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Terre & peuple était présent au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale dimanche 16 octobre à Rungis
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Terre & peuple était présent au Rendez-vous Bleu Blanc Rouge de Synthèse nationale dimanche 16 octobre à Rungis
Quatre vagues d’assaut de bombardiers et de chasseurs se sont abattues sur la splendide ville de Dresde, la « Florence de l’Elbe », alors l’une des plus villes au monde, qui renfermait des trésors architecturaux et artistiques de l’Âge baroque. Trois jours plus tard, la ville-lazaret était en cendres, mais se voyait « libérée » par les Anglo-Américains.
Polémia
Un contexte volontairement passé sous silence
Le 17 octobre prochain, comme chaque année, les autorités françaises, les islamo-gauchistes et le « Système » algérien vont commémorer un massacre qui n’a pas eu lieu…
Sur ce blog, ayant périodiquement à la même date déconstruit l’histoire officielle de ce prétendu « massacre », je me contenterai de renvoyer au chapitre IX intitulé « 17 octobre 1961, un massacre imaginaire » de mon livre Algérie l’Histoire à l’endroit en ajoutant ici quelques éléments essentiels à la compréhension du montage culpabilisateur qui nous est imposé :
L’auteur, René Gaëll, fut prêtre-infirmier durant la première guerre mondiale.
Le gouvernement maçonnique qui dirigeait la France au début du vingtième siècle jugea utile de mobiliser le clergé. Dans un premier temps, les ecclésiastiques furent incorporés dans le service de santé, où l’on ferait appel à leur dévouement sans les contraindre à porter les armes et à en faire usage. Mais cette mesure ne fut que transitoire. Le gouvernement décida ensuite de supprimer toute espèce de dispenses et soumit les ecclésiastiques, que l’on ignorait désormais, à la loi commune, en les astreignant au service armé.