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Si l’immigration continue, la France sera rapidement africaine

Jamais le divorce n’aura été aussi grand entre le peuple et ceux qui se déclarent ses représentants ainsi qu’avec les gouvernants. On est en train de le voir en ce qui concerne le budget. La gauche, PS en tête, est en train d’emmener le pays dans le mur en faisant tout pour imposer son idéologie déjantée et ses obsessions anti-riches, à l’exact opposé des besoins de notre nation. Ils n’ont que faire des conséquences, pour le peuple et le pays, de leurs actes et décisions irresponsables. Seules comptent leurs gamelles et leurs postes. Quant à la droite, elle capitule courageusement devant les demandes budgétaires de la gauche, plus délirantes les unes que les autres, car pour elle aussi garder ses postes, éviter la dissolution de l’assemblée nationale et sauver le locataire de l’Élysée, là est l’essentiel.

Malheureusement, il n’y a pas qu’en matière de budget que les élus de la gauche, de la droite molle et nos gouvernants pratiquent sans états d’âme la politique du pire. C’est également le cas en matière d’immigration qui ne menace pas moins la survie de notre pays que les folies budgétaires qui vont finir par nous amener à la mise sous tutelle par la troïka (Commission européenne, BCE et FMI). Quant à l’immigration c’est tout simplement la disparition de la France, en tant que France, qui se joue avec le problème de l’immigration.

Chaque jour qui passe amène son lot de mauvaises annonces qui nous plongent toujours plus dans le chaos. La plus récente de ces mauvaises nouvelles concerne le département des Yvelines. Et pour être précis, le petit village de Chapet, 1.350 habitants, où la préfecture et le département dirigé par Pierre Bédier (LR), bien connu pour ses amitiés avec les milieux musulmans dont il ne cache pas qu’ils sont pour lui une source d’électeurs, ont concocté un projet de fous furieux. On rappellera aussi que Pierre Bédier a été condamné à dix-huit mois de prison avec sursis et six ans d’inéligibilité pour « corruption passive » et « recel d’abus de bien sociaux » en 2009. Il est revenu à la tête du département à compter de 2014.

Le préfet des Yvelines et le sieur Bédier se croient visiblement tout permis. Ils ont ainsi, pour ne prendre qu’un exemple, décidé sans aucune concertation avec la Mairie de Chapet d’y installer un centre pour mineurs isolés. C’est le cas de le dire puisque le centre sera en pleine campagne. Il y aurait 100 mineurs installés dans les locaux qui restent à construire. Sauf que l’affaire s’annonce compliquée puisque Reconquête!, avec les habitants du village ainsi que le maire, ont engagé un bras de fer visant à empêcher ce projet d’aboutir. N’allez pas croire que ce village est le seul concerné par ce type de projet. Il y en a des tas répartis sur tout le territoire national et on retrouve partout les mêmes problèmes.

Tout d’abord, il paraît qu’on n’a pas d’argent en France, du moins c’est ce qui ressort de la discussion actuelle sur le budget et dont la conséquence est que les Français vont être encore plus taxés vu le projet de budget qui semble devoir être voté. Mais il y a de l’argent pour construire un centre à Chapet pour 100 mineurs. De plus, il faut savoir -et le chiffre a peut-être augmenté depuis- qu’un mineur isolé coûte 690€ par jour à la France. Donc 251.850€ par an et comme le projet prévoit qu’ils seraient 100, cela coûtera au total 25.185.000€ chaque année. Oui, 25 millions d’€ ! Le projet global sur les Yvelines comprendrait une dizaine de centres comme celui de Chapet, permettant d’y loger 800 mineurs isolés. Donc pour un coup annuel total d’environ 250 millions d’€. Sans compter le coût des constructions. On comprend dès lors les montants astronomiques auxquels on arrive quand on chiffre le coût total de l’immigration pour notre pays. On comprend aussi que si ça continue encore un moment le pays va y laisser sa chemise et se retrouver en faillite.

Autre problème : que vont faire ces jeunes en plein milieu de la campagne ? Mettre le bazar dans le village (1.350 habitants) et sans doute fuguer pour aller rejoindre leurs amis ou leurs familles (car beaucoup ne sont ni mineurs, ni isolés) dans une grande ville des Yvelines ou tout simplement à Paris. Bref, les mêmes problèmes que partout où des projets de ce type sont implantés, pour la plus grande exaspération des habitants qui non seulement sont envahis, mais confrontés à des personnes qui refusent totalement de s’intégrer et encore moins de s’assimiler, c’est à dire de devenir de vrais Français, adoptant notre culture, notre langue, notre histoire et nos coutumes et… renonçant à celles de leurs pays d’origine. Les anti-racistes de tous poils, la gauche et tous les bien pensants, y compris la droite molle, prétendent qu’exiger cela de ces populations c’est être fasciste ou d’extrême droite. Alors il faut que vous sachiez ce qu’a dit M’Bappé qui vit actuellement en Espagne (il joue au Real de Madrid), vous savez celui qui parlait du « petit ange Nahel parti trop vite » et qui ne cachait pas qu’il fallait ne surtout pas voter RN. Savez-vous ce qu’il a déclaré ce bon petit gars sur son Facebook ? Il a déclaré ceci : « Je suis en Espagne, je m’adapte à la culture espagnole, je parle la langue du pays. C’est une marque de respect. Ils ont leurs règles, leur langue, leurs coutumes. ». C’est fabuleux,… non ? En Espagne c’est bien de respecter le pays et ses habitants, c’est bien de s’adapter, c’est bien de respecter les règles, la langue et les coutumes. Par contre en France, ce n’est pas le cas. Plus exactement, c’est fasciste de réclamer cela aux migrants qui viennent chez nous. Fermez le ban.

Autre projet incroyable du préfet et de Pierre Bédier, implanter un centre pour mineurs isolés dans le quartier du Val Fourré, à Mantes La Jolie, quartier réputé pour être gangrené par le narco trafic. Ce qui a fait dire à Raphaël Cognet (Horizons), maire de Mantes La Jolie : « Mettre ces jeunes dans le quartier du Val Fourré, c’est comme si on les installait sur la colline du crack, à la porte de la Chapelle ». Là aussi, comme à Chapet, le maire a engagé la bataille contre le projet du préfet et de Bédier. Sa pétition a déjà recueilli plus de 2.000 signatures. Celle de Chapet environ 2.500. Dans les deux cas, des projets complètement fous pour lesquels on est en droit de s’interroger : y-a-t-il un moment où nos gouvernants diront « on ne peut plus en accueillir d’autres » et s’ils le disent, cela posera une nouvelle question : « Comment allez nous faire pour empêcher de nouveaux migrants d’arriver ? ». Mais pour le moment ces questions ne sont pas à l’ordre du jour et notre pays s’enfonce de plus en plus dans la crise qui menace au final de nous détruire totalement. Laissons le mot de la fin à un professeur mantais : « Je ne comprends pas l’intérêt d’installer un centre dans cette banlieue très dure où il n’y a déjà pas d’infrastructures pour les habitants. On envoie ces jeunes dans un milieu qui ne favorisera pas leur intégration. Ils vont devenir des délinquants. C’est la déflagration assurée. »

Pierre Brochand, ex-directeur de la DGSE (direction générale de la Sécurité extérieure) a été interrogé par le figaro le 17 octobre 2025. Son jugement clairvoyant est sans appel et mérite d’être connu. Revenant sur les premières émeutes des cités en 2005, il déclare : « Ce qui s’est passé, il y a vingt ans, apparaît, d’abord, comme un révélateur cruel de l’état du pays. Depuis les années 1980, s’était dessiné un paysage inédit : des émeutes ethniques, jamais vues, fusaient ponctuellement en zones urbaines, sur fond de délinquance, d’islamisation et de séparation. La vague d’octobre, en étendant l’incendie à plusieurs villes simultanément, a sonné un réveil en fanfare. Deux tiers de nos compatriotes en ont déduit qu’il fallait « arrêter l’immigration ». Ceux qui détenaient le pouvoir ne les ont pas écoutés. Résultat : rien n’a été fait ». S’agissant du combat qui se mène entre patriotes et immigrationnistes, il note : « C’est le thème même de l’immigration, qui, par rétroaction, risque de susciter les plus graves dissensions chez les natifs, entre « universalistes » (mondialistes mercantiles, humanistes rêveurs, wokistes justiciers) et « localistes » (patriotes têtus, régionalistes renaissants, communautaires de tradition). Schisme, qui, d’ailleurs, réintroduit, dans le jeu belliqueux, certains de nos extrémistes, tenants d’une mythique « convergence des luttes », prêts à servir de cheval de Troie aux factions les plus militantes de l’immigration ».

Il vient ensuite sur les immigrés eux-mêmes : « Le fait que les fauteurs de troubles de 2005, comme leurs prédécesseurs et successeurs, soient majoritairement de nationalité française ne change en rien le diagnostic. Nos immigrés sont entrés avec de lourds bagages culturels, religieux, historiques, qu’ils n’ont pas abandonnés à la frontière. Ces bagages étaient même si pesants qu’une partie de leurs arrière-petits-enfants continuent à les porter. ». S’agissant de l’avenir, il prédit : « Bien avant d’en arriver à une bataille à mort pour la souveraineté, nous allons continuer de nous enfoncer dans des sables mouvants. Le raz-de-marée migratoire, s’il persiste, va produire un enchaînement de dégradations, à la fois sous-jacentes dans la durée et explosives dans l’instant. L’immigration actuelle est un fait social total dont les ondes de choc se font sentir partout. » et d’ajouter : « À mon avis, il faut commencer par prendre conscience du point d’arrivée, lui, irrécusable : une France à majorité africaine et musulmane, bien avant la fin de ce siècle. Bouleversement que je défie quiconque d’espérer paisible et débonnaire. (…) L’accélérateur décisif est, bien sûr, la démographie, indicateur le plus fiable des temps futurs. On ne le répétera jamais assez : nous nous acheminons vers une inversion de majorité, ethnique et religieuse, dans notre pays. ».

Enfin, il décrit la France d’aujourd’hui : « Il faut partir de l’état des lieux ! 1500 portions de territoire, en « peau de léopard », échappent au plein contrôle des autorités publiques, et la pression sociale qui s’y exerce va à rebours de nos façons de vivre et de penser. Se répand, dans ces contre-sociétés enclavées, une guérilla de basse intensité contre ce qui y subsiste de l’État national et, plus généralement, d’influence française (pompiers, médecins, enseignants, arbitres). (…) La crainte la plus plausible est que cet écosystème ne gagne en extension, fréquence et intensité ». Vient enfin la question la plus importante : le pays peut-il s’en sortir ? À cela il répond : « Les réponses existent et sont devenues banales. Mais, elles sont aussi inévitablement féroces, à proportion du temps et du terrain perdus. S’il reste une petite chance d’éteindre la mèche, il n’est d’autre voie que celle d’un radicalisme sans remords. Réduire les flux d’entrée à leur plus simple expression, reprendre le contrôle des diasporas et rétablir l’ordre public. Ce qui est tout à fait possible, mais exige un formidable regain de volonté. Enjamber le préambule constitutionnel, indispensable au rétablissement des droits, collectifs et autonomes, du peuple français. Sur ce canevas, faire flèche de tout bois : externaliser les demandes d’asile, ramener à zéro l’attractivité sociale et médicale de la France, dégonfler les diasporas en agissant sur les titres de séjour, muscler la laïcité en l’étendant à l’espace public. Plus généralement, s’attaquer au virus mortel de l’impunité, par une réforme pénale décomplexée. »

Et il finit par cette mise en garde lourde de significations : « À l’inverse, je suis en mesure de garantir que, si nous persistons à céder au biais de normalité, pour repousser à plus tard ce qui aurait dû être fait hier, nous ne préparons pas à nos descendants des lendemains qui chantent ».

Des paroles pleines de sagesse et de bon sens qui mettent chacun face à ses responsabilités. Pour l’instant rien n’est perdu, mais l’affaire s’annonce de plus en plus compliquée si l’on décide de reprendre le terrain perdu. D’autant qu’en 2022, il y a eu 150.000 Français qui ont rendu des armes comme le pouvoir l’exigeait et qu’en de multiples occasions, nombreux sont les Français qui pensent opportun après des agressions de dire « vous n’aurez pas ma haine ».

Le procès de l’assassin de la pauvre petite Lola n’est-il pas là pour nous confirmer tout cela ?

Si la France veut se sauver et rester la France, il est temps, plus que temps que les Français se réveillent.

Bernard GERMAIN

https://ripostelaique.com/si-limmigration-continue-la-france-sera-rapidement-africaine.html

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