
On n’en peut plus de voir nos compatriotes se débattre avec des squatters, pour la plupart des « migrants » venus de la zone afro-arabo-musulmane, qui ne veulent rien entendre sur le droit à la propriété en vigueur en Occident et qui considèrent à la fois qu’ils ont le « droit de » et que l’Occidental à le « devoir de ».
Il faut savoir qu’en cas de squat de votre bien immobilier, on continue de vous demander de payer l’eau, l’électricité, le gaz, qui sont alors les consommations de vos occupants illégaux. Les forces de l’ordre, non seulement ne vous sont d’aucun secours, mais elles ont pour mission de protéger vos bourreaux en cas de tentative, de votre part, de vouloir récupérer votre bien, de la même manière qu’il vous a été confisqué : par la force. On en arrive donc à ce grand « principe démocratique », dans lequel le fruit de votre vie de travail peut vous être pris tout à fait légalement par le premier venu du fin fond de l’Afrique, avec la complicité de votre gouvernement. Il vous appartient donc d’entamer une procédure judiciaire, sans garantie, pour récupérer votre bien, sur une durée de un à trois ans, puisque des associations subventionnées par l’argent public vont venir elles-aussi, au secours des illégaux et de récupérer également les dégâts qui seront à votre charge. Au RPF, dans les premières mesures que nous préconisons : l’obligation pour les forces de l’ordre de libérer votre bien immobilier occupé illégalement sous 24 heures, par n’importe quel moyen et sans obligation de relogement de gens qui sont des délinquants. On peut toujours qualifier cela de mesure d’extrême droite, tant que ce n’est pas sa maison qui est squattée.