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culture et histoire - Page 280

  • Pourquoi relire Koestler ? Entretien avec Robert Steuckers à l’occasion de ses dernières conférences sur la vie et l’œuvre d’Arthur Koestler 1/5

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    [Ci-dessus : Arthur Koestler photographié par Fred Stein, 1937]

    • DI : Monsieur Steuckers, vous voilà embarqué dans une tournée de conférences sur la vie et l’œuvre d’Arthur Koestler, un auteur quasi oublié aujourd’hui, peu (re)lu et dont les livres ne sont plus tous réédités. Pourquoi insistez-vous sur cet auteur, quand commence la seconde décennie du XXIe siècle ?

    RS : D’abord parce que j’arrive à l’âge des rétrospectives. Non pas pour me faire plaisir, même si cela ne me déplait pas. Mais parce que de nombreuses personnes, plus jeunes que moi, me posent des questions sur mon itinéraire pour le replacer dans l’histoire générale des mouvements non conformistes de la seconde moitié du XXe siècle et, à mon corps défendant, dans l’histoire, plus limitée dans le temps et l’espace, de la “nouvelle droite”. Commençons par l’aspect rétrospectif :

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  • La Guerre Occulte (Emmanuel Malynski) ou l’histoire secrète de la subversion

    la guerre occulte

    Le Comte Emmanuel Malynski, essayiste polonais d’expression française, était un ami de Léon de Poncins qui a préfacé ce livre La Guerre Occulte paru pour la première fois en 1936.

    Cet ouvrage traite l’histoire secrète de la subversion. Cette lutte souterraine commença avec la Révolution française que soutinrent les « Illuminés » rassemblés au « couvent » de Wilhelmsbad sous la présidence du professeur bavarois Weishaupt. La Russie puis l’Autriche, symboles d’une chrétienté hiérarchisée, furent les cibles suivantes. La disparition de ces empires était indispensable à la révolution mondiale.

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  • Stéphane Rozès sur le thème de l'imaginaire français face au néolibéralisme

  • Charles Péguy, le croisé antimoderne

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    Charles Péguy (1873-1914) est un homme à part dans l’histoire des lettres françaises. Poète de l’incarnation, polémiste redoutable, il avait une âme religieuse, chargée d’humanité. De l’affaire Dreyfus à la Grande Guerre, il a cherché à faire prévaloir une conception héroïque de l’existence. Jusqu’à sa mort, au champ d’honneur, d’une balle en plein front.

    L’œuvre de Péguy, c’est un peu le mémorial de la Grande Guerre. En mourant aux premiers jours de septembre 14, celui qui était alors lieutenant est devenu l’un de ces soldats aux mille visages, dont les noms sont inscrits sur les monuments aux morts qui jalonnent notre pays. La propriété de tous, sans exclusive. Vichy a bien cherché à l’annexer, mais en vain. Il était trop inclassable, lui qui prévenait : « Je suis toujours sur deux plans. » Nationaliste chez les dreyfusards, monarchiste chez les républicains, charnel chez les mystiques. Jean Guéhenno l’a résumé d’une formule sans appel : Péguy était un républicain qui ne votait pas et un chrétien qui ne communiait pas.

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  • Un nouveau livre de Robert Steuckers aux Editions du More

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    Par un foisonnement hétéroclite, ce nouveau recueil de Robert Steuckers fera sans nul doute autorité en ce qui concerne la question russe au sens large.

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  • Capitaine Thomas, mort à Beyrouth en 1983 (Philippe Fortabat Labatut)

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    Philippe Fortabat Labatut, ancien Auditeur à l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale, Avocat à la Cour d’Appel de Paris, a été élève de Cyr VII au Prytanée Militaire avec Jacky Thomas auquel il rend hommage à travers ce livre. 

    « Je n’ai jamais pu voir couler le sang de France sans que mes cheveux ne se dressassent sur ma tête. » Ces paroles de Jeanne d’Arc sont revenues à l’esprit de Philippe Fortabat Labatut et de son éditeur lorsqu’ils ont décidé de publier ce livre qui veut honorer le Capitaine Jacky Thomas et ses paras morts au poste Drakkar, à Beyrouth, lors de l’attentat du 23 octobre 1983 qui a coûté la vie de 58 officiers, sous-officiers et parachutistes et en a blessé 15 autres.

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