Notre rapport avec l’Algérie relève d’un sadomasochisme qui mériterait une analyse psychologique approfondie car les intérêts économiques ne sauraient expliquer à eux seuls ce goût de nos dirigeants pour l’humiliation que nous inflige ce pays inventé de toute pièce par la France. Invention sur laquelle il n’est pas nécessaire de revenir, plusieurs articles documentés sur ce sujet ayant été publiés sur Riposte laïque.
https://ripostelaique.com/la-conquete-de-lalgerie-pourquoi.html
S’agissant de nos échanges commerciaux avec l’Algérie, ils ne sont pas si exceptionnels qu’ils mettraient notre économie en danger si nous rompions ces échanges. Ainsi, selon les chiffres du ministère de l’Économie et des Finances :
« Après trois années consécutives de croissance, les échanges commerciaux entre la France et l’Algérie ont reculé de 4,3 % en 2024, atteignant 11,1 Mds EUR. Cette baisse s’explique principalement par la diminution des prix des hydrocarbures, qui a entraîné une contraction des importations françaises en provenance d’Algérie.
En 2024, les exportations françaises de biens vers l’Algérie ont progressé de 6,6 % en glissement annuel, atteignant 4,8 Mds EUR. »
https://www.tresor.economie.gouv.fr/Pays/DZ/relations-economiques-bilaterales
Et si l’Europe de la Nosferatu allemande, au prénom de Minitel coquin, n’avait pas excité tout son petit monde à entretenir une guerre perdue d’avance pour l’Ukraine, nous pourrions avantageusement nous tourner exclusivement vers le gaz russe, un pays qui convient mieux à notre identité culturelle, quoi qu’en disent les gauchistes apatrides et très incultes. Contrairement à l’Algérie, qu’on peut qualifier, au regard des faits, de pays ennemi.
D’ailleurs, « grâce » à cette guerre russo-ukrainienne entretenue comme un feu de cheminée en hiver, l’Algérie a vu ses exportations de gaz augmenter de telle sorte qu’elle est devenue le deuxième exportateur dans l’Union européenne, derrière la Norvège.
Dans le même temps, et pour remercier la même Union européenne, l’Algérie inonde notre continent de ses ressortissants, dont la violence est exponentielle, particulièrement en France. Une violence trouvant au moins deux explications qui s’entremêlent : l’islam et la haine fantasmatique postcoloniale. Car, pour ce deuxième point, l’Algérie entretient un ressentiment à l’égard de notre pays qui la rend aveugle à ce que ce même pays a apporté à une terre qui, autrement, serait aussi stérile qu’Haïti. La civilisation occidentale a fait l’Algérie, point barre.
C’est pourquoi, la rente mémorielle algérienne n’a aucune raison d’être, savamment entretenue il est vrai par de mauvais historiens – plus idéologues que sincères chercheurs – ignorant volontairement l’apport civilisationnel occidental sans lequel l’Algérie serait incapable d’extraire son gaz par exemple. Gaz dont la vente enrichit une poignée de dirigeants-dictateurs corrompus à défaut de permettre aux forces vives de cette Nation de la développer économiquement. Et comme dans le roman dystopique de George Orwell – bien plus inspiré par le stalinisme que le nazisme au passage –, 1984, le pouvoir algérien semble avoir adopté les « deux minutes de le haine » pendant lesquelles sa population déverse précisément sa haine de la France.
Haine qui se traduit par une invasion migratoire vengeresse et dont la violence, sans réponse ferme en face, ne cesse d’augmenter, avec en dernière date des influenceurs, sous influence gouvernementale algérienne, se payant le luxe de nous menacer sur notre propre sol.
Et tandis que les fanatiques de gauche, LFI en tête, hurlent aux crimes israéliens à Gaza, ces mêmes fanatiques encensent l’Algérie totalitaire qui pratique cependant la torture dans ses prisons, particulièrement sur les opposants au régime. L’écrivain Boualem Sansal subit d’ailleurs cette torture, qui s’exprime notamment par une absence de soins alors que cet homme est malade.
Pourtant, et au mépris de la réalité, Emmanuel Macron – ainsi que nombre de politiciens soumis à l’Algérie, Dominique de Villepin en tête, par ailleurs porte-parole officieux du Qatar ! – a une nouvelle fois rampé devant les dirigeants algériens et ce, au mépris de l’opinion publique française. Preuve, s’il en fallait encore une, que le pouvoir est essentiellement hégémonique chez nous et pas du tout démocratique. Ainsi, dimanche dernier, le sinistre ministre français des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot, est allé présenter ses excuses à Alger pour « reconstruire un partenariat d’égal à égal, serein et apaisé ». Ce qui, en langage diplomatique macroniste, signifie se soumettre. Et tant pis pour Bruno Retailleau qui n’aura plus qu’à se soumettre à son tour ou, s’il lui reste de l’honneur, démissionner. Mais il ne semble pas en prendre le chemin.
Quoi qu’il en soit, il serait grand temps d’agir avec l’Algérie comme Napoléon rêvait de faire avec l’Angleterre et envoyer cette perfide Albion nord-africaine se faire voir au large de nos côtes. Toutefois, contrairement à Laurent Wauquiez et sa proposition délirante, il ne s’agit pas d’aller polluer Saint-Pierre-et Miquelon en l’inondant d’OQTF – dont une masse d’Algériens – mais de les renvoyer chez eux avec force et peu importe ce qu’en diront les droits de l’homme, qui ne valent que pour l’homme wokiste, selon leur définition totalement orientée politiquement. Quant au bi-nationaux, s’ils adorent tant l’Algérie, qu’ils y retournent. « Bon voyage et bon vent ! La paille au cul et le feu dedans ! », comme dit l’expression populaire très imagée !
La France n’est pas le paillasson d’un pays corrompu et incapable d’évoluer depuis des décennies qu’il a son indépendance et pleurniche sur le passé qu’il réinvente à sa convenance. C’est dit !