
Le vote, jeudi 30 octobre 2025, à l’Assemblée nationale, de la résolution RN demandant que soit dénoncé l’accord de 1968 avec l’Algérie a été l’occasion de voir la gauche telle qu’elle est en vérité : une bande de gens abrutis, incultes et surtout très nuisibles à notre pays. Cela devient insupportable d’entendre ces imbéciles débiter leurs fadaises et mensonges plus gros les uns que les autres. Par ailleurs, et c’est un aspect des choses absolument essentiel, tout observateur juste honnête ne peut contester que la gauche, spécialement LFI, est devenue le parti de l’étranger. En effet, chaque fois qu’un cas se présente, les représentants de gauche ne manquent jamais l’occasion de prendre fait et cause pour le pays étranger, ici l’Algérie, contre la France.
Tout d’abord, on assista immédiatement après le vote à des scènes qui devraient faire hurler de rire toute personne qui y assiste, pour autant que cette personne soit simplement intellectuellement honnête. Ainsi, Cyrille Chatelain (les Verts) avait les larmes aux yeux et débita devant les micros un petit discours lunaire qui se terminait ainsi : « Les macronistes ne sont jamais là quand les combats importants se mènent. Vous vous rendez compte, cette résolution est passée à une voix près. Oui, une voix. Cette voix qui a manqué, c’était celle de Gabriel Attal ». J’avoue avoir eu du mal à ne pas me faire dans la culotte tellement cette déclaration est grotesque et risible. Pourquoi ? Mais parce que lorsqu’on est à gauche, donc dans l’opposition à Macron, reprocher aux macronistes de ne pas voter ce que veut la gauche, c’est pour le moins une position exotique. Ensuite, on ne peut qu’être atterré devant tant de bêtise. La voix qui a manqué était celle d’Attal ? Ben voyons… sauf que tous les députés verts n’étaient pas là, et même chez LFI il y avait pas mal d’absents parmi lesquels on relevait des noms bien connus : Sophia Chikirou (très proche de Mélenchon), Louis Boyard, Éric Coquerel, Alma Dufour, David Guiraud, Aurélien Taché, et d’autres députés LFI. Ajoutons que de très nombreux élus PS étaient aussi absents. Cyrille Chatelain devrait donc balayer devant la porte de gauche avant d’accuser les autres des propres turpitudes de cette même gauche.
En vérité, la gauche a été rendue folle par ce résultat du vote des députés pour deux raisons : tout d’abord parce que la proposition venait des rangs du RN, c’est-à-dire des rangs fascistes, comme il disent. Donc il fallait rejeter par principe, sans même chercher à comprendre. À gauche, c’est devenu maladif et cela relève très sérieusement de la médecine, ils voient des fascistes partout et se sentent en permanence menacés ainsi que l’existence de la démocratie dans notre pays, alors que ce sont eux qui soutiennent la violence des antifas et qui ont soutenu les pires régimes totalitaires à travers le monde. Leurs réactions sont tellement pavloviennes quand Marine Le Pen parle que si elle dit qu’il fait beau, ils prétendront qu’il pleut des cordes même s’il n’y a pas un nuage dans le ciel. Des abrutis complets, vous dis-je. Et en plus, ils sont de mauvaise foi. Par exemple la gauche prétend que la résolution du RN était un texte raciste… parce qu’elle demandait la dénonciation de l’accord de 1968. Raciste ? Mais pourquoi ?… parce que c’est l’Algérie qui est en cause. Et comme il s’agit d’un pays dit arabe, voter un texte lui supprimant un avantage, c’est une mesure raciste. Raisonnement qui est à l’évidence une politique pour déficient mental. D’ailleurs, sans rentrer dans le détail car nous n’avons pas le temps, le lecteur sait-il qu’avec l’accord de 1968, l’Algérie est le seul pays au monde dont les ressortissants qui arrivent en France peuvent toucher immédiatement le RSA et le minimum vieillesse, sans avoir jamais cotisé ? Aucune autre nationalité n’a ce privilège. Autre point : les Algériens sont les seuls à pouvoir obtenir un titre de séjour de 10 ans après 3 ans sur le territoire français. Pour les autres nationalités, il faut attendre 5 ans. Et tout est de la même eau dans l’accord de 1968. Au nom de quoi devrions-nous maintenir tous ces avantages et privilèges ? D’autant que les dirigeants algériens crachent en permanence sur la France et de plus détiennent toujours, sans raison, dans leurs geôles, Boualem Sansal (très malade et qui va sans doute mourir prochainement dans sa prison) ainsi que le journaliste sportif Christophe Gleizes. Ce qui n’empêche nullement la gauche de soutenir le régime mafieux de Tebboune. Pour preuve, souvenons-nous de Rima Hassan (LFI) votant contre la résolution du Parlement européen demandant la libération de Boualem Sansal.
Mais les forfaits de la gauche contre notre pays ne s’arrêtent pas là. La France est en permanence accusée des pires crimes contre l’Algérie, notamment du fait de la colonisation, crimes imaginaires pour lesquels nous serions condamnés à demander éternellement pardon. Dans cette pitoyable comédie il est un acteur de gauche qui pour rien au monde ne laisserait son rôle à un autre : Ian Brossat du PCF. Une véritable crapule stalinienne. Et sa réaction au vote du texte du RN est exemplaire. Il a à ce sujet déclaré que « c’est le retour de l’Algérie française » ! Rien de moins. Il a ajouté qu’au lieu de s’engager dans cette voie , « la France ferait mieux d’ériger un monument pour les centaines d’Algériens morts à Paris lors du massacre du 17 octobre 1961 ». On ne sait pas dire si c’est par inculture crasse ou par un mensonge éhonté, dont le PCF a le secret, que ce sinistre individu peut faire cette déclaration. Reste que ce style de déclaration est plutôt sa spécialité. Il nous en avait déjà donné un aperçu à propos du rôle du PCF durant la Seconde Guerre mondiale, niant grossièrement que le PCF n’était pas entré dans la Résistance au début de la guerre du fait du pacte germano-soviétique et que le PCF invitait même les Français à « ne pas tirer sur un soldat allemand car derrière chaque uniforme il y a un travailleur allemand ». Tel est le personnage. Et pour revenir au soi-disant massacre du 17 octobre 1961, plus le mensonge est gros plus il a de chance de passer, disait Goebbels. Et c’est bien le cas avec ce prétendu massacre. Pour ceux qui ne le sauraient pas, je rappelle qu’en 1998, le Premier ministre de l’époque, le socialiste Lionel Jospin, constitua une commission présidée par le conseiller d’État Dieudonné Mandelkern qu’il chargea de faire la lumière sur ces évènements. Fondé sur l’ouverture d’archives jusque-là fermées, le rapport remis par cette commission fit litière des accusations portées contre la police française. Ce rapport consultable sur le net n’a visiblement pas été lu par ceux qui continuent à accuser la police française, notamment Ian Brossat. Pour être un peu plus précis, on complétera ces éléments par l’article du 19 octobre 2025 de Bernard Lugan (historien et universitaire) :
« La guerre d’indépendance algérienne se déroula également en métropole, y provoquant des milliers de morts. Pour la période du 1er janvier 1956 au 23 janvier 1962, 10 223 attentats y furent ainsi commis par le FLN. Pour le seul département de la Seine, entre le 1er janvier 1956 et le 31 décembre 1962, 1 433 Algériens opposés au FLN furent tués et 1 726 autres blessés. Au total, de janvier 1955 au 1er juillet 1962, en Métropole, le FLN assassina 6 000 Algériens et en blessa 9 000 autres.
Face à ces actes de terrorisme visant à prendre le contrôle de la population algérienne vivant en France, le 5 octobre 1961, un couvre-feu fut imposé à cette dernière afin de gêner les communications des réseaux du FLN et l’acheminement des armes vers les dépôts clandestins.
En réaction, le 17 octobre 1961, le FLN décida alors de manifester. Assaillis de toutes parts, les 1658 hommes des forces de l’ordre rassemblés en urgence, et non les 7 000 comme cela est encore trop souvent écrit, sont, sous la plume de militants auto-baptisés « historiens », accusés d’avoir massacré 300 manifestants, d’en avoir jeté des dizaines à la Seine et d’en avoir blessé 2 300. » (…) « Quel est donc le vrai bilan de cette manifestation ?
- Le 17 octobre 1961, alors que se déroulait dans Paris un prétendu massacre, l’Institut médico-légal (la morgue), n’a enregistré aucune entrée de corps de « NA » (NA= Nord-Africain dans la terminologie de l’époque) ;
- Le 17 octobre 1961, de 19 h 30 à 23 heures, il n’y eut qu’une seule victime dans le périmètre de la manifestation et ce ne fut pas un Algérien, mais un Français nommé Guy Chevallier, tué vers 21 h devant le cinéma REX, crâne fracassé. Par qui ?
- En dehors du périmètre de la manifestation, « seuls » 2 morts furent à déplorer, Abdelkader Déroues tué par balle et retrouvé à Puteaux et Lamara Achenoune tué par balle et étranglé, gisant dans une camionnette, également à Puteaux. Rien ne permet de dire qu’ils furent tués par les forces de l’ordre.
Le 18 octobre, à 4 heures du matin, le bilan qui parvint à Maurice Legay, le directeur général de la police parisienne, fut donc de 3 morts. Nous sommes donc loin des dizaines de morts et de « noyés » auxquels l’actuel occupant de l’Élysée a rendu hommage !!!
Certes, nous dit-on, mais les cadavres ont été déposés à la morgue les jours suivants. Faux, car ce n’est pas ce qu’indiquent les archives de l’Institut médico-légal de Paris puisque, entre le 18 et le 21 octobre, « seuls » 4 cadavres de « NA » furent admis à la morgue.
Nous voilà donc bien loin des 100, 200 ou même 300 morts « victimes de la répression » avancés par certains et pour lesquels M. François Hollande a en son temps reconnu la responsabilité de la France. »
À l’inverse, la gauche et les bien-pensants ont inventé une histoire totalement fausse et font demander pardon à la France pour un crime absolument imaginaire. Mais cette invention ne peut prospérer que parce que le cerveau des gens est lavé en permanence par cette gauche et les médias.
Il en est exactement de même s’agissant des « crimes de la colonisation » notamment en Algérie. Là encore l’histoire est réécrite par la gauche, une histoire absolument à l’opposé de la réalité. Rappelons simplement que quand les Français posent le pied sur les plages d’Alger en 1830, l’Algérie n’existe pas. Il n’y avait rien. Ce territoire ne sera nommé ainsi qu’à partir des accords d’Évian en 1962. Tout ce qui existait en Algérie en 1962 a été construit par la France. Les routes, les ports, les écoles, les chemins de fer, les aéroports, les hôpitaux, les ponts, les tunnels, sans oublier les puits de pétrole et de gaz… tout, absolument tout. On rappellera aussi qu’en 1959, ce territoire qui était un département coûtait en une seule année 25 % du budget de la France. C’est pour cela que de Gaulle décida de donner son indépendance au pays et déclara à ce sujet : « Bye, bye, vous nous coûtez trop cher » (C’était de Gaulle – Alain Peyrefitte). Avoir fait tout cela pour ce pays, effectivement, comme crime contre l’humanité, ça se pose là. Pourtant la gauche raconte invariablement ses fadaises et prétend que la France a eu un rôle fort condamnable en Algérie et dans de nombreux pays d’Afrique noire.
Cette gauche, sur tous ces sujets, prend systématiquement le parti contraire à celui de la France. La France est toujours et sans exception l’ennemi à abattre, tout comme sa population doit être remplacée car elle pue le moisi, le rance. La gauche est devenue le parti de l’étranger. Elle est indiscutablement l’ennemi de notre pays et de son peuple.
Un dernier mot : à voir la réaction de la gauche et des bien-pensants pour ce vote d’une simple résolution du RN, résolution non contraignante pour le Gouvernement ou le Président, cela nous permet d’imaginer la réaction de cette gauche si le RN gagne en 2027. Il m’étonnerait qu’elle reste les bras ballants si le RN gagne la présidentielle de 2027. Respecter la démocratie n’est pas non plus son fort.
Bernard GERMAIN