culture et histoire - Page 294
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Retour sur notre Oktoberfest
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Six heures à perdre (Robert Brasillach)

Robert Brasillach s’est essayé à tous les genres : romancier, chroniqueur, dramaturge, poète et journaliste. Bien que rangé parmi les maudits, il reste un monument de la littérature française.
Six heures à perdre est probablement le plus méconnu des romans de Robert Brasillach, sans doute parce qu’il s’agit d’un roman posthume paru pour la première fois en 1953.
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Julien Langella - De droite et radical : est-ce encore possible ?
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Remarques sur Chesterton et un extraordinaire discours de Giorgia Meloni

par Nicolas Bonnal
Giorgia Meloni au cours d’un discours extraordinaire, référencé et courageux, a attaqué les marchés financiers et a défendu l’indéfendable (pour la presse française ou autre), la famille, le pays (je préfère ce mot à patrie maintenant, la patrie on est trop morts pour elle, et pour son État, voyez mon Coq hérétique), le droit de ne pas être un numéro. On se serait cru dans le générique du Prisonnier (voyez mes textes), série conçue par l’acteur rebelle et chrétien Patrick McGoohan : « je ne suis pas un numéro, je suis un homme libre ».
Puis elle a cité Chesterton. On devra se battre pour dire que le brin d’herbe est vert à la belle saison. Quel coup de génie : en effet les vert-de-gris sont revenus avec l’écologie et veulent (cf. Peter Koenig) remplacer le vert par le brun, le tout sous la houlette des investisseurs type BlackRock-Fink et les conseillers Schwab-Harari si proches parfois des frères Marx.
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Arménie, l’âme d’un peuple (Henry Cuny)

Henry Cuny fut ambassadeur de France en Arménie de 2002 à 2006. Il a notamment été l’organisateur de la première visite d’un Chef d’Etat français en Arménie. Il est aussi le cofondateur de l’Université française en Arménie.
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Guerilla # 3, la série phénomène d’Obertone
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ÉLISABETH DE FRANCE - le sacrifice d'une princesse [Édition]
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Qu’est-ce que la France ?
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Koutiepov – le combat d’un général blanc, de la Russie à l’exil (Nicolas Ross)

Nicolas Ross, spécialiste de l’histoire russe, est l’auteur de plusieurs ouvrages de référence concernant la Russie impériale.
Le général Koutiepov (1882-1930) était une idole de la jeune génération des officiers blancs. Il incarnait le modèle d’officier russe : amoureux d’une patrie idéale, proche de son peuple et de ses hommes et prêt à servir son pays avec simplicité et abnégation.
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Les origines secrètes de la Première Guerre Mondiale

par Eric Delcroix.
Il existe de multiples thèses sur les causes de la Première Guerre mondiale. Pour certains, c’est l’Allemagne qui est coupable. Pour d’autres, c’est la Russie et le clan belliciste français qui ont poussé à l’affrontement. Pour d’autre, c’est le jeu mécanique de l’enchaînement des alliances qui a rendu la guerre totale inévitable. Sans oublier, bien entendu, la thèse marxiste qui considère que la Première Guerre mondiale était provoquée par le capitalisme.
La thèse qui est présentée ci-dessous met en cause les puissances anglo-saxonnes. C’est une thèse qui vaut d’être présentée et débattue car on ne peut connaitre la vérité historique que par la confrontation des points de vue.
