culture et histoire - Page 275
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La pire frauɗe archéologique ?!
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Une analyse de la « démocratie illibérale » de Viktor Orbán
Cet article est publié dans le cadre d’un partenariat avec la revue The European Conservative. Les opinions, analyses, commentaires développées dans le texte n’engagent que son auteur.
La « démocratie illibérale » est aujourd’hui une expression très utilisée et traditionnellement condamnée par les progressistes, les gens de gauche et les « conservateurs » à l’américaine. Nombre d’entre eux la considèrent comme une attaque non seulement dirigée contre les valeurs d’aujourd’hui, mais aussi contre le cadre libéral – considéré comme une protection contre la tyrannie – sur lequel seraient fondés les systèmes politiques occidentaux et qui trouve son origine dans la période prémoderne. De quelque manière que ce soit, implicite ou explicite, beaucoup ont déclaré que la vraie démocratie ne peut être que libérale.
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Galerie contre-révolutionnaire : Bossuet, Burke, Joseph de Maistre…
Cet ouvrage mérite l’attention de tous ceux qui ne se reconnaissent pas en la république laïque et maçonnique imposée depuis 1789 comme un modèle de société.
Les éditions Clovis ont tenu à rééditer en un livre les articles de Dominique Ancelle sur les grands auteurs contre-révolutionnaires qui, avec lucidité et courage, ont éclairé sur les méfaits de la révolution et ont rappelé les vrais principes politiques.
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Waterloo démythifié ! (Yves Vander Cruysen)
L’année 2015 a été marquée par les commémorations du bicentenaire de la bataille de Waterloo. Cet évènement historique conserve un intérêt impressionnant auprès d’un large public malgré le temps qui passe. L’ouvrage Waterloo démythifié ! n’est donc pas inutile. Son auteur s’est attelé à éclaircir cent légendes autour de la plus célèbre des batailles.
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Voyages en Afrique médiévale, avec François-Xavier Fauvelle
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Le mur païen | Mini documentaire #4
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Actions clandestines en Asie du Sud-Est
Guillaume Fiquet reçoit Emeric Valloy et évoquera les maquis anti-communistes en Birmanie. L'auteur de "Actions clandestines" a participé entre 1985 et 1990 à la formation militaire des résistants et au combat de ces volontaires de la liberté qui s'opposaient aux dictatures en Asie du Sud-Est.
Vous pouvez commander ce livre ICI
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Comment la France a gagné la guerre de Cent Ans, avec Amable Sablon du Corail [3/3]
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Pourquoi relire Koestler ? Entretien avec Robert Steuckers à l’occasion de ses dernières conférences sur la vie et l’œuvre d’Arthur Koestler 5/5
Dans La Lie de la terre, les Belges de l’immédiat après-guerre ont dû lire avec jubilation un portrait de Paul Reynaud, décrit comme un “tatar en miniature” ; “il semblait, poursuit Koestler (p. 144), que quelque part à l’intérieur de lui-même se dissimulait une dynamo de poche qui le faisait sautiller (jerk) et vibrer énergiquement” ; bref, un sinistre bouffon, un gnome grimaçant, animé par des “gestes d’automate”. Braillard vulgaire et glapissant, Paul Reynaud, après ses tirades crapuleuses contre Léopold III, a été le personnage le plus honni de Belgique en 1940 : son discours, fustigeant le Roi, a eu des retombées fâcheuses sur un grand nombre de réfugiés civils innocents, maltraités en tous les points de l’Hexagone par une plèbe gauloise rendue indiciblement méchante par les fulminations de Reynaud. Le ressentiment contre la France a été immense dans les premières années de guerre (et fut le motif secret de beaucoup de nouveaux germanophiles) et est resté durablement ancré chez ceux qui avaient vécu l’exode de 1940.
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Bouqueval (95) : une nécropole gauloise vieille de 2500 ans découverte. Pas moins de 16 tombes avec squelettes, quinze incinérations ainsi qu’un important mobilier datant du IVe et IIIe siècle avant notre ère ont été mis au jour.
Les chercheurs poursuivent l’analyse des artefacts et dépouilles retrouvés dans la nécropole gauloise de Bouqueval, dont les fouilles se sont clôturées en octobre 2022.
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