant et parfois en massacrant les russophones de l’Est et du Sud de l’Ukraine. Il ne fait pas de cadeau à Poutine en rappelant que les oligarques ukrainiens se sont torché le cul avec les accords de Minsk signés deux fois de mauvaise foi, pour laisser à l’OTAN le temps de réarmer les néonazis.
Il oblige les médias vendus aux États voyous de l’Eurocrature à ravaler leurs mensonges, en rappelant qu’en mars 2022, une paix était encore possible mais que les tuteurs du Zygomyr lui ont interdit d’emprunter cette voie. Tant ils voulaient humilier, affaiblir et écraser la Russie pour s’emparer de ses richesses minières, agricoles, sylvestres et halieutiques. Et lui voler son or.
Trump renverse le déni qui a fait du Zygomyr un démocrate, alors qu’il a auto-prolongé un mandat électoral obtenu en fraudant avec le concours de l’UE, quand aujourd’hui même pas un de ses compatriotes sur vingt lui fait confiance. Pas de sondages dans une dictature. Mais les agent de la CIA qui ont ajusté leur tir après la victoire de Trump sont bien placés pour évaluer la société ukrainienne qu’ils contrôlent depuis 2014 et le coup d’État de Maïdan.
Trump et Poutine feront la paix sans céder aux exigences de l’Eurocature, et encore moins aux caprice de Macronescu et du Zygomyr
Zelensky a beau s’ébrouer comme un dindon en chaleur, accusant le président américain de vivre dans un espace de désinformation russe, ses éructations pathétiques ne convainquent personne. Sauf les traîtres, les vendus et les pourris. Nombreux dans nos hautes sphères coupées du peuple.
En s’en prenant à Trump pour le présenter comme un abruti aux ordres de Poutine, le nabot de Kiev est allé trop loin, et a été payé en retour. Traité, à juste titre, de petit dictateur minable qui a peur des élections.
Pour les abrutis de Sciences Pots de chambre, qui pontifient en toutes circonstances, sûrs de leur infaillibilité, les discours de Trump prouvent « que les États-Unis ne sont plus nos alliés ». Mais l’ont-ils jamais été ? Étranges experts qui n’ont pas encore compris que les USA peuvent être des partenaires fiables, si leurs intérêts et les nôtres convergent, mais qu’ils feront toujours passer leur pays avant toute autre considération. Si le mot « patriote » est une insulte en France, il n’en va pas de même là-bas.
Jusqu’à quel point les USA seront-ils toujours considérés comme les alliés des Européens ? Question idiote qui prouve le gap culturel qui nous sépare. L’Amérique n’est pas à notre service pour aider des dirigeants dégénérés à continuer à asservir leurs peuples en assouvissant leurs caprices. La nouvelle politique américaine marque effectivement un changement radical, et dramatique pour les profiteurs d’hier, dans les relations internationales et l’ordre mondial. Mais les pleureuses du NWO vont devoir s’adapter ou disparaître.
En excluant l’Eurocrature et l’Ukraine des futures discussions avec la Russie, le président américain a remis les pendules à l’heure. Il ne tourne pas le dos au Vieux continent, il remet les minus à leur juste place. Les Macronescu, Starmer, Olaf et Pustula sont des moustiques que l’éléphant Républicain peut écrabouiller d’un coup de patte.
Une attitude réaliste que nos crapules qualifient d’indécente, puisqu’ils se sont pris une baffe dans la gueule
Après la rencontre entre responsables russes et américains en Arabie saoudite, mardi, pour décider du futur sort de l’Ukraine, mais sans le pitre Zygomyr, Trump a fustigé les réactions du dictateur de poche.
« Aujourd’hui je l’ai entendu dire que c’était une honte, de ne pas l’avoir invité avec les Européens. Mais vous étiez là depuis trois ans. Vous auriez dû mettre un terme à la guerre il y a trois ans. En fait, vous n’auriez jamais dû la commencer.»
La Russie a justifié à juste titre son opération militaire spéciale lancée en février 2022 par la volonté de mettre fin à un génocide de millions de russophones et russophiles par des néonazis, ainsi qu’en réaction à l’élargissement de l’Otan et à sa progression armée pour encercler et acculer la Russie. Une analyse géopolitique que Trump partage. Considérant qu’il est encore temps de réparer les pots cassés et de rétablir des relations fructueuses mutuelles entre les deux empires.
Les traîtres et collabos les plus pourris de l’Eurocrature vendus aux djihadistes pour une poignée de pétrodollars, ont l’impudence de dénoncer une « collusion idéologique » entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Pire encore, dans leurs délires, ils accusent Trump de n’avoir aucune notion des crimes contre l’humanité. Eux qui éliminent leurs propres peuples chez eux, et favorisent les Ukronazis auteurs de crimes de masse, à coups de milliards volés au détriment de leurs nations, sans l’accord de leurs électeurs.
Des crapules stupides ou très naïves ?
Les « commentateurs autorisés » les seuls qui ont le droit de s’exprimer dans nos merdias, avec la bénédiction de l’ARCOM, considèrent le double jeu du Zygomyr comme une victoite. « Il a bien fait de tenter de cajoler son homologue américain» disent-ils, toute honte bue, déplorant que cette manœuvre grotesque de fayot ait échoué. Aujourd’hui, Trump et Poutine vont se rencontrer prochainement pour trouver un accord de paix dans le dos des Ukrainiens et des Européens. Bien fait pour leurs sales gueules !
Il ne reste plus que des combats d’arrière garde aux Eurocraturiens pour se défouler de leurs rancœurs. Dos au mur et lâchés par Washington, ces canailles annoncent leur intention de redoubler d’efforts pour soutenir l’Ukraine. Comprendre, donner toujours plus de pognon et fournir toujours plus d’armes jusqu’au cessez-le-feu. Et peut-être même au delà pour entretenir un terrorisme belliciste.
Fripounette avoue sans vergogne que face à la menace existentielle qui pèse sur son amoureux barbichu, la France et les Vingt-Sept vont devoir se réarmer rapidement et massivement. Ce qui risque d’exiger des sacrifices très importants. Pas des zélites mais des gueux. Du moins tant que ceux-ci ne se révolteront pas.
Christian Navis
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