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Quand l’Europe s’écrase devant l’hydre islamique, la Chine la terrasse

Les autocrates de Bruxelles, infiltrés par les émirats pétroliers, claquent dix millions d’euros pour traduire le coran dans toutes les langues de l’Eurocrature afin d’en rendre accessibles à tous la beauté et la poésie (sic).

Un pourboire de garçon d’étage comparé au 1,6 milliard d’euros alloués en 2024 aux assassins du Hamas. Tandis qu’une foultitude de groupes corrupteurs d’inspiration islamique achètent les votes et les entreprises du vieux continent avec leurs pétrodollars.

Les Chinois font la guerre à une doctrine mortifère

Les Han ont compris que la lutte contre le terrorisme n’est pas seulement une affaire de police criminelle et de frappes militaires. Ils ont décidé d’expurger «mein korampf» de ses sourates criminogènes. Plus d’incitations aux meurtres, aux pillages et à la soumission des femmes. À la place, une somme d’aphorismes civiques et de pensées philosophiques, de conseils matrimoniaux et de préceptes de puériculture.

Des directives interdisent les distributions gratuites de corans dans les écoles et les visites organisées pour les enfants dans les mosquées. Quant aux bâchées, elles peuvent se déguiser tant qu’elle veulent chez elles. Mais dehors, elles sont arrêtées et écopent de peines de prison ferme. La police n’est pas tendre avec les contrevenantes.

Chez les Hui de la région autonome du Ningxia, il est interdit de mentionner «halal» en écriture arabe sur les devantures des restaurants et des boucheries. Cette certification est prohibée et on envoie en camp de travail les imams qui continuent à l’attribuer. Ça les calme.

Les lieux de culte, foyers de subversion, sont visés également

Les mosquées assorties de madrasas (écoles coraniques) ne sont pas seulement des lieux de prière où l’on fait psalmodier aux « croyants » les délires nauséeux d’un chamelier illettré et pédophile, qui sévissait en Arabie il y a 1400 ans. Pour les mahométans, ce sont des marques indélébiles apposées sur tout nouveau territoire conquis. Devenant un point de départ vers de nouvelles annexions.

Les Chinois tiennent ces bâtiments pour des casernes de djihadistes, des structures d’encadrement pour les factieux, des tribunaux mafieux et des viviers de terroristes… Dans leurs textes sacrés, les mahométans et leurs exégètes s’en targuent, quand ils ne se retranchent pas derrière la taqîya destinée à berner des infidèles naïfs et ignares.

Les dômes, les minarets et les arabesques sur les murs n’ont pas leur place en Chine ! Symboles de l’emprise sur un territoire de conquête, les bâtiments les plus imposants sont des cibles prioritaires. Comme la mosquée de Doudian, près de Pékin. Une des plus grandes du Nord de la Chine, dont les dômes pesants et les minarets agressifs ont été éradiqués.

Quant aux mosquées provinciales, elles font connaissance avec le bulldozer comme en Inde. Ou avec la dynamite quand on est pressé. Selon des données satellite, 20.000 mosquées chinoises auraient eu leurs éléments de style arabo-musulman détruits en 6 ans. Quand elles n’ont pas été entièrement démolies ou pulvérisées.

Les vieilles mosquées apportant un témoignage architectural n’ont pas toutes été effacées dans les plans de rénovation urbaine, certaines ont été reconverties en musées ou en lieux évocateurs d’histoire. Où la culture chinoise prédomine.

Deux philosophies et deux façons de vivre incompatibles

La culture ancestrale des Chinois s’exprime par des pagodes, des palais et des demeures, respectant un équilibre avec la nature, dans la sobriété et la discrétion. Basées sur les principes du taoïsme et du bouddhisme qui ont survécu aux moralismes rigides de Confucius et de Mao, elles doivent exprimer un goût raffiné, une beauté philosophique et une pensée rationnelle.

Depuis le Xinjiang région autonome et terre d’implantation de l’islam au XIIIe siècle, les envahisseurs Ouïgours prétendaient imposer leur foi et leurs lois à un milliard et demi de Chinois. Symbole de leur puissance passée, 25.000 mosquées parsemaient le paysage. Plus de la moitié ont disparu. Celles encore debout ont eu les dômes et les minarets ratiboisés. Et les sonos tonitruantes ont été interdites. Fracassées en cas d’obstination à maintenir la pollution sonore.

Les observations satellite montrent que dans le Ningxia, au centre du pays, plus de 90 % des mosquées à l’architecture classique ont été modifiées ou éradiquées. Dans la province chinoise du Gansu adjacente, 80 % ont disparu du paysage. « On est chez nous et on fait ce qu’on veut chez nous, disent les Han. Mais on ne les empêche pas de partir… »

Il reste 25 millions de coraniques dans l’immense Xinjiang. Dans le NingXia, 15 millions contrôlent encore une enclave en cours de sinisation. Au Gansu et au Yunnan où ils étaient majoritaires, ils ne sont plus que 8% et 2%. Preuve qu’on peut inverser la tendance si on le veut vraiment.

Pour les autorités qui veillent au maintien de l’ordre, la religion n’est pas une excuse.

Dans et autour des mosquées restées ouvertes, des systèmes de surveillance contrôlent les allées et venues des pèlerins. Caméras, drones, informateurs, descentes de police inopinées. Pas question de laisser des prédicateurs salafistes exhorter au djihad.

Naturellement les permis de construire de nouvelles mosquées sont bloqués… Parfois, plutôt que de les démolir, on leur trouve un nouvel usage. Les plus vastes abritent des bâtiments administratifs ou des dispensaires, ou sont reconverties en petits centres commerciaux. Celles qui ont du terrain autour peuvent faire des parkings.

Dans le village de Huang Niwan situé dans la Préfecture autonome Hui du Linxia, la mosquée a été transformée en atelier de fabrication de chaussures. Un énergumène du cru, pas content, a brandi un couteau. Une policière lui a collé une balle dans la tête. Et on a présenté la facture du projectile à sa famille. Fin de la rébellion.

Parmi les fliquettes chinoises de choc, dotées du permis de tuer, on trouve des apostates qui ont échappé à l’esclavage islamique et règlent de vieux comptes. Pour elles et pour leurs sœurs pas encore libérées. Ça, c’est du féminisme !

Il y a 2300 ans, Han-Fei-tse anticipait Machiavel in « L’art de gouverner » ou «Le Tao du prince» et écrivait : « Une police efficace est une police aimée des paysans et crainte par les brigands.» En France, les honnêtes gens ont peur des flics éborgneurs de Macron tandis que les voyous impunis se rient de l’autorité… Les Chinois ont humilié Fripounette en lui proposant des conseillers pour l’aider à réformer sa police.

La société chinoise ne tolère qu’un islam de basse intensité.

Tandis que nos bobos s’extasient des us et coutumes des coraniques et les copient ou se convertissent, les Chinois considèrent que si le principe de liberté religieuse est inscrit dans leur Constitution, tout affichage ostensible d’une croyance est répréhensible et doit être réprimé.

Après avoir multiplié les émeutes et les attentats, la plupart des mahométans ont compris le message et se sont calmés. Les camps de travail et la peine de mort pour les cas les plus graves sont une pédagogie efficace. Et qu’importe les couinements des étrangers qui ont pris le parti des Ouïgours. Ces donneurs de leçons ne parlent jamais de drouadloms quand des djihadistes assassinent d’innocentes victimes.

Les mahométans de nationalité chinoise savent que la police, l’armée et la justice ne les louperont pas s’ils commettent des exactions ou des crimes. Et ceux de l’extérieur qui ont noué des liens économiques et diplomatiques avec Pékin, comme l’Indonésie, la Malaisie et les États du Golfe, ont mis de côté la solidarité de l’oumma pour continuer un juteux business.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

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