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  • CANDIDAT NATIONALISTE & IDENTITAIRE À L'ÉLECTION PARTIELLE DU MAINE-ET-LOIRE (3e circ.), JEAN-EUDES GANNAT S'EXPLIQUE

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    Source Breizh-infos cliquez ici

    Militant identitaire et porte-parole de l’Alvarium, Jean-Eudes Gannat se lance dans la bataille des élections législatives. Il sera en effet candidat à l’élection législative partielle de Saumur Nord, les 20 et 27 septembre prochain.

    Avec lui, l’élection législative partielle comptera sept candidats. Outre Daphnée Raveneau (EELV) et Patricia Peillon (LO), Anne-Laure Blin (LR), Guy Bertin (DVD), Adrien Denis (DVD), Patrice Lancien (RN) et Jean-Eudes Gannat (DVD) se disputeront le fauteuil laissé vacant par Jean-Charles Taugourdeau (LR), élu maire de Beaufort-en-Anjou fin juin. Il s’agit de la 3ème circonscription de Maine-et-Loire : Saumur-nord.

    Nous l’avons interrogé alors que la campagne s’annonce brève.

    Breizh-info.com : Pouvez vous vous présenter à nos lecteurs ?

    Jean-Eudes Gannat :  j’ai 25 ans, je suis marié et père de famille. Après un parcours professionnel riche en rebondissements (j’ai beaucoup voyagé puis été viré plusieurs fois pour mon engagement politique, et n’ayant pas fait de grandes études, j’ai enchaîné les boulots précaires ou temporaires, de serveur à vélo taxi en passant par l’assurance, l’usine, le métier de croque-mort etc) je suis désormais à mon compte.

    Militant nationaliste depuis plusieurs années, je suis aussi le porte-parole de l’Alvarium, implanté en Anjou.

    Breizh-info.com : Tout d’abord, qu’est-ce qui explique l’élection législative partielle à laquelle vous vous présenter ? Quel bilan du député sortant ?

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  • Donald Trump ordonne la suppression des formations contre le racisme dispensées dans l’administration fédérale des États-Unis, dénonçant une “propagande clivante et anti-américaine”

    Donald Trump ordonne la suppression des formations contre le racisme dispensées dans l’administration fédérale des États-Unis, dénonçant une “propagande clivante et anti-américaine”.

    Des employés de l’administration ont été priés de suivre des formations où il leur est dit que +pratiquement toutes les personnes blanches contribuent au racisme, où il leur est demandé de dire qu’ils ‘bénéficient du racisme‘”, indique notamment la Maison Blanche dans un communiqué.

    (…) L’administration présidentielle a reçu l’ordre de « s’assurer que les agences fédérales cessent d’utiliser les dollars des contribuables pour financer ces séances de propagande clivantes et anti-américaines », ajoute le communiqué.

    Le Point

    https://www.tvlibertes.com/actus/donald-trump-ordonne-la-suppression-des-formations-contre-le-racisme-dispensees-dans-ladministration-federale-des-etats-unis-denoncant-une-propagande-clivante-et-anti-americaine

  • Face à la 4e guerre mondiale, l’Europe-puissance ?

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    Brillant contributeur du site de Polémia et orateur régulier lors des Forum de la Dissidence, Michel Geoffroy a récemment publié La nouvelle guerre des mondes aux éditions Via Romana. Après son remarqué La Super-classe mondiale contre les peuples, Michel Geoffroy continue de contribuer au débat d’idées pour rendre leur grandeur à la France et à la civilisation européenne. Cet ouvrage a évidemment attiré l’attention de nombreux commentateurs et Polémia publiera plusieurs notes de lectures dans les semaines à venir. Voici la critique de Frédéric Eparvier.
    Polémia.

    Une réponse civilisationnelle à une problématique géopolitique ?

    Michel Geoffroy, énarque et ancien haut fonctionnaire, nous invite avec son troisième livre : La nouvelle Guerre des Mondes à éclaircir ce que Antonio Gramsci aurait appelé le clair-obscur de l’entre-deux monde [1]. Ses réponses appellent en tout cas à un redressement de l’Europe-civilisation sans quoi nous auront le choix entre la vassalisation à l’ordre américain, ou la soumission aux nouveaux monstres.

    Ainsi il annonce dans une variation du Choc des Civilisations[2] et du Piège de Thucydide [3] une quatrième Guerre Mondiale, qui pourrait ne pas être qu’économique.  Sa thèse est qu’un monde polycentrique doit remplacer le monde unipolaire américain issu de la seconde guerre mondiale ainsi que de l’effondrement du bloc soviétique, et que celui-ci comporte « une propension intrinsèque à la conflictualité [4]», d’autant que les États-Unis vont tout faire pour éviter de passer du monde unipolaire qu’ils dominent à ce monde polycentrique où ils seraient en concurrence avec d’autres puissances. « La quatrième guerre mondiale résulte avant tout de la tentative des États-Unis d’empêcher l’émergence d’un monde polycentrique qui signifie la fin de leur prétention à la domination universelle. [5]»

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  • Qui sont les responsables de la tragédie qui s’annonce ?

    Qui sont les responsables de la tragédie qui s'annonce ?.jpeg

    Le 3 octobre 2018, quittant ses fonctions de ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb faisait cet aveu inquiétant à bien des égards « Aujourd'hui, on vit côte à côte. Mais je le dis toujours, je crains que demain on vive face à face. »

    En 2020, les ingrédients sont désormais en place pour que le pire intervienne. Qui en porte la responsabilité ?

    Le patronat ouvre la porte

    Dans les années 1960, au cœur des «trente glorieuses» au lieu de faire le choix stratégique d'investir massivement dans la robotisation (secteur automobile et pour faire pression à la baisse sur les salaires des ouvriers français qui veulent goûter eux aussi aux fruits de la croissance une partie du patronat (notamment dans le bâtiment, les travaux publics, la métallurgie) souhaite pouvoir avoir recours à l'immigration. Elle trouve un écho favorable auprès du Premier ministre de De Gaulle, Georges Pompidou. Les portes s'ouvrent à une immigration de travail. Les recruteurs de chez Renault, Citroën, Bouygues arpentent les douars, notamment au Maroc afin de sélectionner la main d'œuvre (y compris analphabète). Mal rémunérés, plus dociles (non syndiqués), ces dizaines de milliers de volontaires qui ne sont pas destinés à rester en métropole viennent seuls, envoient une partie de leur salaire à leur famille restée au bled qu'ils ne voient qu'une fois par an pendant leurs congés d'été) et souhaitent réunir assez d'argent ou assez de droits pour revenir au pays et y vivre dignement. À la fin de la décennie, ils sont 200 000 et déjà, on observe un véritable transfert de charges des entreprises vers la collectivité publique chargée d'accueillir de loger et de soigner ces travailleurs. En 1973, le gouvernement de Pierre Messmer annonce officiellement le gel de l'immigration. Cette dernière se ralentit mais ne s'arrête pas pour autant...

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  • Les 5 hypothèses électorales de Robert Ménard

    Les 5 hypothèses électorales de Robert Ménard

    Alors que 200 élus du Rassemblement national se réunissent à Fréjus ce week-end, pour la rentrée politique du parti, Robert Ménard fait part de ses remarques dans le Point :

    Si elle est candidate à la présidentielle de 2022, vous lui prédisez une défaite…

    Je pense que, aujourd’hui, elle n’est pas en position de gagner. Ça l’exaspère quand je dis cela, mais cela n’a rien contre elle ; je pense simplement que le courant de la droite qu’elle incarne n’est pas suffisant pour gagner. Le discours qu’elle tient sur les questions économiques n’est pas en phase avec ce dont notre pays a besoin.

    C’est-à-dire ?

    Marine Le Pen n’arrive pas à reconnaître qu’une personne qui n’est pas de son bord politique puisse, parfois, avoir raison. Sur la réforme de la SNCF, même si je serais allé plus loin que lui, Emmanuel Macron a fait de bonnes choses. Et sur les retraites aussi ! Pardon, mais on ne peut pas continuer, comme le fait le Rassemblement national, à faire croire aux Français qu’un statu quo soit envisageable, vivable, ou même souhaitable ! Je ne partage pas les analyses très gauchisantes du RN sur les questions économiques et sociales. Mais cela ne veut pas dire qu’on ne peut pas travailler ensemble. […]

    Quel avenir voyez-vous pour votre courant de pensée ?

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  • Black Lives Matter à la sauce antifa ou le dernier épisode en date d’une longue liste de crises de folies sociétales américaines, par Xavier Raufer.

    Aux États-Unis, d'épisodiques crises de folie sociétale 1

    Puritanisme et néo-inquisition : l'hystérie politiquement-correcte plonge la superstructure des États-Unis, notamment son infosphère 2, dans d'épisodiques crises d'une épilepsie sociétale mal comprise, vu d'Europe.

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  • Islam : la lâcheté de ceux qui s’aveuglent, par Ivan Rioufol

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    L’aveuglement sur l’état de la France est une lâcheté largement partagée. Rien n’est plus commode que de nier, par exemple, la montée de l’insécurité ou de l’islamisation, pour se contenter de brasser de l’air autour de l’ordre sanitaire et de ses principes de précaution. Les hommes politiques qui se prêtent à cette mascarade auront à répondre de leur démission devant l’histoire. Ainsi, mardi, le garde des Sceaux, Eric Dupont-Moretti, s’en est pris aux populistes coupables à ses yeux d’alerter sur l’expansion et la banalisation de la violence.

    Pour lui, l’ “ensauvagement” (un mot employé par le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin) est un leurre qui n’exprime qu’un “sentiment d’insécurité” “de l’ordre du fantasme”. Ce dénégationnisme balourd va de pair avec celui qui prétend que “l’islam est compatible avec la République” : une formule creuse reprise notamment par Emmanuel Macron. Ce slogan permet de ne pas s’interroger plus avant sur les causes du séparatisme islamique qui s’installe. Reste qu’un sondage Ifop, publié ce mercredi par Charlie Hebdo, vient rappeler l’attrait de la charia (loi islamique) sur la jeune génération de musulmans français.

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  • La République de Macron.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Née de la défaite de 1870 et des massacres du peuple parisien de la Commune, la troisième République dont Macron commémore ce vendredi les 150 ans de la proclamation fut tout au long de son existence une république bourgeoise, mercantile, cupide, affairiste et corrompue, coupée de la Tradition, hostile à l'ordre naturel, cosmopolite et dépravée.
    Ni le concept de "revanche" soigneusement entretenu par les gouvernements successifs à fin de diversion, ni la grande aventure coloniale et l'immensité de l'Empire ne suffisent à en gommer les tares et les fautes. Régime profondément anti social, la troisième République ne se rapprocha du peuple que lorsqu'elle eut besoin de lui pour le conduire dans les tranchées quand vint le temps de la guerre civile européenne. Avant d'oublier ses combattants, ses mutilés et ses héros lorsque le moment du grand élan national fut passé et que celui, après le traité de Versailles, du début du règne américain fut venu.
    République de faiblesse dans les années 20 et 30, le régime, celui des partis et des loges, ne subsista qu'en usant des pires méthodes policières, en matant sans pitié les légitimes mouvements sociaux et en faisant tirer sur les patriotes le 6 février 1934.
    Incapable de mener une politique de paix par l'alliance avec l'Italie régénérée, détruisant peu à peu les moyens matériels et le moral de ce qui fut la plus forte armée du monde, immobile et inerte devant la montée des périls, cette République créa les conditions de l'effondrement de 1940 dont la France ne s'est toujours pas remise.
    Voilà le régime que célébre aujourd'hui Macron. Il est vrai qu'il en incarne la triste continuité.
  • Michel Onfray : avorter jusqu’à 9 mois pour ‘raisons psycho-sociales’, ça s’appelle un infanticide

    Michel Onfray : avorter jusqu’à 9 mois pour ‘raisons psycho-sociales’, ça s’appelle un infanticide

    Addendum : un lecteur me signale que Michel Onfray accuse par erreur Laurent Joffrin d’avoir promu la coprophagie et la zoophilie par une tribune. En effet, il fait référence à un article dont Laurent Joffrin n’est pas l’auteur, publié par Libération le 17 janvier 2014, date à laquelle il n’était pas encore revenu en tant que directeur de la rédaction. (Source pour le lien à cette tribune : https://michelonfray.com/interventions-hebdomadaires/joffrin-penseur-du-sexe ).

    https://www.lesalonbeige.fr/michel-onfray-avorter-jusqua-9-mois-pour-raisons-psycho-sociales-ca-sappelle-un-infanticide/