
par Patrick Jardin
Cette époque n’est plus la mienne… Je ne m’y sens vraiment plus bien.
Nous risquons chaque jour notre vie en nous promenant, nous sommes essorés par les impôts en tous genres, ces abrutis de politiciens complètement incompétents ne savent que nous pondre des impôts supplémentaires pour assouvir leurs besoins sans jamais penser à réaliser la moindre économie. En fait nous sommes revenus au temps des seigneurs et des manants que d’autres appellent les gueux. Il est grand temps de foutre ces soi-disant «seigneurs» dehors et les obliger une fois dans leur vie à travailler et ne pas se contenter des énormes salaires payés par leurs compatriotes.
Comment ne pas être révolté quand on entend la rombière Ernotte essayer de se défendre face à la commission d’enquête parlementaire alors qu’elle touche un salaire plus qu’indécent pour diriger une société qui a un déficit abyssal.
Évidemment elle s’en fout complètement, puisqu’elle sait pertinemment qu’à la sortie ce seront une fois de plus les contribuables Français qui paieront. Elle a un salaire annuel de 400 000 € pour mener une société à la faillite, sa retraite future sera calculée sur ces gains actuels et surtout – et c’est ce qui est le plus grave – pour ne pas respecter ses obligations de neutralité et de pluralisme !
Tous les concurrents privés font des bénéfices mais elle coûte à la société Française plus de 4 milliards par an : il est vrai qu’en employant plus de 9000 personnes avec des salaires mirifiques là où il en faudrait peut-être 3000 il est compliqué de gagner de l’argent. Tout ça pour une poignée de journaleux qui complotent avec le parti socialope dans les cafés du 7e arrondissement, qui osent se réserver des suites dans des hôtels à 1700 € la nuit, qui dépensent plus de 120 000 € par jour de taxi… On finance plus de journaleux gauchistes chez France Télévision que de chirurgiens dans l’hôpital public (6000) ça veut dire qu’en France on peut crever aux urgences mais ce n’est pas grave puisque nous avons une télé de merde avec des programmes de merde !
Autre sujet qui me révolte, les agriculteurs ! Je n’ai pas qualité pour prendre parti sur la nécessité d’abattre 200 animaux parce qu’il y en a un de malade, moi je pensais qu’en euthanasiant la bête souffrante et en vaccinant (si ces vaccins sont efficaces, pas comme ceux qu’ils ont tenté de nous imposer durant le Covid qui faisaient mourir les personnes âgées et avec lesquels la Van der la hyène s’est largement goinfrée puisqu’elle refuse toujours de montrer les fameux sms qu’elle a échangé avec le fabricant de ces pseudos vaccins…).
Quoi qu’il en soit, on n’envoie pas les blindés contre les agriculteurs qui défendent leur outil de travail ! On n’ose pas les envoyer dans les banlieues contre les populations exogènes qui sèment la terreur et qui se nourrissent du trafic de drogue mais contre les agriculteurs, là aucun problème !
Je me souviens de la réflexion du général de salon Bruno Leray qui devant la commission d’enquête parlementaire a répondu à la question : pourquoi les militaires stationnés armés devant le Bataclan n’ont pas ouvert le feu ? a eu le culot de répondre : les militaires n’ont pas pour fonction de défendre des civils (on se demande bien à quoi ils servent) mais par contre les déplacer avec des blindés face aux agriculteurs, là AUCUN PROBLEME !
Quand un gouvernement n’a que ce genre de solutions à apporter aux problèmes (qu’il a lui-même créés) c’est qu’il est foutu et est sur la fin. Ce qui me choque, c’est que les Français ne réagissent pas plus violemment à toutes ces brimades. Dans bien des pays, cela aurait été la révolution et toute cette bande de salopards nuisibles aurait eu leur tête au bout d’une fourche !
En attendant il nous faut encore attendre 2027. D’ici là nul doute qu’ils auront encore trouvé, avec l’appui des LR, du Renoncement National ou de LFI nombre de taxes à vous imposer et vous verrez, personne ne bougera ; cela passera crème.
Alors pourquoi voulez-vous qu’ils se privent de ce plaisir parce que dans leur petite tête de piaf il y a un mot qu’ils n’envisagent même pas, c’est économie ; que vous ayez des problèmes pour boucler vos fins de mois, que certains ne puissent même plus acheter à manger, que d’autres vivent dehors ou dans leur voiture rassurez-vous : ils s’en foutent complètement. Eux, cela ne va sûrement pas les empêcher de ripailler à s’en faire péter la sous-ventrière pour les fêtes de Noël !
source : Résistance Républicaine
Abattages de bétail : gendarmes et policiers avouent être «dégoûtés» de devoir faire face aux éleveurs
par Police & Réalités
Les forces de l’ordre expriment un profond malaise face aux mobilisations d’éleveurs dans l’Ariège. Entre ordres à suivre et sentiment de trahir «les leurs», gendarmes et policiers redoutent une nouvelle crise sociale.
Ariège : les forces de l’ordre en pleine crise de conscience face aux éleveurs mobilisés
Un dispositif militaire imposant s’est déployé dans l’Ariège ces derniers jours. Blindés ultramodernes, rotations d’hélicoptères et consignes strictes de filtrage témoignent de la tension qui règne autour de la question des abattages de bétail. Mais derrière cet arsenal, c’est le moral des troupes qui vacille, relate Le JDD.
Un sentiment de trahison chez les gendarmes mobiles
Un capitaine en gendarmerie mobile a recueilli les confidences de ses hommes après leur intervention. Leur constat est sans appel : un profond découragement traverse les rangs. La situation leur paraît absurde : défendre hier les agriculteurs contre des militants écologistes radicaux, et aujourd’hui employer des gaz lacrymogènes contre ces mêmes exploitants.
Ce malaise ne se limite pas à un escadron isolé. L’ensemble des effectifs mobilisés partage cette souffrance morale. Les forces de l’ordre ont l’impression de se retourner contre une partie de la population rurale avec laquelle elles entretiennent traditionnellement des liens d’appartenance sociale et culturelle.
Des dizaines de manifestations redoutées sur tout le territoire
Les prochains jours s’annoncent particulièrement tendus. Les mobilisations d’agriculteurs et d’éleveurs se multiplient à travers le pays, et chaque rassemblement nécessite un encadrement policier conséquent. La perspective d’affrontements physiques pèse lourdement sur le moral des troupes.
Un CRS parisien établit un parallèle troublant avec l’hiver 2018. Le mouvement des Gilets jaunes avait plongé les forces de l’ordre dans une période qu’il qualifie d’insupportable, coincées entre leur devoir d’obéissance et leur sympathie envers les manifestants. Cette fois encore, la même tension émerge.
Des actes de désobéissance et leurs conséquences
Face à ce dilemme moral, certains policiers envisagent des stratégies d’évitement. Des arrêts maladie sont annoncés pour échapper aux interventions les plus difficiles. Mais d’autres ont franchi une ligne rouge : sept gendarmes mobiles ont refusé de participer à l’opération menée vendredi à la ferme des Bordes-sur-Arize.
Cette désobéissance collective expose ses auteurs à des sanctions disciplinaires sévères. Un acte qui illustre l’ampleur du malaise traversant ces unités d’intervention, habituellement réputées pour leur discipline irréprochable.
Une hiérarchie qui relativise la situation
Un officier supérieur de la gendarmerie tente de replacer ces événements dans une perspective plus large. Selon lui, intervenir face à des corporations mobilisées fait partie intégrante des missions régaliennes : pompiers, surveillants pénitentiaires, et maintenant agriculteurs. L’objectif reste identique : empêcher les débordements violents.
Ce gradé insiste également sur un élément qu’il juge crucial : l’infiltration des cortèges paysans par des militants d’extrême gauche. Ces activistes radicaux, présents par centaines selon les estimations, chercheraient à instrumentaliser la colère agricole pour provoquer le chaos.
Cette lecture des événements peine toutefois à apaiser le trouble des forces de terrain, qui continuent d’exprimer leur profond inconfort face à une mission qu’elles jugent moralement intenable.
source : Police et Réalités via Profession Gendarme