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LFI, La France Islamique, s’inspire des affiches et slogans antisémites des nazis

Jusqu’où les islamo-gauchistes français iront-ils dans l’abjection ?

Depuis le massacre par le Hamas de 1500 civils le 7 octobre 2023, femmes, vieillards, enfants et bébés, que l’abject wikimerdia osait qualifier « d’opération militaire des Palestiniens », avant de se reprendre, on assiste à un affichage sans complexe de l’antisémitisme de l’extrême et de l’ultra gauche.

En fait, il n’avait jamais complètement disparu. Mais les merdias s’ingéniaient à le cacher. Jusqu’à ce que des matrones plus ou moins exotiques de LFI, se lancent dans des discours faisant l’apologie du terrorisme, et trouvent des excuses absolutoires aux assassins, tortionnaires et preneurs d’otages. Dans le silence complice ou apeuré de la caste politico-médiatique.

Les propos de Mathilde Panot et de Rima Hassan leur ont juste valu une petite tape sur les doigts. À la différence des patriotes dénonçant l’islamisation de la France, lourdement condamnés pour délits d’opinion… Comme si le délit d’apologie du terrorisme allait être abrogé sous peu par les affidés de Macron, ainsi que l’exigent ses alliés électoraux du deuxième tour des législatives 2024. Des voix d’appoint bienvenues après la prochaine dissolution, dans quelques mois.

Dans ce contexte, doit-on s’étonner que LFI assuré de l’impunité invite à l’Assemblée anti-nationale un collectif islamiste proche du CCIF dissous en 2020, qu’on suspectait d’avoir formaté idéologiquement l’assassin de Samuel Paty. La pitoyable Braun-Pivet, membre du parti présidentiel et présidente de l’Assemblée fantoche se gardant bien d’intervenir. Sur ordre de l’Élysée ?

En utilisant une caricature de Cyril Hanouna, comme un paravent pour leur soi-disant lutte antifasciste, les crapules LFIstes affichent au grand jour leur doctrine malsaine.

Après avoir réclamé l’éradication d’Israël accusé de génocide, avec « une Palestine du Jourdain jusqu’à la mer », les orphelins du Hamas et du Hezbollah ont peaufiné un nouvel angle d’attaque.

Mardi 11 mars, La France Islamique a publié sur les réseaux asociaux une affiche appelant à manifester contre l’extrême droite, ses idées et ses relais, à l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la discrimination raciale. Agresser des Juifs, parce qu’ils sont juifs, c’est combattre le racisme ! Rien de tel pour appuyer ces propos orwelliens que de reprendre les graphismes immondes de Herr doktor Goebbels.

L’affiche détourne une image de Cyril Hanouna, le visage déformé par la haine, sur fond noir au-dessus de lettres jaunes et blanches. Un visuel macabre qui nous renvoie aux années quarante. Les couleurs jaune et noir correspondent. S’agit-il d’un pur hasard chromatique ? Des commentateurs ne s’y sont pas trompés. « Les antisémites utilisent la photo caricaturale d’un Juif pour appeler leurs électeurs mahométans les plus radicaux à défiler contre la République ».

Une internaute raille la poissonnerie Merluchon. « Outre le visuel minable, penser que les Français ont besoin de Cyril Hanouna pour voter RN est assez risible… Les propos de LFI alimentent déjà largement leur vote ».

Pour l’ex-député UDI Meyer Habib, dont l’élection a été invalidée (quelle surprise !) « À LFI, ils sont clairs dans leur haine des Juifs et d’Israël . Par clientélisme et électoralisme cynique, ils ont troqué le bleu ouvrier contre le vert islamiste, et la faucille et le marteau contre la charia  ! ».

La gauche antisémite était, jusqu’en octobre 2023, un sujet tabou masquant une réalité qui ne date pas d’hier

Puisque la « gauche morale », forcément morale, avait capté et monopolisé la lutte contre le racisme, celui-ci ne pouvait être que de droite. Forcément de droite. En oubliant les penseurs de gauche comme Proudhon (1809-1865) inspirateur de la doctrine socialiste, qui dénonçait dans le Juif « l’ennemi du genre humain, une race qu’il faut renvoyer en Asie ou exterminer ». Le national socialiste Adolf a su s’en inspirer.

Entre les deux guerres mondiales, le normalien Marcel Déat cofondateur du Parti Communiste Français, dénonçait « le byzantinisme de Léon Blum et sa passivité orientale », accusant la SFIO de « subir la dictature juive capitaliste». L‘équation Juifs = capitalistes = ennemis de classe, est un des piliers du socialisme. Les nazis l’utiliseront. Comme les petits truands qui ont torturé à mort Ilan Halimi en 2006.

Jean Jaurès, la statue du commandeur pour la gauche bien-pensante, lors de son voyage en Algérie en avril 1895, décrivait les juifs comme « des usuriers, accaparant peu à peu la fortune, le commerce et les emplois publics (…) Ils tiennent une grande partie de la presse, des grandes institutions financières, et quand ils n’ont pu agir sur les électeurs, ils agissent sur les élus ».

Jaurès n’a pas vu qu’après les décrets Crémieux de 1870 permettant aux Séfarades du Maghreb d’opter pour la nationalité française, beaucoup de ces « gros capitalistes » continuèrent à exercer des métiers d’artisanat traditionnel, tailleurs, brodeurs, horlogers, chaudronniers, vanniers, tisserands, ou commerçants de détail. Quand, dans le Sud, les Juifs vivaient sous la tente et nomadisaient comme les musulmans.

L’historien thuriféraire de Jaurès, Gilles Candar, militant actif de la LDH, Ligue des Droits de l’Homme, et membre du PCF attribuera les propos de son idole à « une grosse fatigue ».

Dans son discours de Tivoli en 1898, trois ans après son voyage, Jaurès toujours pas reposé, en rajoute dans l’antisémitisme de comptoir : « Nous savons bien que la race juive, dévorée par une sorte de fièvre du gain quand ce n’est pas par la force du prophétisme, manie avec une particulière habileté les mécanismes capitalistes de rapine, de mensonge, et d’extorsion ».

La Troisième République, majoritairement de gauche et franc-maçonne, assumait son antisémitisme

Les députés du Front Populaire ont accordé les pleins pouvoirs à Pétain et, plus tard, approuvé des lois raciales qui allaient au delà des exigences des nazis. Et on ne comptait pas les personnalités de gauche recyclées à Vichy dans la collaboration. Parmi les plus nuisibles avec Laval, Belin, Bousquet, Déat, Doriot, Luchaire, Marquet… Et un certain François Mitterrand en stage de formation à l’exercice du pouvoir, chez le tortionnaire Bousquet.

Anne Hidalgo voulait débaptiser la rue Alain (1868-1951) Émile-Auguste Chartier pour l’état civil, en raison des écrits antisémites de ce philosophe radical-socialiste. Agira-t-elle de même avec Jean Jaurès ?

L’antisionisme est le cache-sexe de l’antisémitisme chez les islamo-gauchistes, et ce n’est pas nouveau !

Déjà en 1970, les bolchos avaient pris la défense inconditionnelle des terroristes de Septembre Noir. Pas quand ils se massacraient entre mahométans de factions rivales. Mais quand ils se sont mis à assassiner des Israéliens. Et à exporter leurs attentats en Europe.

Le grand humaniste maître ès moraline Edwy Plenel soutenait sans réserves dans son journal « Rouge » tribune de la Ligue Communiste Révolutionnaire (LCR) les terroristes de Septembre Noir qui, en 1973, aux JO de Munich, avaient froidement assassiné onze athlètes israéliens. « Un acte justifié », disait cette ordure de Sartre, sanctifié par la gauche.

Au point où ils en sont, les islamo-gauchistes pourraient citer en exergue de leurs vomissures ces propos de Hitler « Les peuples régis par l’islam seront toujours plus proches de nous que les Français, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines ».

Christian Navis

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