Dimanche 26 octobre 2025, Poutine apparaît en uniforme au quartier général des forces russes. Autrement plus crédible que Fripounette déguisé en aviateur ou en sous-marinier. Valery Guérassimov, chef d’état-major accompagne le Président. Il annonce plus de 10 000 soldats ukrainiens encerclés, 5 000 à Kupyansk. 5 500 à Pokrovsk.
Les Ukrainiens sont nos frères slaves, épargnez-les si possible ! Cet ordre de Vlad explique la relative lenteur des opérations.
Contrairement à ce que dégoisent BFM et les médias d’État menteurs, les Russes ne démolissent pas tout et ne zigouillent pas tout le monde. Ils gagnent cette guerre à leur rythme. Pour réintégrer dans la Fédération de Russie leurs oblasts perdus. Russophones et russophiles.
Trente et un bataillons ukrainiens sont piégés. La rivière Oskol qui servait de frontière au Donetsk a été traversée. Les routes sont coupées. Les renforts ne peuvent plus parvenir aux soldats de Kiev. Même si l’enthousiasme de la victoire peut porter le Kremlin à l’exagération, c’est une catastrophe pour l’Ukraine. Dix mille soldats, c’est une armée perdue pour un pays qui a du mal à recruter.
Trump avait prévenu l’histrion barbichu. « Tu ferais mieux de rendre aux Russes le Donbass tant qu’il est encore temps. Sinon, c’est toute l’Ukraine qui va y passer ! »
Non seulement il y a des soldats qui n’ont pas d’autre alternative que mourir ou se rendre, mais il faut intégrer la valeur des positions stratégiques de part et d’autre. Cinq mille soldats ukrainiens sont entourés à Kupyansk, une ville moyenne à 100 kilomètres à l’est de Kharkov. Et cinq mille cinq cents sont encerclés autour et dans Pokrovsk, la grande ville qui servait de verrou et a finit par tomber après des mois d’assaut.
Les Russes ont traversé l’Oskol et coupé les voies de ravitaillement, isolant des positions ukrainiennes qui hissent le drapeau blanc. Sauf dans quelques poches martelées par l’artillerie et d’où il est impossible s’échapper. Et encore moins de contre-attaquer. Comme d’habitude, Poutine a ordonné à ses généraux de faciliter la reddition des ennemis. La capitulation de l’adversaire, c’est la victoire sans verser du sang inutilement.
Dans un déni pathologique, le Zygomyr et ses généraux croient encore pouvoir porter la guerre jusqu’à Moscou. Encouragés par Fripounette, Pustula et Nick Starmer.
Le Francistan, l’Anglistan et le Bochistan ont beau promettre et livrer toujours et encore plus de nouvelles armes, la plupart sont interceptées et détruites avant même d’être mises en service. Une partie des autres sont revendues sur les marchés parallèles d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Amérique du Sud. Les terroristes et les narcos sont de bons clients.
Les Ukrainiens sont des rustauds. Ils ont besoin des mercenaires pour faire fonctionner les pièces à longue portée et les missiles. Mais comme les Russes fusillent les étrangers attrapés sur un champ de bataille où ils n’ont rien à faire, les volontaires se font plus rares. Malgré les grosses primes. Versées avec du retard ou pas du tout.
Après avoir nié en bloc les succès de l’offensive russe, l’État-major des forces armées ukrainiennes s’est efforcé de minimiser les dégâts. Reconnaissant une situation tendue et des combats de rues. Puis, avec le culot qui caractérise le Zygomyr et ses clones, ils ont prétendu une fois encore être en train de gagner la guerre ! Condition sine qua non pour que continuent d’affluer les milliards de dollars et d’euros promis par les eurocrapules, des dons qui prendront la direction du Panama ou des Bahamas. Moins les rétrocommissions.
De fait, le chaos règne dans Pokrovsk. Les Russes ont encerclé la ville dans laquelle des groupes d’Ukrainiens se battent jusqu’à la mort. Dopés à la fénétylline plus connue sous le nom de Captagon, la drogue qui fait croire aux djihadistes qu’ils sont invincibles et invulnérables.
La 225e et la 425e brigade d’assaut ukrainiennes jusqu’alors particulièrement actives malgré de lourdes pertes auraient pu tenter de briser l’encerclement des troupes russes, mais elle ont détalé comme des lapins le jour de l’ouverture de la chasse. Lorsque la drogue ne faisait plus effet et que les pharmacies de campagne étaient vides.
Le schtroumpf de Kiev nie obstinément que les Russes ont franchi l’Oskol, Pourtant, les Américains ont confirmé l’évolution des positions, favorable aux armées de Poutine.
Avec les routes sous contrôle des Russes, le ravitaillement des Ukronazis devient problématique. Quant aux renforts, ils doivent faire de longs détours sous le feu ennemi. Bien sûr, il n’y a pas que les camions. L’armée de Kiev a encore des avions et des hélicos. Mais peu de pilotes aguerris. Restent les drones. Fragiles. Avec une capacité de charge succincte. En toute hypothèse, les troupes ukrainiennes sont désorganisées donc vulnérables. Les désertions se multiplient.
Dmitri Peskov porte-parole du Kremlin a annoncé que la ville de Volchansk était libérée à 75 %. La rive Nord de la Volchya a été entièrement débarrassée des Ukrainiens. La ville est en ruines, presque entièrement vidée des civils, après des mois d’affrontement. On rejoue Marioupol et Bakhmout. Dans une tentative désespérée, les Ukrainiens s’efforcent de détruire le barrage de Belgorod pour ralentir les Russes.
Si les forces armées russes parviennent à consolider leur position dans le centre et à prendre le contrôle des ponts, l’ennemi sera coupé de ses principales voies d’approvisionnement. Et le front pourra progresser.
Comme pour Povrosk, Volchansk est un verrou qui empêchait les Russes de se déployer hors du Donbass. Une fois le terrain nettoyé, ils pourront mener une offensive vers le Nord pour faire reculer les Ukronazis qui ont perdu beaucoup d’hommes et de matériels.
Les mises en scène de la propagande de Kiev
Alors que ses troupes encerclées se font étriller et capitulent les unes après les autres, le Zygomyr ancien amuseur de télé-réalité a recruté en vitesse des figurants auxquels il a fait endosser un uniforme russe pour les montrer en train de se rendre aux valeureux héros de l’Ukraine. Avec pour décor des blindés calcinés en 2022. Assorti du commentaire : Ils sont démoralisés parce qu’ils ont réalisé qu’ils ne pouvaient pas gagner cette guerre.
Ces simagrées ne sont pas destinées aux Russes pour les décourager. Mais servies aux derniers Ukrainiens encore debout, invités à tenir bon jusqu’au bout. C’est du même tonneau que l’avion fantôme qui abattait les jets russes dans un jeu vidéo, ou les prétendus massacres de Boutcha où les vrais suppliciés étaient des civils russophones assassinés par les Ukronazis. Tandis que des prétendues « victimes » maquillées à la sauce tomate prenaient la pose et se relevaient avant qu’on ait coupé toutes les caméras.
Après avoir retenu l’information plusieurs heures, en attendant les consignes de l’Élysée, les journalistes serviles de l’audiovisuel public français se sont rangés du côté des Ukronazis pour nier ou minimiser les avancées russes.
Comme d’habitude, depuis 44 mois, ils ont truandé les faits défavorables à l’OTAN et magnifié les escarmouches de Kiev. Ainsi un hangar ou un réservoir touché par un drone anglais qualifié d’ukrainien est présenté comme une grande victoire. La Russie est à genoux… Tandis que l’explosion d’un immeuble où 60 officiers de l’OTAN sont tués est passée sous silence. Et si on ne peut museler tous les témoins, on qualifie le tir de crime de guerre des Russes contre un supermarché.
Ces radotages humiliants ont été épargnés à la Libanaise qui vient de se faire virer de la télé d’État après toutes ses gaffes commises à l’antenne. Elle aura tenu un mois. Essai non convaincant. Voilà ce qu’on gagne à engager des nullités en mêlant socialisme et discrimination positive.
En attendant, les Russes ont annoncé ce dimanche un essai final réussi de leur dernier missile de croisière propulsé par un statoréacteur nucléaire, Bourevestnik (oiseau de tempête), évoluant à 50 m au dessus du sol pour échapper aux radars, en variant sa trajectoire, et qui peut atteindre une cible à une distance de 14.000 km. Poutine a ordonné qu’il soit mis en service dans les plus brefs délais. Et ça, c’est pas du cinéma !
Christian Navis
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