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UN PEU D'HISTOIRE AVEC LA CRUAUTE DU PILLARD TURC BARBEROUSSE, POUR MIEUX REALISER LES DANGERS DE L'ISLAMISME!

Lâcheté : Macronescu s’inspire-t-il de François Ier allié à Barberousse ?

Nous avons déjà rapidement cité l’hiver 1543-1544 pendant lequel la flotte ottomane de Kheir ed-din Barberousse s’était installée à Toulon sur offre de François Ier, la honte soit éternellement sur lui.

François Ier se moquait bien des Toulonnais, comme Macronescu et ses sbires se moquent bien des Français en accueillant à tour de bras des gens qui n’ont rien à faire chez nous.

Barberousse était musulman, Turc d’origine grecque disent les uns, fils d’un Sicilien passé à l’islam disent les autres, cruel et sanguinaire. Il est décrit ainsi par un chroniqueur espagnol : « Il était très cruel, excessivement avare et aimait le luxe et la luxure ». François Ier voulait en pactisant avec les Turcs vaincre Charles Quint, dans le but également de conquérir l’Italie.

Ce qui devait n’être qu’un abri pendant l’hiver fut un vrai sac de la ville de Toulon. Les 5000 habitants de la ville furent, sous peine d’être pendus, obligés de laisser les lieux aux 30.000 Turcs qui s’en donnèrent à cœur joie. La ville fut entièrement pillée. La cathédrale Sainte-Marie transformée en mosquée. Les cultures d’oliviers, de vignes et de citrons dont vivait Toulon à l’époque furent entièrement gâchées à Toulon et dans tous les environs, les arbres abattus.

Et pire, des janissaires enlevaient partout des jeunes gens pour les mettre à ramer sur leurs galères. Hommes femmes et enfants furent razziés dans les environs et vendus à l’encan sur les îles d’Hyères. Barberousse était coutumier du fait, avant d’arriver à Toulon il avait déjà razzié 300 enfants et des religieuses du côté d’Antibes.

Les nombreuses exactions, les crimes auxquels se livrent nos nouveaux venus, et sur lesquels la justice-mur-des-cons ferme les yeux, avec une indulgence coupable, ne sont-ils pas comparables ?

Il fallait au retour du printemps se décider pour une attaque concertée contre les intérêts de Charles Quint, que faire ? Attaquer Tunis ou l’Italie ? Mais il fut impossible de s’entendre avec les Turcs.

François Ier après avoir essuyé affront sur affront et échec sur échec, reconnut du bout des lèvres les problèmes créés par « l’armée du Levant », omettant exprès de mentionner l’empire ottoman.

Exactement comme nos politocards d’aujourd’hui qui refusent de nommer les choses et les gens et le scandale de l’immigration de masse. Macronescu Ier a de qui tenir en termes de lâcheté et de dhimitude dans ses relations avec l’Algérie, par exemple, et avec le monde arabo-musulman.

François Ier fut obligé de négocier avec Barberousse son départ, et de le payer très cher, après l’avoir nourri aux dépens des Toulonnais tout l’hiver. Il lui donna 800.000 écus. Trente deux trésoriers comptèrent les écus pendant trois jours, jour et nuit. De nombreuses pièces d’orfèvrerie, des draps de soie, des vivres et des munitions en abondance furent également livrés.

En attendant que Barberousse soit satisfait et se décide à décamper, le raïs Salah au lieu de s’ennuyer dans Toulon où il n’y avait plus rien à razzier, pillait et razziait le littoral de la Catalogne. Il mit à sac plusieurs ports : Cadaquès, Palamos, Ampurias, Rosa. Les Turcs cassaient les portes des maisons avec leurs haches et en ressortaient chargés de tout ce qui pouvait l’être.

Le 26 mai 1544, Barberousse quittait enfin Toulon martyrisé, ne laissant que désolation derrière lui. Il ne partait pas seul : Paulin, baron de la Garde, ambassadeur de France, l’accompagnait avec son escadre, ayant à bord quelques gentilhommes navrés, et d’autres zélés. Le récit du retour de Barberousse glace le sang dans les veines.

Les Turcs, avec leur cent galères, mirent plus de cinquante jours pour gagner Reggio di Calabre. Selon Jacques Heers, dans « Les Barbaresques », en chemin ils ne laissèrent rien debout de ce qu’ils pouvaient réduire en cendres.

Jérôme Maurand, prêtre d’Antibes, aumônier des galères, a laissé un récit effrayant de cette aventure. Cela dépasse tout ce qu’on peut imaginer.

Le 7 juin à Talamone, Barberousse après avoir fait main basse sur tout ce qui pouvait être pris, fit tirer de sa tombe Peretti, qui avait eu l’audace de l’attaquer, et fit exposer son cadavre affreusement mutilé. 150 Turcs coururent jusqu’à un château, y mirent le feu et en ramenèrent des captifs, parmi lesquels beaucoup de petits garçons.

À Porto Ercole, les habitants se rendirent et lui livrèrent 30 hommes contre la promesse d’épargner la cité. Belle naïveté. Barberousse brûla tout.

Au Gigio, Barberousse fit 632 captifs et coupa la tête à tous ceux qui bougeaient.

En face de Naples, Barberousse s’empara de l’île d’Ischia, ce dont les habitants n’ont rien oublié aujourd’hui.

À Lipari, on offrit à Barberousse une rançon de 15.000 ducas, il en prit 30.000 et en sus, il prit 200 garçons et 200 filles. Dans la cathédrale où s’étaient assemblés les habitants, il fit ouvrir leurs corps vivants et nus pour en prendre le fiel, très estimé par les Barbaresques.

Finalement Barberousse regagna Istanbul. Ses bateaux étaient tellement chargés qu’il fut obligé de jeter à la mer des centaines d’esclaves pour les alléger. Il fut accueilli en héros et construisit avec son butin un belle mosquée et un grand palais sur les bords du Bosphore.

Il alla encore à Minorque, accueilli sans méfiance car il avait volé et arboré des pavillons espagnols, il mit la ville à feu et à sang et en ramena 6000 prisonniers. Il mourut à Istanbul en 1546, et fut « très regretté par les Turcs qui le tenaient en haute estime pour ses exploits ».

Paulin assistait aux exactions de Barberousse. Il essaya de se justifier mais sans succès. Il dit entre autres que c’était la faute du pape, auquel il avait offert Talamone et Porto Ercole, mais le pape avait refusé. Il dit aussi qu’il avait racheté des captifs.

Plus hypocrite fut l’ambassadeur Jean de Montluc, qui déclara que l’armée et la flotte du sultan n’avaient fait de mal à personne, qu’ils avait été courtois et modérés, et que si cette armée n’avait pas été utilisée pour la défense des frontières, elle aurait attaqué la France et cela aurait été pire. En somme le même langage que celui qui fait de nos envahisseurs des « chances pour la France. »

Plus langue de bois tu meurs. Nos politiques dhimmis n’ont rien inventé en termes de tartuferie et de soumission.

François Ier signa avec Charles Quint le traité de Crépy en septembre 1544 et s’engagea à combattre les musulmans. Mais il ne cessa, jusqu’à sa mort en 1547, de louvoyer et d’envoyer des ambassadeurs chez les Ottomans.

Dix ans après les exploits de Barberousse, en 1552 et 1553, deux escadres ottomanes firent à nouveau route vers l’Occident, sous le commandement de Sinane et de Dragut, mais se contentèrent de razzier l’Italie du sud et la Corse. Chacune de leurs campagnes soulevait des plaintes sans fin, on disait que les Turcs ne savaient que piller et razzier.

Le roi Henri II espérait toujours vaincre les Espagnols. Le roi de Tunis, vassal de l’Espagne, était aussi dans le collimateur. Mais les militaires français et les conseillers du roi de France concevaient d’amers regrets de l’alliance stérile avec les Turcs.

Visiblement de telles leçons n’ont pas servi, et quatre siècles après on est toujours prêt, en France, à pactiser avec l’ennemi venu d’Orient semer le désordre le plus indescriptible possible. À pactiser avec les descendants modernes de Barberousse, quelle que soit leur nationalité avouée ou supposée.

Un ennemi sanguinaire, sans conscience et sans honneur, sans aucune de nos valeurs. Avec lequel, exactement comme sous François Ier, il est impossible de vivre. Et qu’il sera très compliqué de renvoyer chez lui. Mais nos dhimmis de service, complètement bornés ou vendus, voire les deux, incapables d’apprendre de l’histoire, en veulent toujours plus. Jusqu’à quand ?

Sophie Durand

http://marcrousset.over-blog.com/2025/07/un-peu-d-histoire-avec-la-cruaute-du-pillard-turc-barberousse-pour-mieux-realiser-les-dangers-de-l-islamisme.html

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