
Ca bagarre sec à l’assemblée nationale, la présence aux manettes de l’homme de Macron, issu d’un parti qui réalise moins de 10 % des suffrages, donne des ailes aux députés de l’opposition qui se sentent aujourd’hui, un peu plus pugnaces, après nous avoir gratifiés de courbettes sans limites depuis sept ans de ce qu’il faut bien appeler un « One man show » permanent du président, voire même, une forme de dictature, même si de doctes « analystes » se refusent à employer le terme, tant qu’il manque le bruit des bottes dans les rues. Les amendements et les compromis se succèdent et hormis un hurluberlu qui ne veut plus entendre parler de « travail au noir », il semble que justement, ça travaille dans l’hémicycle, il serait temps.