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culture et histoire - Page 282

  • Malaise dans la science, les interrogations de Denis Collin

    Malaise dans la science
     

    Denis Collin est philosophe, professeur agrégé, docteur, mais aussi le fondateur de l’Université populaire d’Évreux. On lui doit plusieurs essais consacrés à la morale, aux théories de la justice ou à la conception de la liberté dans lesquels il lie marxisme, socialisme et républicanisme. Co-animateur de La Sociale, il s’est exprimé à plusieurs reprises dans nos colonnes, tant Krisis qu’Éléments. Nous le rencontrons cette fois-ci pour aborder son dernier ouvrage, Malaise dans la science, paru aux éditions Krisis, à La Nouvelle Librairie.

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  • Histoire du Monde : l’âge des révolutions (J.M. Roberts et O.A. Westad)

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    Voici le troisième et dernier tome de cette monumentale histoire du monde et de ses civilisations.

    Ce volume sous-titré « L’Âge des révolutions » reprend le fil de l’histoire au XVIIIème siècle pour se conclure au tout début du XXIème siècle.

    La première partie de cet ouvrage retrace les changements politiques observés dans une ère révolutionnaire, donnant naissance à une nouvelle Europe. Les auteurs examinent également l’impact de ces changements dans le monde anglo-saxon ainsi que les métamorphoses constatées dans le monde asiatique à la même période.

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  • Généralissime Souvorov, père de la doctrine de guerre russe (Général Serge Andolenko)

    generalissime_Souvorov

    Le général Serge Andolenko (1907-1973) était un officier français d’origine russe. Il a été chef de corps du 5ème Régiment Etranger d’Infanterie. Il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages d’histoire militaire.

    Qui était le généralissime Souvorov (1729-1800) ? La trace laissée en Russie par ce petit maréchal paraît ineffaçable. Tous les succès militaires russes sont attribués par les historiens de ce pays au respect des principes de Souvorov et toutes les défaites, invariablement, à l’oubli de son testament. N’est-il pas frappant que les lycées militaires portent le nom d’Ecoles Souvorov ? Nul autre homme de guerre ne jouit dans son pays d’un prestige comparable à celui de Souvorov. Et pourtant, Souvorov est quasiment inconnu.

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  • Qui étaient les vrais mousquetaires ?

    « Les mousquetaires étaient loin de cette image romancée et romantique. C’était avant tout une unité d’élite, une unité militaire directement rattachée au roi, pas du tout indépendante ».


    source : YouTube/TV Libertés

  • Comment les Mongols ont conquis les terres russes

    par Boris Egorov.

    Une armée orientale incroyablement nombreuse, bien entraînée et cruelle a non seulement ruiné le pays, mais a également enchaîné pendant plusieurs siècles la conscience du peuple russe par la terreur.

    Taizu, nom chinois de Gengis Khan. Portrait rogné d’une page d’un album représentant plusieurs empereurs Yuan (Yuandjai di banshenxiang) Musée national du Palais à Taipei

    « À cause de nos péchés, des peuples inconnus, Moabites impies, sont venus, dont personne ne sait exactement qui ils sont et d’où ils viennent, quelle est leur langue, de quelle tribu ils sont, et quelle est leur foi » : c’est ainsi qu’un chroniqueur a décrit la première apparition près des frontières russes des troupes mongoles, survenue en 1223. L’invasion de la Russie, cependant, n’était pas prévue par les Mongols à ce moment-là. La campagne des commandants Subotai et Djebé dans la plaine d’Europe de l’Est s’apparentait plus à une mission de reconnaissance qu’à une conquête.

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  • Les bons élèves

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    Si vous avez aimé le règne de Macron I, vous consommerez, jusqu'à son terme, le règne de Macron II, et puisque la constitution ne permettra pas en tout état de cause, un Macron III, préparez-vous à adorer un nouveau superchampion de la technocratie. Nos ministres intègres s'y préparent.

    Dans l'histoire contemporaine de la France, les exemples de ces bons élèves arrivés au sommet de la décision politique ne manquent pas. Leurs cursus républicains étaient supposés prolonger, de droit divin, leur [brillant] curriculum studiorum. De la sorte, l'on n'ose presque jamais se souvenir des méfaits que, concrètement, ils ont tous engendrés leur vie durant par leur gestion calamiteuse.

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