culture et histoire - Page 276
-
Géopolitique de la Connaissance par Idriss Aberkane : la conférence
-
NÉCROMANCIE - La magie de la Vie et de la Mort
-
CHARLES VII crée une ARMÉE de MÉTIER
-
Guerre de Cent ans Suite: les Anglais persistent à vouloir préempter l’anneau de Jeanne d’Arc
Cela faisait 600 ans que les Anglais détenaient une bague qu’ils avaient volé directement ou indirectement à Jeanne d’Arc qu’ils étaient venus supplicier en France. Non contents de ne pas l’avoir rendue à la France depuis tout ce temps, ils ont en plus l’audace de vouloir la récupérer maintenant qu’enfin elle est de retour en France, après que l’association du Puy-du-Fou l’ait payée très cher aux enchères à Londres.
-
Neuro-pirates : réflexions sur l’ingénierie sociale (Lucien Cerise)
Lucien Cerise est un spécialiste du langage et de l’épistémologie.
Ce livre est un recueil d’articles et d’entretiens dont le titre fait référence à Neuro-Esclaves, de Paolo Cioni et Marco Della Luna, ouvrage science cognitive et de psychologie sociale qui passe en revue les diverses méthodes permettant de réduire en esclavage une population en ciblant le cerveau et en contournant ses mécanismes de défense.
-
La Russie et ses peuples, des origines à la révolution de 1917, avec Pierre Gonneau
-
Race, d’où viens-tu ? Avec Renaud Camus au secours du mot « race »
Il est des mots que l’on ne doit pas prononcer, des mots que l’on devrait oublier comme si les cacher pouvait anéantir la réalité qu’ils désignent… Mais chassez le naturel ; il revient au galop ! Le mot « race » fait partie de ces mots interdits. Et pourtant, il n’a jamais autant monopolisé l’espace public que depuis l’annonce de son inexistence ! Dans son dernier essai, Renaud Camus revient sur l’histoire de ce terme maudit, qui a connu ses errances et ses évolutions.
Après une somme monumentale sur le thème de la dépossession, Renaud Camus nous propose à travers un court essai en deux parties l’exploration d’un thème qui sous-tend l’ensemble de ses réflexions : la race. Ou plutôt, le mot « race ».
-
Alexis Carrel et la fabrication de nos hommes modernes, par Nicolas Bonnal 2/2
L’atrophie esthétique donc morale peut survenir :
« Le sens de la beauté ne se développe pas de façon spontanée. Il n’existe dans notre conscience qu’à l’état potentiel. A certaines époques, dans certaines circonstances, il reste virtuel. Il peut même disparaître chez les peuples qui autrefois le possédaient à un haut degré. C’est ainsi que la France détruit ses beautés naturelles et méprise les souvenirs de son passé. »
Comme on sait la meilleure manière de détruire tout cela reste le tourisme de masse.
L’atrophie morale et intellectuelle nous rend inaptes à recréer de la beauté et nous accoutume à une laideur épouvantable (souvenez-vous du Muriel de Resnais où la ville bombardée renaît de ses cendres, mais en béton et grands ensembles) :
-
Alexis Carrel et la fabrication de nos hommes modernes, par Nicolas Bonnal 1/2
On va laisser en parler un qui a le don de les énerver, les médias et les « élites », j’ai nommé Alexis Carrel. Prix Nobel de médecine quand même, et grande star en Amérique à l’époque de Roosevelt. Le chirurgien avait enlevé ses gants pour dire ses quatre vérités, car il savait avant les Orlov, Kunstler et autres collapsologues que nous étions bien condamnés.
On cite l’édition américaine que le prestigieux Carrel avait présentée à New York avant la Guerre :
-
Carthage : histoire d’une métropole méditerranéenne (Khaled Melliti)
Khaled Melliti est un historien franco-tunisien spécialiste des guerres puniques.
La légende de la fondation de Carthage – la plus grande cité antique africaine – par Elyssa, telle qu’elle nous a été rapportée par la littérature gréco-latine, résume à elle seule le rapport étroit entretenu avec la chose hellène. On est ici en face d’un conte étiologique, propre aux grandes cités méditerranéennes, c’est-à-dire d’une histoire destinée à légitimer la grandeur de la métropole punique aux yeux du reste du monde en lui attribuant les origines les plus anciennes et les plus nobles.