
L’Europe se dépêche pour incorporer la Suisse, qui, si ma mémoire est bonne, avait rejeté par consultation l’idée d’adhérer à ce machin infâme, il y a déjà plusieurs années. Qu’à cela ne tienne, ce ne sera pas la première fois qu’un referendum est contourné, piétiné, violé, sali… C’est même une constante dans cette organisation totalitaire. Les peuples sont mis en avant quand ils servent les intérêts de la propagande, jamais quand ils seraient susceptibles de donner leurs avis, ou d’infléchir des politiques absurdes et ruineuses. Là, c’est donc la Suisse qui est dans le viseur, juste au moment où le monde entier se rend compte que cette EU ne représente rien, ne pèse rien, n’est écoutée par personne et se marginalise par sa volonté d’imposer une vision de l’avenir qu’elle est la seule à promouvoir, le tout posé sur des fondements que certains accusent de fanatisme idéologique nazi, beaucoup trop des personnages clés de cette organisation comptent dans leur lignée d’anciens nazis. Une forme de satanisme pointe également, puisque systématiquement, sont érigés en exemple des scènes de l’apocalypse, vendues soit comme des erreurs, vous savez le fameux, « oups on n’avait pas fait gaffe », ou carrément comme des interprétations artistiques géniales, que nous autres les abrutis de conservateurs sommes incapables de comprendre, c’est tellement puissant que ça dépasse nos pauvres cervelles restées bloquées aux années 30.
Le seul bémol c’est que le reste du monde rejette comme nous les délires wokistes, transgenres que cette engeance qui ressemble de plus en plus à une bande de dégénérés sous ecstasy, veut nous imposer. Rappelons également que seule l’Europe compte arrêter les moteurs thermiques, le monde entier se trompe donc, sauf nous. Mais des peuples, cette caste de dépravés s’en tamponne joyeusement, sauf que la réalité vient de les rattraper. Le sommet entre Trump et Poutine dévoile l’impuissance de cette EU fabriquée de toutes pièces, sans âme, du moins saine et sans projet capable de fédérer les peuples. Bien entendu les rageux vont y voir une victoire, au contraire, mais ce n’est pas nouveau, voilà plus de trois ans qu’ils répètent que la Russie s’effondre, que son armée se fait décimer et que ses missiles fonctionnent avec des rebuts de machines à laver… ils ont encore du chemin à faire pour rencontrer la réalité et cesser de clamer que Poutine est le grand méchant ogre qui s’apprête à jeter ses divisions sur l’Europe. Même Trump est sorti du narratif de Poutine l’agresseur, reconnaissant que l’agression avait commencé en 2014 dans le Donbass, sur les Russophones ukrainiens. Et Poutine passerait par l’Allemagne et la Pologne, puis enfin Paris, pour venir prendre toutes nos richesses… quelles richesses ?
Il veut notre million d’OQTF qui divague en France, gorgé de prestations sociales, ou les migrants illégaux que l’on soigne mieux que les salariés qui cotisent depuis des années ? Nous leur laissons le soin de nous dire ce que la Russie convoiterait chez nous qu’elle ne possède pas. Au RPF nous avons déjà donné les réponses. Nous n’avons pas oublié le pourquoi de cette guerre… Les accords de Minsk violés avec la complicité de la France, de l’Allemagne et de la Grande-Bretagne. Les 14 000 morts du Donbass, morts parce qu’ils étaient russophones et que dans la matrice progressiste européenne, c’est un crime. Depuis vendredi les dirigeants de l’Europe sont en PLS. Pensez, ce que nous avions écrit depuis bien longtemps se réalise. L’Europe ne sera pas invitée à la table des négociations, et mieux, son avis, les deux grands s’en fichent. L’un parce que la parole de son esclave n’a aucune importance, l’autre parce qu’il sait qu’il peut pulvériser ces trublions sans que personne ne lève le petit doigt , et qu’il bénéficie de la puissance et de la technologie pour frapper sans risquer, ou si peu, une riposte. L’Europe c’était la force, la prospérité, la sécurité… et plein d’autres choses merveilleuses… Non seulement nous en sommes très loin mais c’est même l’inverse. Souvenez-vous, il fallait absolument faire cette UE car seuls nous n’étions rien, nous ne pesions rien ! Réveillez-vous, nous sommes dans l’UE et nous sommes moins que rien, comme aurait dit Devos, avec trois fois rien on peut acheter quelque chose et pour pas cher, sauf que là nous ne sommes pas dans un spectacle comique, et que le néant est dévoilé. La supercherie devrait prendre fin, pensez-vous, la bête immonde est pleine de ressources, elle coule, eh bien elle va incorporer la Suisse. D’abord parce que l’affaire fera oublier la Bérézina qui est en train de se jouer sous nos yeux, et qu’ainsi, les caciques alimentés par des substances illicites et dévastatrices, pourront se focaliser sur la grande réussite du projet européen qui parvient à intéresser des pays comme la Suisse ! On attend de nos oppositions, enfin de celles qui peuvent encore se prétendre comme telles, d’en finir avec la prudence sur le Frexit. Le sujet doit être mis en avant. On ne peut pas continuer à dépenser des milliards, dont beaucoup se sont soi-disant volatilisés, comprenez, tombés ailleurs que sur la ligne qui était prévue, voir des personnes non élues se comporter en véritables maîtres et décider de ce qui est bon pour les peuples. La fable que seuls nous ne pèserions plus rien, vient de s’éventer. C’est d’ailleurs assez lassant de constater qu’il faut toujours toucher le fond pour qu’une idée jusque-là décriée trouve sa légitimité. Le bon sens et l’honnêteté des débats auraient dû prévenir ce drame, car c’en est un. Et ceux qui refusent de le voir ne font qu’accentuer la chute et le déclassement de toutes les nations impliquées dans cette broyeuse de souveraineté nationale.