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Des ONG sont complices des « Mafias de passeurs » de migrants

Les autorités italiennes, après une longue enquête et un dossier de 651 pages (qui ont pu être consultées par des journalistes suisses du Temps), accusent nominativement trois ONG internationales d’être les complices des « passeurs » en mer Méditerranée.

Les trafiquants avertissent les ONG dès le départ des embarcations remplies de migrants afin qu’elles puissent se situer, en priorité et avant qu’une autre ONG, apparemment non complice, ou complice d’autres trafiquants, ne puissent les recueillir.

La police italienne a saisi des ordinateurs et des téléphones portables, lors des perquisitions effectuées sur ces bateaux, ce qui leur a permis de reconstituer le schéma employé.

Par exemple il y avait une conversation dévoilant qu’un navire de l’ONG en pleine mer était informé qu’un bateau contenant 500 migrants allait bientôt arriver, en provenance des côtes libyennes et, quelques instants plus tard, ce bateau arrivait et les migrants montaient tranquillement à bord, sous la surveillance des organisateurs.

D’ailleurs le chef des « passeurs » montait également à bord du navire de l’ONG et disparaissait dans la nature dès l’accostage dans un port italien.

Des écoutes téléphoniques ont permis de saisir des messages concernant des prises de rendez-vous au large de la Libye, avec le bateau de l’ONG, trois jours plus tard à 5 h du matin mais pas avant.

Un policier italien avait infiltré l’une des équipes de sauvetage de l’ONG.

Trois ONG sont ainsi nommées et accusées : « Save the children » via son bateau Vos Hestia – « Médecins sans frontières » via son bateau Vos Prudence – et « Jugend Rettet » via le bateau Iuventa.

Ces trois ONG contournaient le système de secours mis en place par les autorités italiennes et collaboraient ainsi à ce trafic lucratif d’êtres humains, ce qui vient s’ajouter au trafic de la vente d’esclaves noirs, toujours pratiqué vers les Émirats arabes unis.

Ces migrants paient leur passage et plus de 30.000 d’entre eux auraient disparu en mer depuis 2015, selon l’Organisation internationale pour les migrations.

21 personnes au total, membres des équipages de ces navires ONG, ont été interpellées, de différentes nationalités, notamment des Français, des Espagnols, des Italiens et des Allemands, mais aucun des responsables nationaux.

De nombreuses autres ONG n’ont pas été contrôlées. Souvent subventionnées par la fondation mise en place par Georges Soros. Il serait grand temps que l’Union européenne se saisisse de cette enquête et mette ces ONG hors d’état de nuire.

Parmi ces dizaines de milliers de migrants qui enrichissent ONG et passeurs, des soi-disant mineurs isolés non accompagnés qui, pour 92 %  d’entre eux, sont en fait des majeurs, selon une enquête de la DSPAP (Direction de la sécurité de proximité de l’agglomération parisienne), communiquée par le quotidien Le Figaro  et une large majorité, 75 %, serait d’origine maghrébine. Les autres de diverses origines : Libyens, Syriens, Maliens, etc.

Par ailleurs, selon un rapport parlementaire, plus de 3000 de ces soi-disant mineurs isolés non-accompagnés seraient tombés dans la délinquance en France.

Manuel Gomez

https://ripostelaique.com/des-ong-sont-complices-des-mafias-de-passeurs-de-migrants.html

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