Une femme accusée de blasphème a été brûlée vive par une foule haineuse pour avoir prétendument insulté le prophète de l’islam, Mohammed Ibn Abdallah, le fondateur de l’islam, figure sacrée de la religion de ‘paix et d’amour’, dans l’État du Niger, au centre du Nigeria. Il faut savoir que ce pays, le plus peuplé d’Afrique, est en proie à un conflit ouvert entre les chrétiens au sud et les musulmans au nord.
Cette femme qui a été brûlée par les musulmans en furie est une vendeuse de nourriture. Une pauvre parmi les pauvres. Comme toujours, les fous furieux d’Allah attaquent en meute les mécréants désarmés et vulnérables, car face à la force, ils font profil bas. Le courage devient leur ennemi une fois confrontés à la vraie violence.
Pendant ce temps, en Occident, les néo-féministes regardent ailleurs. La mort de cette pauvre nigériane ne les intéresse pas. Pour ces néo-féministes, son exécution par le feu ne fait pas d’elle une bonne victime à défendre. Pour être défendue par ces féministes de salon confortablement installées au boulevard Saint-Germain, il faut qu’elle fasse partie des anoblis d’Allah.
Sinon, circulez, vous ne serez pas défendu, surtout si vous êtes de confession chrétienne.
Car ces néo-féministes de pacotille choisissent les ‘bonnes victimes’ à médiatiser.
En vérité, elles ont la trouille de désigner l’islam comme une idéologie criminelle. En plus de la lâcheté qui les habite, elles sont les suppôts de la gauche qui ne pense qu’à capter les voix musulmanes.
L’engagement de ces néo-féministes est avant tout idéologique. L’humanisme de façade qu’elles affichent n’est qu’un leurre pour tromper ceux qui les écoutent. D’ailleurs, elles soutiennent à fond le décolonialisme qui fait son beurre sur la falsification de l’histoire dont la gauche est une spécialiste pour absoudre son passé colonialiste et impérialiste.
Mais que dit l’islam sur le sort réserve à celui ou à celle qui dénigre ou insulte Allah et Mahomet ?
L’islam considère toute insulte ou dénigrement de la ‘religion de paix et d’amour’ et en premier chef, Allah et Mahomet, comme un acte de mécréance.
Insulter Mahomet, c’est une atteinte à l’honneur de tous les musulmans.
Il n’existe aucune différence entre la mécréance qui est punie par l’islam et les intentions de maudire, de rabaisser, de prononcer une parole vulgaire ou de faire un geste grossier de la main dans le but de nuire à Allah, à son prophète et aux musulmans en général. Ainsi, certaines expressions utilisées par les mécréants (Juifs, chrétiens) sont considérées automatiquement par les musulmans comme des moqueries, des insultes à leur encontre, et de ce fait, elles doivent être sévèrement sanctionnées. Et c’est ce qui est arrivé à cette femme nigériane brûlée vive à cause d’une parole mal interprétée par une foule haineuse adepte de la Pierre Noire.
Selon le fiqh, la communauté des anoblis d’Allah ne doit accepter, en aucun cas, les moqueries envers Allah et son prophète. L’auteur d’un acte pareil mérite amplement la décapitation, selon la charia. Il n’y a aucune pitié pour les mécréants qui dénigrent, le ‘beau modèle de Médine’.
En effet, il est écrit dans la sourate 33, versets 57-58 : « Ceux qui offensent Allah et son Messager, Allah les maudit ici-bas comme dans l’au-delà et leur prépare un châtiment avilissant ».
« Et ceux qui offensent les croyants et les croyantes sans qu’ils l’aient mérité se chargent d’une calomnie et d’un péché évident ».
Selon Sahih Bukhari, Mahomet a dit : « Insulter le musulman est un grand péché et le tuer est semblable à la mécréance ».
Ce qui signifie qu’il faut tuer l’auteur de cette insulte.
Ali Ibn Abi Talib (le quatrième calife) rapporte le hadith suivant : « Il y avait une femme juive qui insultait le prophète. Elle tomba entre les mains d’un homme qui l’étrangla par étouffement et elle décéda. Alors, Mahomet autorisa l’effusion de son sang » (Sunan Ibn Daoud, 12:18).
La sentence de celui qui insulte le prophète est la mort. L’assassin d’un blasphémateur n’est passible d’aucune peine. Ainsi, Mahomet encourageait l’assassinat de ceux qui le critiquaient ou l’insultaient. Il graciait les criminels en leur rendant hommage.
L’exemple du meurtre d’Asma bent Merouane fut un cas d’école. Et ce meurtre, Mahomet l’avait téléguidé pour créer l’effroi dans le cœur des mécréants, selon le récif islamique et mettre ainsi un terme à toute critique le concernant.
Par conséquent, insulter le prophète conduit à la mort sans jugement.
Ces meurtres qui créent la peur sont couramment utilisés par les cavaliers d’Allah pour tout blasphème présumé.
Durant le mois d’août, à Choisy-le-Roi, quatre corps ont été repêchés au fond de la Seine, probablement exécutés à cause de leur homosexualité par un cavalier d’Allah, un clandestin d’origine tunisienne qui est pour le moment présumé innocent.
Et ce début du mois de septembre, Allah Akbar a aussi frappé à Marseille où il s’est acharné à coups de couteau contre cinq citoyens qui n’ont rien demandé.
En effet, Abdelkader, né en 1990 en Tunisie, a planté cinq personnes à Marseille. Heureusement qu’il a été éliminé par la police. Selon le journal Le Figaro, Abdelkader est entré clandestinement en 2019 en France. Il s’était marié avec une certaine Sophie en 2020, une habitante de La Rochelle, âgée de 51 ans. Et grâce à ce mariage de dupes, il a pu obtenir une carte de résidence de 20 ans. Et on découvre aussi qu’il fut un antisémite notoire et un consommateur assidu de drogue.
‘Paix à son âme’, car probablement a-t-il déjà rejoint les 72 houris promises par Allah.
Quelle déchéance, quel délitement de la France où n’importe quel cavalier d’Allah clandestin peut obtenir le couvert, le gîte et une carte de résidence valable dix ans grâce à l’État de droit. Et je ne parlerai pas d’autres avantages en nature.
En attendant un éventuel éveil, on boit du vin et on creuse, car le fond n’est pas encore atteint.
Hamdane Ammar
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