Les jérémiades des masseuses des hammams et les pleureuses professionnelles ont accouché d’une souris. Rien de nouveau n’est sorti de la machine de propagande des escrocs de la politique comme le caméléon Méluche. Il pensait attraper un gros gibier en agitant le spectre de l’islamophobie mais il est tombé sur du menu fretin. Malgré ses lamentations de dhimmi accompli et son enlacement par une musulmane frelatée, il n’a pas fait pleurer dans les chaumières.
Le tueur présumé d’Ababoukar Cissé, un Malien sans papiers (c’est le ministre de l’Intérieur qui l’a dit sur CNews) dans la mosquée de la Grand-Combe (Gard), est un franco-bosniaque âgé de 21 ans qui n’est pas un islamophobe comme le prétend la meute gauchiste qui veut imposer un narratif basé sur une fake news dans le but de sceller son alliance avec la secte des Frères musulmans.
Un marginal qui devient un criminel islamophobe, c’est un mensonge et une manipulation digne des temps de la Pravda. On dirait que ça ne vole pas haut chez hadji Rachid qui nage à contre-courant des événements pour s’attirer la sympathie de certains musulmans qui n’ont pas encore compris qu’ils sont les dindons de la farce. En vérité, il s’en fout d’eux éperdument comme de ses chaussettes. Pour lui, ils ne sont que des éventuelles voix corvéables et jetables comme du papier kleenex.
Venir verser des larmes de crocodile et se faire enlacer par une femme qui n’est pas une authentique musulmane au vu de sa tenue vestimentaire, face caméra, sent le cynisme politicien et une moisissure de la dhimmitude. Ce n’est qu’un appel du pied de plus pour capter les voix musulmanes en 2027. L’attitude de cette pseudo-musulmane de circonstance qui crie « protégez-nous, protégez-nous ! » est un blasphème conformément à la charia. Les musulmans ne sont nullement menacés, ni attaqués dans chaque coin de rue de France et de Navarre. Il n’y a que les mauvaises langues qui l’amplifient pour leur faire peur. Alors où est passée la pudeur de cette musulmane qui a osé défier Allah et Son apôtre ?
Le cri de détresse de cette femme n’est qu’une comédie savamment jouée pour faire croire que les musulmans sont en danger de mort comme le prétend et le répète en boucle M. Hafiz, le recteur de la Grande Mosquée de Paris et M. Kabtane, l’imam en chef de la mosquée de Lyon.
Une femme islamique qui enlace publiquement un mécréant est une injure à l’islam mais cela ne dérange nullement les menteurs et les manipulateurs. En vérité, cette femme a porté atteinte aux valeurs de l’islam.
Alors qu’attendent les oulémas en particulier M. Hafiz et M. Kabtane pour dénoncer et condamner le geste irrespectueux de cette femme envers les croyants ?
Un peu de sérieux, chers comédiens de la vingt-cinquième heure. Un peu d’innovation, messieurs-dames de la gauche morale et vos alliés du mensonge sacralisé et des adorateurs de la Pierre Noire.
Revenez sur terre, cher Meluche, vos larmes de crocodile, c’est du passé, et même Hollywood n’en veut pas. Il est déjà rassasié par ces larmes qu’il a transformées avant toi en rivières.
La mort d’Aboubakar est un crime abject mais qui n’est pas lié à la haine des musulmans. C’est un crime raciste et il faut le condamner fermement sans hésitation.
Mais faire de la récupération sur le dos d’un mort est honteux et immoral.
Utiliser le corps encore chaud d’un innocent pour se refaire une virginité, porte un nom : c’est de la masturbation politicienne.
Pourquoi Méluche et ses acolytes versent-ils des larmes de crocodile à géométrie variable ?
Ils oublient les morts qui ne rentrent pas dans leur grille de lecture, car ces derniers, comme Lola ou Philippine et bien d’autres, ne correspondent pas à leur stratégie de la conquête du pouvoir. Pour eux, il y a les bons et les mauvais morts.
Meluche est bien servi et son théâtre shakespearien de nouveau goût n’a pas produit l’effet escompté. Une fois de plus, il s’est pris les pieds dans le tapis de la dhimmitude. D’ailleurs, beaucoup de musulmans n’ont pas tenu cru à son intox. Ils commencent à s’apercevoir que ses équipes et lui les mènent en bateau.
Grâce à la complicité des recteurs de la grande mosquée de Paris (Hafiz), de Lyon (Kabtane-captain) et celle de Bordeaux (Oubrou), ces imams de l’islam consulaire, Méluche pensait qu’il allait faire descendre les quartiers islamisés dans la rue pour prendre d’assaut le palais de l’Elysée. Peine perdue, l’effet de surprise n’a pas eu lieu.
Ces imams-recteurs sont des manipulateurs. Ils ne disent pas la vérité, ils la cachent en amplifiant un crime raciste qui est loin d’être islamophobe. Ils savent, mais ils oublient de le dire, que la prétendue islamophobie est un concept pour faire taire les critiques de l’islam.
Hélas pour Méluche et ses alliés de la mouvance frériste, leur souhait n’a pas été exaucé. Même la minute de silence observée à l’Assemblée nationale à la mémoire d’Aboubakar n’a pas suffi à renverser le cours de l’histoire en cachant la vérité pour rester dans le déni.
Les musulmans sincères ont compris que la montée du racisme (s’il existe réellement) est dû au comportement de la gauche qui les instrumentalisent pour une politique qui les desserrent et qui fait d’eux des imbéciles heureux.
Il faut savoir que le concept d’islamophobie n’existe pas dans le fiqh (jurisprudence islamique). C’est un concept de combat inventé par la secte des Frères musulmans et repris par l’Ayatollah Khomeiny, dans le seul but de faire taire toute critique de l’islam, c’est-à-dire toute innovation ou remise en cause de l’islam politique.
L’Ayatollah Khomeiny a utilisé l’islamophobie pour contrer ses ennemis de l’intérieur, car l’islam chiite n’a jamais été dans le combat politique. Ce qui se passe actuellement en Iran, où les mollahs ont pris le pouvoir par le sang, est une hérésie et une parenthèse dans l’histoire iranienne.
Les Frères musulmans ont prodigué de nombreux conseils à Khomeiny quand il était en exil en Irak, dans les villes saintes du chiisme, à Najaf et à Kerbala, dans les années soixante et soixante-dix.
L’islamophobie est une bidâa. Toute bidâa est une hérésie.
Avec l’installation de millions de mahométans en Occident, les Frères musulmans ont introduit ce concept de l’islamophobie en l’assimilant à la haine des musulmans pour faire plier les pleutres occidentaux qui ont peur de leur propre ombre, dans le seul but d’éviter une critique sérieuse de l’islam basée sur l’histoire.
Entre le IXe et XIIe siècle, un courant de pensée des rationalistes islamiques (mutazilites) s’est développé sous le règne des Abbassides. Et c’est le théologien Ahmed Ghazali (1061-1126), un théologien soufi qui mit fin à cette réflexion qu’il considérait comme une bidâa (une innovation), une hérésie, une zendaqa (apostasie).
Depuis lors, toute autre interprétation du coran, de la sunna et en dehors des quatre écoles du sunnisme (malékisme, hanafisme, shaféisme, hanbalisme), devient de la bidaâ qui conduit à l’enfer.
Depuis le XIIe siècle, toutes les portes de l’ijtihad (les efforts de réflexion) ont été fermées et toute bidaâ est condamnée sévèrement par la jurisprudence islamique.
Depuis cette période, il n’y a plus d’ijtihad. Aucun apport de réflexion pour faire évoluer l’islam n’a été entrepris.
D’ailleurs, le prophète de l’islam a dit selon sahih Muslim : « Celui qui accomplit une action ne provenant pas de notre religion, son action est alors rejetée ».
L’ijtihad est un effort de réflexion qui est contraire aux valeurs islamiques. Il ne repose sur aucune preuve tirée du coran, de la sunna, de la tradition des compagnons de Mahomet et du consensus des savants.
L’ijtihad est illicite (haram, contraire à l’islam), car la révélation coranique a apporté les réponses face aux divers comportements et questionnements des musulmans.
Ainsi, il est écrit dans le coran :
« Nous avons fait descendre vers toi le Livre avec la vérité, pour que tu juges entre les gens, selon ce qu’Allah t’a appris. Et ne te fais pas l’avocat des traîtres » ( sourate 4, verset 105).
« Et certes, ceci est Mon chemin dans toute sa rectitude. Suivez-le donc et ne suivez pas les autres sentiers, car ceux-ci vous écarteraient de Sa voie. Voilà ce qu’Il vous enjoint ; ainsi Le craindrez-vous ? » (sourate 6, verset 153).
« Qu’Allah te pardonne ! Pourquoi leur as-tu donné permission avant que tu ne puisses distinguer ceux qui disaient vrai et reconnaître les menteurs ? » (sourate 9, verset 43).
« Il n’appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu’Allah et Son messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir. Et quiconque désobéit à Allah et à Son messager s’est égaré certes, d’un égarement évident » (sourate 33, verset 36).
La définition de la bidaâ a été donnée par l’imam Ash-Shhatibi Andaloussi dans son livre Al-L’itissam au XIVe siècle (traitant de l’innovation en islam) : « La bidaâ est une méthode inventée dans la religion qui ressemble à la déviance ».
L’islamophobie n’est-elle pas une bidaâ ? Elle est donc frappée du sceau de l’hérésie.
L’islamophobie a été conçue par Hassan Al-Banna et ses héritiers. Pour lui, le retour aux sources, même par l’innovation (le mensonge), est l’unique voie pour instaurer le califat mondial.
Etre taxé d’islamophobe fait trembler de peur les élites occidentales, notamment françaises. Prises au piège, ces dernières sont devenues les paillassons de l’islam. Elles n’osent plus ouvrir la bouche devant les attaques des islamistes.
Méluche a compris ce stratagème et a enfourché le cheval de l’islamophobie.
Va-t-il gagner son pari risqué ? Sûrement pas. Car avant lui, il y a eu beaucoup d’aventuriers qui se sont brisés les reins devant la déferlante islamique.
Quand on joue avec le feu, on finit par se faire cramer. Un jour ou l’autre. Ce n’est qu’une question de temps.
Hamdane Ammar
https://ripostelaique.com/islamophobie-le-pari-risque-de-melenchon.html