Les objectifs de la collabosphère sont clairs pour 2026. Ils vont utiliser toutes les forces dont ils disposent pour faire taire définitivement ceux qu’ils appellent les fachos, l’extrême droite, voire parfois les nazis, rien de moins.
Qu’est-ce que la collabosphère ? C’est l’ensemble de la gauche et de leurs complices macronistes. Outre les partis et les élus, ils sont leurs associations, leurs syndicats, leurs médias, leurs juges, leurs enseignants, leurs universitaires, leurs miliciens, protégés par le régime.
Quels moyens sont-ils prêts à utiliser ? Contre CNews, l’Arcom et le renouvellement de la fréquence. Ils ont eu la peau de C8 et de Hanouna en 2024, ils rêvent d’avoir celle de Pascal Praud et de toute l’équipe du média de Vincent Bolloré, qui ose tenir un discours alternatif à celui des médias officiels. Tous les militants de gauche sont mobilisés pour multiplier les signalements à l’officine de contrôle des médias, pour préparer un dossier à charge et les faire taire à jamais, avec la complicité de l’ensemble des journaleux soumis.
Contre Frontières, cela sera le djihad judiciaire, mais aussi la multiplication de provocations et de possibles agressions contre leurs journalistes. Il est clair que la gauche ne supporte pas la combativité d’Erik Tegnér, et qu’ils en ont fait une cible. Même chose pour le courageux Jordan Florentin, dont ils ont balancé la véritable identité, sur les réseaux sociaux, et qui doit prendre des précautions dans son quotidien. Et le jeune Gino Delacroix, qui joue la même partition que Charlie Kirk, avec un contexte différent, risque à tout moment une agression physique, ne supportant pas que le débat soit possible dans les universités tenues par la terreur par la gauche.
Murmures de la Cité, qui a osé, en 2025, proposer aux Bourbonnais un spectacle valorisant l’Histoire de France à travers ses spécificités régionales, est bien sûr dans le viseur. Ce vendredi soir, Guillaume Senet était l’invité de Marc Baudriller, rédacteur en chef de Boulevard Voltaire et patron d’émission à Radio Courtoisie. Il a rappelé le harcèlement dont il a été victime par la gauche, du moins une minorité de militants radicalisés autour des duettistes Présumey et Indrusiak, et a déploré la lâcheté de trop d’élus locaux, qui, par crainte des représailles de la gauche, les laissent intimider, voire agresser les organisateurs du spectacle. Guillaume a évoqué toutes les plaintes qu’il a déposées contre les médias qui l’ont qualifié de « nazi », contre des militants qui l’ont menacé, et il a informé les auditeurs que toutes ces plaintes étaient classées sans suite, à Moulins. Mais sur l’antenne, il s’est étonné que l’Office du tourisme de Moulins ait déposé plainte contre Résistance républicaine, et que l’instruction ait été tellement rapide que dès le 7 janvier prochain, Christine Tasin sera convoquée à Moulins. Il paraît même que ce serait Jakubowicz en personne qui plaiderait contre la présidente de Résistance républicaine.
Ils vont avoir du travail, dans l’Allier, car, outre la deuxième année de spectacle de Murmures de la Cité, dont la billetterie a commencé, ils vont avoir la visite du Canon Français, qui, la semaine dernière, en Vendée, en deux soirées, a mis 4 000 personnes autour de la table, dans la meilleure tradition gauloise, autour de chansons, de bonne viande locale et de vin, bien sûr, avec des drapeaux français et régionaux. Réussiront-ils à faire mieux que Marie Mesmeur, qui a demandé, en vain, l’interdiction de cette fête près de Rennes ?