Hier j’écrivais un article pour exposer, avec l’exemple de ce qu’endure le RN, qu’une véritable dictature s’était mise en place en France (mais aussi en Europe) afin d’empêcher des candidats RN de se présenter (Marine Le Pen…) et comme c’est insuffisant de travailler à faire interdire le RN lui-même afin que les Français ne puissent pas voter pour les candidats qu’ils veulent élire. De plus, plusieurs « suicides » très très bizarres viennent de se produire, avec comme point commun, chez ces morts, une grande connaissance du dossier Alstom, entreprise vendue aux Américains alors qu’il s’agissait d’un véritable joyaux national grâce à ses turbines nucléaires. Vente menée par un certain Emmanuel Macron, successivement secrétaire général adjoint de l’Élysée puis ministre de l’Économie et des Finances du temps de Hollande. De méchantes langues déclarant que cette vente très polémique aurait largement contribué au financement de sa campagne électorale en 2017.
Aujourd’hui, nous allons voir une autre face de cette dictature qui se met ouvertement en place en France : la collusion entre le pouvoir et les associations de « gauche » qui, à cette occasion, deviennent au grand jour les miliciens à la solde du pouvoir, sorte de chiens de garde du régime macronien.
C’est mercredi 9 juillet que le ministre de l’Égalité entre les hommes et les femmes et de la Lutte contre les discriminations, Aurore Bergé, a dévoilé sur France 2 son nouveau chantier : réguler les réseaux sociaux et lutter contre les contenus haineux en ligne. Et pour ce faire, elle a annoncé qu’elle demandait à 12 associations de prendre en charge cette surveillance des réseaux sociaux dans le cadre d’une coalition d’associations pour lutter contre la « haine en ligne ». L’essentiel des associations choisies sont des associations d’extrême gauche très agressives contre quiconque n’est pas « progressiste » ou woke. On trouve par exemple dans les associations retenues le Planning familial qui affirme qu’« un homme peut être enceint », mais aussi des associations qui expliquent inlassablement que le racisme est systémique, que les petits garçons peuvent être des petites filles et que toute personne qui le conteste est « transphobe »… etc. Ces associations refusent par contre de dire qu’il existe un grave problème de racisme anti-blanc en France, qu’il y a un lien entre immigration et délinquance, tout comme il existe un lien entre antisémitisme et islamisme.
On notera également que pour cette mission ces associations ne seront pas tenues au bénévolat. Elles bénéficieront de « subventions substantielles » (dixit Aurore Bergé) qui seront payées, bien sûr, avec les impôts des Français. Ce qui signifie deux choses : tout d’abord que l’État est incapable de remplir lui-même cette mission de lutte contre la « haine en ligne », ce qui n’est qu’une triste confirmation puisqu’il est également et surtout incapable globalement de protéger le peuple français des agressions, vols et meurtres en tous genres qu’il subit depuis de trop longues années. La seconde chose à noter est cette complémentarité, cette complicité même, entre le pouvoir et ceux qui se prétendent des opposants. En fait, il ne sont pas plus des opposants au régime qu’il n’y a de beurre en broche. Ces associations ont tout simplement, en acceptant cette mission, vendu leur âme au diable. Au sens propre du terme puisque contre argent sonnant et trébuchant. Ils deviennent donc à cette occasion des « miliciens » du pouvoir. Miliciens du pouvoir devant se comprendre dans la pire acception du terme, c’est-à-dire comme des petits gestapistes dont le rôle sera d’espionner et de dénoncer ceux qui seront considérés par eux comme « déviants ». Et pour eux, les déviants, ce sont les patriotes, ceux qui défendent notre pays, sa culture, son histoire, nos us et coutumes et refusent de se faire « Grand remplacer ».
Sincèrement, il y a de quoi s’inquiéter. En effet ce plan d’action de la ministre aurait pu être une vraie campagne contre le harcèlement, l’intimidation et les menaces sur Internet. En réalité ce sera un gigantesque dispositif de censure idéologique anti-patriote. Un premier élément de preuve de cette réalité est constitué par la liste des associations retenues. La voici : Le Crif, la Fédération des centres LGBTI+, Flag!, la Licra, M’endors pas, le Mouvement du Nid, Osez le féminisme, le Planning familial, Respect Zone, SOS Homophobie, SOS Racisme et Addam.
Le second élément de preuve est que ces douze associations seront chargées de signaler à l’Arcom (Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, qui a fermé C8) les propos en ligne relevant du « racisme, de l’antisémitisme, de l’homophobie, de la misogynie et de la haine anti-musulmans ». Et la ministre de préciser : « C’est un enjeu démocratique majeur, c’est un enjeu de santé publique pour nos enfants, pour nos adolescents » (…) « Aujourd’hui, on voit bien à quel point les plateformes, les réseaux sociaux ont une influence absolument énorme sur nos vies ».
Aurore Bergé a même insisté : « Il faut faire cause commune » (avec les associations) expliquant avoir aussi reçu au mois de juin, et lundi 7 juillet, les principales plateformes du numérique et des réseaux sociaux (Meta, Snapchat, TikTok, Twitch, YouTube) à ce sujet. « C’est une nécessité de leur rappeler leurs obligations et de leur dire que nous n’allions pas abdiquer et que si elles ne se conformaient pas à leurs obligations, alors ça voulait dire qu’évidemment la France engagerait avec l’Union européenne toutes les sanctions nécessaires », a conclu la ministre.
En vérité, la ministre expose sans état d’âme qu’elle constate que les réseaux sociaux jouent un rôle fondamental dans la circulation de l’information, or le pouvoir veut absolument contrôler cette circulation de l’information. Donc, il travaille d’une part à verrouiller les médias en cherchant à faire fermer ceux qui ne propagent pas le discours officiel de la doxa (CNews, Europe 1, Frontière…) et d’autre part à faire taire sur les réseaux sociaux tous ceux qui affichent une opposition marquée au discours officiel ou qui contribuent à faire circuler des informations que le pouvoir veut cacher.
Le troisième élément de preuve est qu’en plus de dénoncer à l’ARCOM, ces associations gavées de subventions pourront aussi engager des procédures judiciaires contre ceux qu’elles dénonceront. Et c’est un moyen très efficace de faire taire les gens en les noyant sous des procédures au tribunal qui coûtent une fortune.
L’initiative d’Aurore Bergé doit se voir comme la mise en place d’un élément de plus dans l’édifice absolument anti-démocratique en train de s’instaurer dans toute l’Europe, tout spécialement en France. De l’annulation des élections en Roumanie suivie d’une tricherie de masse lors du second processus électoral pour faire élire de justesse le candidat pro-Europe, en passant par la décision du ministre de l’Intérieur de Rhénanie-Palatinat (Land allemand) annonçant l’interdiction d’embauche dans la fonction publique de ce petit Land allemand de toute personne militant à l’AfD, le parti allemand anti-immigration et anti-islamisation, jusqu’à l’inéligibilité de Marine Le Pen en France et la perquisition au siège du RN, soi-disant pour vérifier les prêts reçus par le RN mais à l’occasion de laquelle la police et les magistrats ont embarqué tous les éléments de la stratégie électorale du RN pour les prochaines années, tout cela montre que de manière concertée, dans toute l’Europe, un système totalitaire se construit pour bâillonner les peuples et faire taire les opposants.
S’agissant de l’immigration, on savait déjà que les associations de « gauche » d’une part sont les complices de la mafia des passeurs et que d’autre part, là aussi moyennant d’énormes subventions (plus d’1 milliard d’€ en 2024), ils s’occupent – à la demande de l’État – des migrants au plan local. Grâce à ces missions, les exemples ne manquent pas qui prouvent que de nombreux dirigeants et cadres de ces associations s’en mettent plein les poches. Très souvent de manière absolument illégale, mais surtout en affichant un désintérêt total pour les conséquences de leurs actions sur l’avenir de notre pays et sa population.
Avec l’initiative d’Aurore Bergé, on a aussi la preuve que ces associations de « gauche » prétendument progressistes et attachées à la démocratie, sont en fait les sinistres auxiliaires du régime. Des petits gestapistes ou guépéoutistes acceptant de jouer les pires rôles… au nom du « Bien », utilisant sans vergogne les lois liberticides qu’ils ont fait voter depuis plusieurs décennies.
Si d’aventure un régime patriote arrive à prendre le pouvoir en France, l’une de ses premières mesures devra être la suppression de toutes les subventions à ces associations liberticides et l’abrogation simultanée des lois Pléven, Gayssot et Taubira sur lesquelles elles s’appuient pour traîner en justice toute personne qui ose s’opposer à leurs actions.
Bernard GERMAIN
https://ripostelaique.com/associations-de-gauche-les-nouveaux-gestapistes-du-regime-macronien.html