Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • Guerre de 1870 : Bazeilles, la dernière cartouche

    800px-alphonse-marie-adolphe_de_neuville_-_les_dernieres_cartouches_1873-800x475.jpg

    Il y a 150 ans, les 31 août et 1er septembre 1870, s’est déroulée la bataille de  qui allait donner ses lettres de gloire et de noblesse aux troupes de marine. Pour les historiens, elle fonde le mythe des troupes de marine, comme Camerone, sept ans plus tôt, avait forgé celui de la Légion.

    Le 1er septembre, au son de la musique, le général Ludwig von der Tann-Rathsamhausen (1815-1881) et ses Bavarois pénètrent sur la place de l’église de Bazeilles tandis que, dans les rues voisines, ses soldats, munis de torches incendient les maisons bazeillaises. 423 maisons sur 463 que compte la petite bourgade sont détruites par les Prussiens. Les Bavarois passent 43 habitants par les armes. Cependant, les combats ne sont pas terminés. Bien que grièvement blessé, le commandant Lambert organise une ultime résistance. Sur ses ordres, les marsouins de la division bleue transforment l’auberge Bourgerie en un bastion retranché, en fortin, pour enrayer la progression des troupes prussiennes, les Bavarois. Cette maison est la dernière encore debout sur la route qui mène à Sedan. Au-dessus de la porte, une enseigne : « Bourgerie, vin, bière, eau de vie ». Avec le capitaine Delaury et les sous-lieutenants Escoubet et Saint-Félix, le capitaine Bourgey organise la défense, cependant que le mouvement général continue.

    La dernière cartouche

    Pour les marsouins, il s’agit de tenir le plus longtemps possible afin de protéger le repli et de retarder l’avance ennemie jusqu’au retour offensif de la division depuis Balan.

    Lire la suite

  • Indigénistes et antiracistes appellent à décoloniser la France… CHICHE !

    Les positions militantes noires et anti-françaises, obsédées par la division « raciale » entre les populations, sont en retard : celles de LFI, Obono par exemple, du minuscule groupuscule Ligue de défense noire africaine, faisant un peu de bruit sur les réseaux sociaux grâce aux médias bienveillants, ou des associations d’« afro-descendants » persuadés d’avoir des esclaves comme ancêtres. Pourtant, aucun Noir vivant en France ne peut affirmer avec certitude descendre d’esclaves, sauf à avoir mené un travail généalogique probant. La lecture de livres historiques sérieux, tels ceux, mondialement reconnus, d’Olivier Pétré-Grenouilleau, Les Traites négrières (Gallimard, 2004), devrait suffire à le comprendre. Il est donc étonnant que les militants noirs de France, nombreux à penser que l’Afrique est un « pays », ne soient pas mieux informés des avancées remarquables de leurs « compatriotes » noirs africains, en matière de remigration.

    Lire la suite

  • A l’Espace Champerret, on vend et on achète des enfants

    A l’Espace Champerret, on vend et on achète des enfants

    Le Salon Désir d’enfant se tient actuellement à Paris, dans le 17e arrondissement. Le Collectif Marchons enfants dénonce cet esclavage :

    Voir la suite