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culture et histoire - Page 279

  • Les bombardements de masse des Anglo-Américains durant la seconde guerre mondiale

    Les bombardements de masse des Anglo-Américains durant la seconde guerre mondiale

    Suite de « Il y a 71 ans, l’extermination des Allemands de Dresde« .

    Les Anglo-Américains massacrent les civils

    Les massacres de la population allemande a anéanti « 80 pour cent de toutes les villes allemandes comptant plus de 100 000 habitants ». Les attaques aériennes alliées déversèrent, sur ces populations civiles, « 40 000 tonnes de bombes en 1942, 120 000 tonnes en 1943, 650 000 tonnes en 1944 et, dans les quatre derniers mois de la guerre en 1945, de nouveau 500 000 tonnes », dixit le Welt du 11.2.1995.

    La destruction de Dresde avait été programmée depuis le 30 mars 1942, nous apprend l’historien et journaliste britannique Max Hastings dans son livre Bomber Command (1979). Date à laquelle le Pr F.A. Lindemann, qui deviendra Lord Cherwell, conseiller scientifique de Winston Churchill et réfugié juif d’Allemagne, remit au Premier Ministre un rapport fatidique. Hastings explique que « le rapport Cherwell fournit la rationalisation du programme du Bomber Command qui avait été entrepris, et serait désormais la feuille de route des plans de l’offensive par bombardements ».

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  • Al-Andalous : l’invention d’un mythe

    Al-Andalous : l’invention d’un mythe

    De Marion Duvauchel pour Le Salon beige :

    Un des signes de l’inculture française comme du marquage idéologique de son intelligentsia est le silence des universitaires comme celui de la presse lors de la parution en 2017, du livre de Serafin Fanjul, Al-Andalous, l’invention d’un mythe.

    Islamologue et arabisant espagnol, spécialiste de philologie sémitique, Fanjul fut directeur du centre culturel hispanique du Caire et membre de l’Académie royale d’histoire. En 2000, il publie Al-Ándalus contra España : la forja del mito (Al-Ándalous contre l’Espagne) puis en 2004, La quimera de Al-Ándalus (« La chimère d’Al-Andalus ». La fusion de ces deux ouvrages a donné la traduction française : Al-Andalus, l’invention d’un mythe, aux éditions de l’Artilleur.

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  • Six heures à perdre (Robert Brasillach)

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    Robert Brasillach s’est essayé à tous les genres : romancier, chroniqueur, dramaturge, poète et journaliste. Bien que rangé parmi les maudits, il reste un monument de la littérature française.

    Six heures à perdre est probablement le plus méconnu des romans de Robert Brasillach, sans doute parce qu’il s’agit d’un roman posthume paru pour la première fois en 1953.

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  • Remarques sur Chesterton et un extraordinaire discours de Giorgia Meloni

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    par Nicolas Bonnal

    Giorgia Meloni au cours d’un discours extraordinaire, référencé et courageux, a attaqué les marchés financiers et a défendu l’indéfendable (pour la presse française ou autre), la famille, le pays (je préfère ce mot à patrie maintenant, la patrie on est trop morts pour elle, et pour son État, voyez mon Coq hérétique), le droit de ne pas être un numéro. On se serait cru dans le générique du Prisonnier (voyez mes textes), série conçue par l’acteur rebelle et chrétien Patrick McGoohan : « je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre ».

    Puis elle a cité Chesterton. On devra se battre pour dire que le brin d’herbe est vert à la belle saison. Quel coup de génie : en effet les vert-de-gris sont revenus avec l’écologie et veulent (cf. Peter Koenig) remplacer le vert par le brun, le tout sous la houlette des investisseurs type BlackRock-Fink et les conseillers Schwab-Harari si proches parfois des frères Marx.

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