Robert Brasillach s’est essayé à tous les genres : romancier, chroniqueur, dramaturge, poète et journaliste. Bien que rangé parmi les maudits, il reste un monument de la littérature française.
Six heures à perdre est probablement le plus méconnu des romans de Robert Brasillach, sans doute parce qu’il s’agit d’un roman posthume paru pour la première fois en 1953.