Chaque jour qui passe nous confirme l’image d’une gauche qui sombre sans vergogne dans le totalitarisme le plus absolu. Nous pourrions citer des dizaines d’exemples, en France ou en Allemagne, et sans doute le plus spectaculaire sera celui des socialistes allemands qui ont décidé que les sympathisants de l’AfD ne pourront pas entrer dans la fonction publique, comme le montre dans ce numéro notre auteur Michel Festivi, qui fait une comparaison avec le sort réservé aux Juifs sous l’Allemagne nazie.
Mais nous avons ce jour choisi de nous attarder sur deux personnages, dont on se demande lequel paraît le plus dérangé, Thomas Guénolé, qui se dit politologue, et Vincent Présumey, professeur d’histoire, syndicaliste et idéologue trotskiste. Tous deux ont été, à un moment de leur vie, proches de Jean-Luc Mélenchon.
Thomas Guénolé, qui s’était fait connaître il y a une dizaine d’années en réclament qu’on supprime tous les jours fériés chrétiens, et qu’on les remplace par des dates réservées aux musulmans et aux juifs, puis en demandant à ce qu’on débaptise les villes ayant un nom chrétien, au nom de la laïcité, est en croisade. Après avoir gagné de l’argent chez Bolloré grâce à Hanouna, bien naïf sur ce coup, le voilà qui essaie d’exister médiatiquement en donnant le mode d’emploi à ses abonnés pour qu’ils multiplient les signalements contre CNews, qui selon lui n’a pas sa place dans une démocratie. L’objectif est clair : après avoir eu la peau de C8, réussir, grâce à la pression des Insoumis, mais aussi de toute la gauche et d’une partie des complices de Macron, à faire fermer CNews, coupable de ne pas avoir les éléments de langage corrects sur l’immigration, l’islam, l’insécurité, l’identité, et de donner la parole à des dissidents jamais invités ailleurs.
Vincent Présumey sort très affaibli d’une autre croisade, qu’il a menée contre « Murmures de la Cité », coupable, dans sa ville de Moulins, d’avoir en huit tableaux valorisé le roman national, pour le plus grand bonheur de mille spectateurs, souvent des familles, tous les soirs pendant trois jours. Ce professeur d’histoire qui se veut un grand intellectuel et surtout un grand révolutionnaire de l’Allier, a donc embarqué toute la gauche, au nom de la démocratie, dans un combat contre un spectacle historique ou culturel. Il reproche essentiellement à ce spectacle de s’inspirer du « Puy du Fou » et ne cache pas que selon lui, un tel spectacle, en Vendée, ne devrait pas exister, même s’il n’a jamais sollicité le moindre centime d’argent public. Outre Bolloré, la clique Présumey a dans le nez Pierre-Édouard Stérin, coupable de faire profiter d’une partie de sa fortune des projets culturels, historiques et solidaires, et surtout de ne pas cacher qu’il est de droite et catholique. Vous pourrez écouter les délires du gourou de l’Allier à partir de 4’40 secondes.
Quitte à donner de l’importance à deux petits Khmers rouges qui ne le méritent pas, ces deux idéologues incarnent le péril totalitaire de la gauche. Ils sont prêts à tout, au nom du camp du Bien, des valeurs de la République, des Droits de l’Homme et du combat contre ce qu’ils appellent la Bête immonde, pour réduire au silence les dissidents porteurs d’un projet alternatif au leur.
Ils sont les dignes descendants d’Hitler, de Staline, de Mao ou de Pol Pot, des SA, des komsomols, des Gardes rouges et autres khmers rouges, et paraissent n’avoir aucun scrupule à avoir sur les mains le sang de milliers de victimes qui auront eu le tort d’aimer leur pays, et le courage de le dire.
Toutes les dictatures ont toujours eu besoin de ce type de dangereux idéologues pour mener la guerre culturelle et la bataille de l’opinion. Ils sont ouvertement des agents de l’étranger, et nous font penser à l’ordure Georges Boudarel, complice des communistes vietnamiens, qui a persécuté et torturé, de manière sadique, avec des cours de rééducation, des milliers de Français dans les camps vietnamiens, et a fini tranquillement sa carrière à l’université…