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Brichel-Gate : qui donc finance ces aberrantes poursuites judiciaires?

Ceci n’est pas une photographie de Brichel Trogneux épouse Macron. Pure mesure de discrétion

Depuis des années, le feuilleton alimente les spéculations. Face aux multiples balançages (**), le couple commence par ne pas répondre, imaginant mettre fin aux controverses. Ensuite, ils multiplient les actions judiciaires, en France comme à l’étranger, notamment aux États-Unis.

Question cruciale : c’est qui qui paie ?

En France, plusieurs procédures ont déjà été lancées. Aux États-Unis, c’est le prestigieux cabinet d’avocats Clare Locke, basé à Washington DC, réputé pour ses honoraires exorbitants – plusieurs milliers de dollars de l’heure – qui a été mandaté.

Clare Locke is dedicated to litigating complex defamation matters and representing clients facing high-profile reputational attacks.

 Nous exigeons des réponses claires et demandons :

  1. La vérité sur le financement des frais judiciaires liés au Trogneux-Gate, en France comme aux États-Unis. Les honoraires des avocats sont-ils assumés par le binôme infernal sur ses fonds personnels, (on aurait vendu la propriété du Touquet à Tiphaine, pour un montant dérisoire) ou proviennent-ils du budget de l’Élysée, c’est-à-dire des contribuables français, également baptisés gueux ou cloportes ? Si des fonds publics ont été utilisés, nous réclamons leur remboursement intégral et une transparence totale sur l’ensemble des ressources publiques et moyens d’État mobilisés pour cette écœurante affaire. Ne pas oublier qu’outre l’évidente usurpation, cette sommité a antérieurement abusé sexuellement d’un enfant. Ce qui n’a plus besoin d’être prouvé.

Il est temps de lever le rideau (évitons le terme de voile, peu adéquat dans cet immonde brouet) sur les coûts faramineux de cette affaire et de garantir que l’argent public ne serve pas des intérêts aussi scabreux que privés.

Le 25 juillet, Mike Borowski analyse en direct le procès retentissant de M’sieur et Madame Cron-du-Faubourg Sainto contre Candace.

Bien entendu, le duo finance cette plainte avec des fonds publics, vous en doutiez encore ? Avec les sous de Loulou B., agent sanitaire chez Sanofi, de Lazare F., surveillant du parking Carrefour à Longcochon (Jura). Pour mieux soutenir l’idole des gazettes, ils mangeront des patates au saindoux le soir de Noel.

L’affaire est même nettement plus sombre qu’on le pense, puisqu’elle affecte jusqu’à l’ascendance des chocolatiers et touche même à « la généalogie de papa et maman Trogneux »

Après un revers bien mérité en France, l’offensive judiciaire aux USA vise à reprendre le contrôle de l’odyssée, mais donnera encore plus de poids à la rumeur.

La brave Candace exige un test ADN de Brichel, pouvant transformer cette affaire en un véritable feuilleton médiatique. Et ce n’est pas GAUMONT qui produira. Quant à Brichel, elle ne sera peut-être plus du tout une « femme libre ». Loin de moi d’affirmer qu’elle sera enfin à sa place. J’ai quelques craintes légitimes. Je saisis l’occasion pour affirme que je NE SUIS PAS SUICIDAIRE.

En ligne de mire, la théorie selon laquelle Brichel « serait » peut-être, éventuellement, potentiellement née homme sous le nom de Jean-Michel Trogneux. L’» immonde rumeur » circule depuis 2021, l’escalade atteint aujourd’hui un nouveau sommet avec le dépôt d’une plainte de 218 pages dans l’État du Delaware.

Un choix stratégique, visant à frapper fort dans une juridiction qui autorise les dommages punitifs. Pourtant, une question explosive reste soigneusement évitée par les médias : qui finance ce procès hors-sol ? La réponse pétrifie. Les Macron, certes. Mais avec quel argent ? Avec celui que leur verse l’État, donc celui des Français. On aurait bien vendu la propriété du Touquet à Tiphaine, mais pour un montant dérisoire.

Car Brichel l’octogénaire n’a aucun statut officiel, aucun rôle institutionnel clair. Pourtant, elle bénéficie depuis 2017 d’un secrétariat personnel et d’un budget de représentation annuel de près de 280 000 €. Sans le moindre mandat. Et aujourd’hui, c’est avec cette légitimité floue et ces ressources issues de la sphère publique qu’elle s’attaque à une honnête journaliste américaine (Bien plus jeune et séduisante qu’elle, au demeurant).

Ce procès n’arrive pas par hasard. Il intervient quelques jours seulement après un revers judiciaire cuisant pour la première je-ne-sais-quoi. Amer. Humiliant.  Sa plainte contre Amandine Roy et Natacha Rey s’est soldée par une déconvenue. Le dossier est désormais dans les mains de la Cour de cassation. Face à cet échec, le putride doublon opte pour une pratique transatlantique.

Bien entendu, au château, on vise large. Candace est accusée d’avoir construit un récit grotesque. Brichel serait homme, Emmanuel un cobaye de la CIA, et leur union une grotesque mise en scène. Les crons affirment avoir tenté à plusieurs reprises d’obtenir le retrait des contenus. En vain. Ils choisissent donc l’artillerie lourde : une plainte américaine, longue, coûteuse, et médiatiquement puissante. Quand on aime, on ne compte pas, et la muse de Vuitton ne se sustente que dans du Sèvres.

Aux États-Unis, les règles changent. Candace Owens contre-attaque, exige le plus logiquement du monde un test ADN, comme le permet le droit américain dans le cadre d’une défense en diffamation. Cette demande— parfaitement légale outre-Atlantique — pourrait soumettre la première frivole à une obligation de preuve directe. Si le juge l’autorise, la vedette de GALA devra choisir entre coopérer ou voir la procédure s’effondrer médiatiquement. C’est un retournement spectaculaire, révélateur de la logique du système américain.

Derrière cette plainte se joue bien plus qu’une bataille judiciaire : c’est une opération de communication parfaitement calibrée. Le couple pestilentiel cherche à reprendre le contrôle du récit. Brichel, fatiguée d’être interrogée sur son identité sexuelle, veut frapper un grand coup. La méthode interroge. Car en s’en prenant à une personnalité américaine sur le sol américain, elle confère à cette rumeur une résonance mondiale.

Le plus infâme reste l’origine des fonds. L’Élysée ne paie pas la procédure ? La plainte n’est donc pas financée par un patrimoine privé indépendant, mais par les revenus qu’ils perçoivent en tant que figures publiques, surtout l’abjecte évaporée. Dans un pays en crise profonde, où l’inflation pèse sur les foyers, voir les plus hauts représentants de l’État utiliser des fonds indirectement publics pour des règlements de comptes transatlantiques a tout d’un affront.

Montrer France qui coule 2e main qui paie

Ce procès révèle ainsi une dérive alarmante : l’extension sans limites de la protection de l’image du couple nébuleux au mépris de la décence budgétaire et de la séparation des sphères privée et publique. Derrière la façade juridique, il s’agit bien d’une guerre de pouvoir, d’image et de contrôle. Et à nouveau, c’est le contribuable français qui paie la facture.

Anne Schubert

(*) Si je cite ces deux personnes inventées, ce n’est aucunement du mépris, mais de la colère.

(**) Un affectueux salut à la courageuse Natacha, femme de l’année

https://ripostelaique.com/brichel-gate-qui-donc-finance-ces-aberrantes-poursuites-judiciaires.html

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