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Il y a 63 ans, le 5 mars 1953, le dictateur Joseph Staline mourrait.
Le monde était ainsi débarrassé d’un des plus grands criminels de tous les temps et de toute l’histoire. Il est bien évidemment impossible de rendre un quelconque hommage à cet abominable tortionnaire dont le XXe siècle se serait bien passé. C’est aux dizaines de millions de morts du stalinisme qu’il nous faut rendre hommage. Ces femmes et ces hommes spoliés, déportés, torturés, massacrés, éliminés par la barbarie stalinienne.
Catherine Rouvier est docteur d’Etat en droit public et en science politique de l’université Paris II (Panthéon-Assas) et maître de conférences à l’université de Paris XI (Orsay).
Cet ouvrage est une réédition augmentée et enrichie de sa thèse d’histoire des idées politiques sur Gustave Le Bon, parue initialement aux Presses Universitaires de France (PUF) en 1986 avec une préface d’Edgar Faure et qui reçut le prix Fabien de morale et de sociologie de l’Académie française.
Guillaume Fiquet reçoit Pierre-Denis Boudriot, docteur en histoire moderne et contemporaine, auteur d'essais sur l'épuration et d'articles parus notamment dans la Revue d'Histoire européenne. Ce dernier retrace ce que fut l'ennemi intérieur de la IIIème République dans la période 1938-1940, à partir de récits, de mémoires, d'archives, exploitant également des échos de presse méconnus. D'avril 1938 à juin 1940, les gouvernements Daladier puis Reynaud conduisent une politique d'inspiration jacobine et répriment à coups de décrets-lois toutes les menées attentatoires à la sécurité intérieure française. Servie par une législation d'exception conférant les pleins pouvoirs à l'exécutif, cette répression sévit crescendo jusqu'aux dernières heures de la IIIème République. Exacerbée par la montée des périls extérieurs, elle atteint son paroxysme en plein exode, lors du repli vers le sud des prisonniers incarcérés à Paris.
Pierre-Denis Boudriot - L'ennemi intérieur de la IIIème République (1938-1940) - Éditions de Chiré.
Denis Collin est philosophe, professeur agrégé, docteur, mais aussi le fondateur de l’Université populaire d’Évreux. On lui doit plusieurs essais consacrés à la morale, aux théories de la justice ou à la conception de la liberté dans lesquels il lie marxisme, socialisme et républicanisme. Co-animateur de La Sociale, il s’est exprimé à plusieurs reprises dans nos colonnes, tant Krisis qu’Éléments. Nous le rencontrons cette fois-ci pour aborder son dernier ouvrage, Malaise dans la science, paru aux éditions Krisis, à La Nouvelle Librairie.
Voici le troisième et dernier tome de cette monumentale histoire du monde et de ses civilisations.
Ce volume sous-titré « L’Âge des révolutions » reprend le fil de l’histoire au XVIIIème siècle pour se conclure au tout début du XXIème siècle.
La première partie de cet ouvrage retrace les changements politiques observés dans une ère révolutionnaire, donnant naissance à une nouvelle Europe. Les auteurs examinent également l’impact de ces changements dans le monde anglo-saxon ainsi que les métamorphoses constatées dans le monde asiatique à la même période.
Le général Serge Andolenko (1907-1973) était un officier français d’origine russe. Il a été chef de corps du 5ème Régiment Etranger d’Infanterie. Il est aussi l’auteur de nombreux ouvrages d’histoire militaire.
Qui était le généralissime Souvorov (1729-1800) ? La trace laissée en Russie par ce petit maréchal paraît ineffaçable. Tous les succès militaires russes sont attribués par les historiens de ce pays au respect des principes de Souvorov et toutes les défaites, invariablement, à l’oubli de son testament. N’est-il pas frappant que les lycées militaires portent le nom d’Ecoles Souvorov ? Nul autre homme de guerre ne jouit dans son pays d’un prestige comparable à celui de Souvorov. Et pourtant, Souvorov est quasiment inconnu.
« Les mousquetaires étaient loin de cette image romancée et romantique. C’était avant tout une unité d’élite, une unité militaire directement rattachée au roi, pas du tout indépendante ».