Agressé jeudi dernier à Plouha, en Bretagne, Erik Tegnér a choisi de se battre à visage découvert, et de refuser de céder à la violence des prétendus antifas qui entendent lui interdire toute vie sociale, sous le prétexte qu’il a le tort de ne pas penser comme eux.
Pendant 6 minutes, le fondateur de Frontières explique pourquoi il a déposé plainte à la gendarmerie, ce lundi matin, avec sa fiancée, et surtout les raisons pour lesquelles il a choisi de médiatiser cette scandaleuse agression dont il a été victime.
Toute la mouvance patriotique doit se reconnaître dans ce courageux combat, car n’importe lequel d’entre nous, pour peu qu’il mène une bataille patriote à visage découvert, peut subir ce qu’a connu Erik à Plouha. Nous avons le droit de profiter d’une vie sociale, de participer à une fête de village, sans qu’une dizaine d’abrutis fascisants vous gâchent la soirée et que vous risquiez un mauvais coup à cause de votre engagement.
Les salopards d’Yvan Le Bolloch, Thomas Portes, Antoine Léaument et Raphaël Arnault et tous les autres collabos qui ont justifié publiquement l’agression sur les réseaux sociaux, encourageant tous les nazillons gauchistes à tuer, socialement d’abord, mais pas seulement, le fondateur de Frontières doivent payer le prix de leur incitation à la violence.
Les méthodes de la gauche bretonne, qui sont les mêmes partout ailleurs, doivent cesser. En France, on a le droit de défendre ses idées, de manifester, de refuser l’islamisation de notre pays, le Grand Remplacement, le changement de peuple et de civilisation, sans se faire menacer, insulter, intimider, frapper et trop souvent massacrer à dix contre un.
On attend donc avec impatience l’attitude du nouveau procureur de la République, Julien Wattebled, ne doutant pas que si l’agressé avait été un député LFI, il y aurait déjà eu des arrestations massives dans les milieux qualifiés d’extrême droite…
Il serait temps que les nazillons bretons fassent un petit tour par la case prison…