
L’Europe tant vénérée par nos politiciens n’en finit pas de tirer l’ensemble du continent vers un gouffre pire que celui où était tombé l’ex-URSS. Un seul mot d’ordre, contrôler et appauvrir tout le monde au motif de l’égalité ! Raisonnement simpliste qui consiste à fustiger la liberté de parole au motif qu’elle comporte des abus et la richesse qui doit être spoliée pour profiter à ceux qui n’ont rien. Ce n’est pas seulement la fiscalité des plus riches qui doit être revue, c’est l’ensemble des taux d’imposition qui doit être réformé. Le curseur ne peut se faire au détriment du mérite et de l’apport économique généré par une classe. Soutenir les plus démunis oui, financer l’oisiveté, les échecs et la spéculation… non. Pour y parvenir la solution est toujours la même : taxer, imposer des normes, et obliger ainsi les citoyens à se plier aux contraintes créées. Dans quel but ? Un esprit sain a du mal à le trouver. Bien entendu tout est initié sous le sacro-saint slogan : c’est pour votre bien, ou plus généralement, pour sauver la planète.
Chaque réunion au sommet de l’Europe se traduit par des innovations, attention, n’allez pas croire qu’il s’agit d’avancées technologiques, de souplesse dans les process, de recherches scientifiques, même philosophiques, non, pas du tout, mais bel et bien de nouvelles taxes, de règles encore plus absurdes et contraignantes, le tout destiné à faire entrer dans le moule idéologique l’ensemble du continent, que ce soit dans l’adoration de la pensée unique autorisée, ou dans la marche forcée vers la vertu climatique qui ne s’embarrasse plus de nuances. Une partie réduite de cette classe politique hors sol est persuadée d’incarner l’archétype sociétal du futur, alors qu’elle n’est que le reflet de ce qui n’a pas marché et s’est effondré : le communisme. Et l’autre partie, sans courage, sans idée et sans réflexion, donne son aval, ignare ou corrompue. C’est ainsi que nous avons une cohorte de représentants de tous bords qui est incapable de sortir de ce modèle de pensée et qui accepte tout, en martelant comme des perroquets que c’est l’avenir, et qu’on ne saurait remettre en question l’UE ! Mais quel avenir ? Allons-nous par exemple, sauver la planète en supprimant les véhicules thermiques et en implantant partout des éoliennes ? Ou en éradiquant tous les chats et chiens du continent, nouvelle marotte du GIEC ?
Non, nous allons simplement réduire au chômage des milliers de salariés qui n’auront pas les moyens de changer de voiture, en cascade, des entreprises et commerces fermeront, mais l’air sera pur, du moins sans CO2. Faut-il leur rappeler qu’en dessous d’un seuil qui n’est pas si loin de celui existant dans l’atmosphère, la vie n’est plus possible sans CO2. Alors est-il le véritable ennemi ? Pour compenser nous aurons droit à une juste répartition d’aides et subventions, financés par encore plus de taxes et d’impôts, qui seront payés par… par qui au fait? Ca la chanson ne le dit pas, puisque par définition quand on a plus un centime en poche, on n’est plus solvable. Le comble c’est que dans un pays bientôt sous tutelle financière ce « détail » ne heurte pas les esprits, tant ils sont scotchés au Dieu de la planche à billets. Mais qu’a bien pu générer cette géniale Europe depuis qu’elle existe, qui aura été jalousement copié par d’autres pays dans le monde ? Rien, absolument rien. Toutes les décisions prises appauvrissent un peu plus un continent qui est entré en récession, qui est submergé par une immigration incompatible avec sa culture d’origine. Le pire dans cette affaire c’est qu’à ce rythme effréné d’interventions absurdes, non seulement l’Europe ne va plus rien produire, mais elle ne sera même plus un marché de consommation, comme le fut l’ex-URSS, parvenue au bout de son idéologie. Ce qui en économie signifie la mort de l’espace concerné. Déclassée, elle n’aura plus que ses illusions pour croire encore en un destin de puissance continentale, et ses fantasmes pour nier un réel maléfique qui ne cesse de lui montrer l’inverse de ce qu’elle prétend incarner.
Et pourtant rien ne change, les représentants s’acharnent à penser que l’UE est le seul bouclier contre le reste du monde et que ses positions forceront le reste de la planète à nous écouter. Ce qui se passe avec l’Ukraine devrait alerter. Ecartée des négociations, son avis n’intéresse personne. Les récentes manœuvres militaires qui se sont déroulées en Biélorussie ont accueilli des observateurs américains, mais pas un seul représentant européen, si ce n’est la Hongrie et la Slovaquie. Cela en dit long sur la place qui est laissée à l’Europe sur l’échiquier mondial. De grâce que l’on nous épargne le : c’est parce qu’il n’y a pas assez d’Europe ! Tout lui a été transféré, monnaie, diplomatie, armement, immigration, etc. C’est au contraire parce qu’il y a trop d’Europe et que cette dernière décide contre les intérêts des peuples et même de la plus basique logique économique que tout s’effondre. Il est encore temps de se libérer des chaînes que l’on s’est attachées, mais pour cela il faut en finir avec le tabou que l’Europe est un sujet sur lequel on ne revient pas. Le, « on y est on y reste » ne peut plus tenir lieu d’imprécation divine. On a l’impression d’être dans le Titanic et de jouer avec l’orchestre pendant que le navire coule. Il n’y a aucune grandeur à sombrer ainsi. L’Europe n’est pas un dogme intouchable, ni une bible contre laquelle s’opposer serait un blasphème. C’est une organisation qui s’est emballée, qui n’est plus maîtrisée et qui ne sait plus rien faire d’autre que créer d’absurdes contraintes, des taxes , le tout vérolé par des sociétés supra-nationales et des organisations mafieuses, dont les desseins sont plus que troubles.
Les quatre cents millions d’Européens ne pèsent plus rien face aux plus de six milliards qui ont une autre vision de l’économie, qui poursuivent un développement duquel nous nous sommes exclus par idéologie, et qui ne mène qu’au déclassement et à la pauvreté. Mais c’est vrai qu’un pauvre émet moins de CO2 qu’un riche, et pour eux c’est bien là l’essentiel. Une économie vertueuse est une économie qui ne produit rien, ou si, des services destinés à contrôler que les dernières forces vives de ce pays se plient aux normes draconiennes imposées, et qu’elles meurent en silence, faute d’être attractives et dans l’indifférence des pouvoirs en place, mais satisfaits de l’œuvre de destruction réalisée. L’UE est un monstre qu’il faut quitter ou abattre avant que nous ne soyons totalement broyés. C’est aussi cette question qu’il faudrait à nouveau poser aux Français : stop ou encore de cette Europe là ?
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