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Incendie de la maison du maire de Saint-Brevin : retour sur une grosse manipulation d’État

Le 22 mars 2023, un coup de tonnerre éclatait dans le petit monde politico-médiatique. Les deux voitures de la maison du maire de Saint-Brevin, Yannick Morez, étaient incendiées, provoquant un début d’incendie, vite maîtrisé, devant sa maison. Nous étions alors, dans la foulée de la victoire de Callac, en pleine bataille contre l’installation d’un Cada dans le quartier de la Pierre Attelée, près d’une école maternelle et primaire.

Les rassemblements et manifestations se succédaient, les pétitions étaient massivement signées, la résistance, comme à Callac, se mettait en place. Bien sûr, silence total sur les rassemblements pacifiques organisés par les animateurs du combat, attaqués par les antifas. Silence total sur les agressions contre des personnes âgées qui osaient manifester, sur l’incendie d’une voiture de jeunes patriotes, sur la vandalisation de commerces de Saint-Brevin par les gauchistes. Les seules violences qui étaient dénoncées dans la presse depuis le début du combat étaient celles, inventées, de la prétendue extrême droite.

Dans un scénario digne du coup monté de Carpentras par le tandem Mitterrand-Joxe pour accuser le FN et Jean-Marie Le Pen de la profanation d’un cimetière juif, nous assistâmes, dans les heures qui suivirent, sans la moindre preuve, à l’accusation de tous les médias de propagande et de tous les collabos immigrationnistes, qui, tous, avaient trouvé le coupable.

Personne ne faisait le rapprochement avec une manifestation de l’ensemble de la gauche, qui s’était tenue la veille, avec des dégradations commises sur le Pont de Saint-Nazaire, situé près de la maison du maire. Pour tous les collabos, le coupable était identifié, cela ne pouvait être que « l’extrême droite », à qui ils ne pardonnaient pas d’avoir empêché, quelques semaines auparavant, l’implantation du projet « Horizons » à Callac, qui entendait imposer à la population d’une ville pauvre de 2000 habitants l’installation de plus de cinq cents clandestins en plein centre-ville. Il était hors de question qu’une nouvelle victoire des habitants, regroupés autour du collectif de Préservation de la Pierre Attelée, soit possible. Il fallait donc discréditer par tous les moyens ceux qui menaient ce combat, et les amalgamer à une extrême droite fantasmée capable de mettre le feu à la maison d’un maire immigrationniste. Les mêmes attaques avaient été menées contre les animateurs de la bataille de Callac, accusés par les médias de violences, alors que les seules agressions venaient, là encore, de militants de gauche soutenus par la municipalité.

La police fut donc chargée d’enquêter, mais à sens unique. Dix des principaux animateurs du collectif seront auditionnés, chacun de leur côté, durant de longues heures. Notre fondateur, Pierre Cassen, qui animait, comme à Callac, les rassemblements, fut lui aussi longuement interrogé par les policiers. Le maire se plaignant qu’il n’avait pas été secondé par l’État et notamment le sous-préfet, fut reçu en grandes pompes à Matignon par Élisabeth Borne. Toute la gauche collabo mobilisa ses petits soldats pour une manifestation de soutien au maire, qui ne dépassa pas mille participants. On annonça même, quelques jours plus tard, que deux personnes du collectif de Saint-Brevin avaient été arrêtées, oubliant de préciser qu’ils seront relâchés quelques heures plus tard, sans la moindre preuve contre eux.

Les policiers, à qui on faisait remarquer que parmi les manifestants gauchistes de la veille, sur le pont de Saint-Brevin, figurait un agitateur pyromane connu pour ses nombreux incendies passés, nous firent savoir, l’air un peu ennuyé, qu’on ne leur avait pas demandé d’enquêter de ce côté, surtout pas…

Depuis, le maire a démissionné, il a fait un tour du monde en bateau avec son épouse, et on lui a dit que des moyens illimités avaient été mis en oeuvre pour retrouver les coupables. Toujours en vain ! C’est à présent Dorothée Pacaud, avec sa tête de bonne sœur immigrationniste, qui l’a remplacé. Le Cada, que les résistants avaient envisagé d’attaquer avant son ouverture, a été ouvert, sous une énorme protection policière, et le quartier, avec 110 clandestins qui vont et qui viennent, ne sera plus jamais le même.

Et pendant ce temps-là, l’incendiaire de gauche suspecté, par ailleurs ancien chef zadiste pris plusieurs fois en compagnie du maire socialiste de Nantes Johanna Rolland, bénéficie toujours d’une paix royale…

Cyrano

https://ripostelaique.com/incendie-de-la-maison-du-maire-de-saint-brevin-retour-sur-grosse-manipulation-detat.html

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