Ils ne voulaient tellement pas de Trump qu’ils avaient décidé, faute de l’avoir assassiné, qu’il ne serait pas élu. Les sondages donnaient Kamala Harris largement vainqueur, et il y a eu le raz-de-marée du 5 novembre 2024, avec une victoire d’une ampleur inégalée de Donald Trump.
On a assisté à un scénario semblable avec Javier Milei. L’homme à la tronçonneuse, libertarien anti-politicard, avait décidé de s’attaquer aux dépenses nuisibles de l’État, et à toute la bureaucratie. Il a réduit en deux ans de 30 % les dépenses publiques, a réduit la pauvreté de 50 à 23 %, a augmenté les recettes fiscales de 86 % et mis fin à l’inflation galopante qui pourrissait la vie de l’Argentine. Naturellement, tous les médias savouraient déjà la déroute qui allait emporter un candidat dont ils ne partageaient absolument pas la vision de l’économie. Et là encore, énorme fiasco pour les pronostiqueurs, Milei explose tous les records, et atteint les 40 %.
Sur CNews, lors de l’émission animée par Pascal Praud, les journalistes dressent un bilan de ses deux ans de mandat, avec des chiffres précis, bien éloignés de la propagande socialiste qui sévit sur les ondes.
Pendant ce temps-là, le budget 2026, sous la pression des socialistes, ne s’attaque absolument pas aux dépenses nuisibles et inutiles, et continue à tuer l’économie française en ajoutant de nouvelles taxes pour les entreprises et les Français. Ils essaient même de nous infuser la fameuse taxe Zucman, nouveau totem de la gauche.
Il faut détailler la différence entre le projet de budget Lecornu et celui de Sarah Knafo.
Les seuls en France qui reprennent les principes politiques et économiques de Milei sont Reconquête, l’UDR d’Éric Ciotti et Identités et Libertés de Marion Maréchal. Les Français, qu’on présente comme un peuple très politique, seront-ils capables de comprendre que, pour sauver le pays, il faut d’abord en finir avec l’immigration et l’invasion migratoire, mais aussi sortir la tronçonneuse et faire du Milei ?