culture et histoire - Page 298
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Pourquoi faut-il bannir l’écriture inclusive ? Avec Ralph La Cartouche #RDVdesBarons7
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Brève histoire de la gauche caviar (1/9)
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L’autre visage de la Guerre d’Espagne
Pio Moa a été militant du Parti Communiste Espagnol puis fondateur de groupe de résistance maoiste GRAPO. Ardent combattant anti-franquiste, il participa à de nombreuses actions violentes avant de se lancer dans un long travail de recherche en étudiant le fonds documentaire de la Fondation socialiste Pablo Iglesias. C’est là qu’il découvrit « l’autre visage » de la gauche révolutionnaire.
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Les grands lions de la chrétienté (4/5)
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Les grands lions de la chrétienté (4/5)
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Passé-Présent n°331 : Les juridictions d’exception à la fin de la guerre d’Algérie (1961-1963)
Conseiller honoraire à la Cour de cassation, ancien membre du collège de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, Grégoire Finidori, retrace le contexte historique français à la fin de la IVème République, puis le retour de De Gaulle. Il explique le revirement de la politique algérienne du chef de l’Etat qui va susciter une série de crises conduisant, à partir de 1961, à la création de juridictions de pure circonstance comme le Haut Tribunal militaire ou la Cour militaire de justice. C’est un regard professionnel sur ces juridictions et sur la façon dont les affaires ont été jugées qu’il nous délivre, tout en faisant revivre les figures marquantes de cette époque, des généraux putschistes au lieutenant-colonel Bastien-Thiry.
Grégoire Finidori – « Un formidable système répressif » – Ed. Dominique Martin Morin – 503 p. – 28,50 €.
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Salan (Jean-Paul Angelelli et Bernard Zeller)
Jean-Paul Angelelli est né à Alger en 1934. Historien et journaliste, il est aussi vice-président de l’association des amis de Raoul Salan.
Bernard Zeller, fils du général André Zeller, a fait carrière dans les industries spatiale et de défense. Il a présidé l’association des amis de Raoul Salan de 2004 à 2015.
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Promenade en Forêt de Montfort l'Amaury avec Heather
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Deux cents ans de révolution française 2/5
La victoire progressiste, cependant, n’est pas encore totale aujourd’hui. Quoique fortement fragilisés, certains socles de la société traditionnelle subsistent encore. Le premier est la famille. Les progressistes s’emploient dès lors à détruire ce qu’il en reste et à promouvoir tout ce qui peut lui nuire : ils soutiennent le divorce et les comportements « libres » ; ils étendent le plus possible les possibilités d’avortement ; ils insistent sur le fait que la femme n’a pas forcément vocation à être mère ; ils cherchent à subvertir la répartition traditionnelle des rôles entre homme et femme, dans la famille comme dans la société ; ils promeuvent l’homosexualité, la bisexualité, les changements de sexe ; ils légalisent la « famille » homosexuelle (mariage, adoption, PMA et bientôt GPA ; ils envisagent même une évolution transhumaniste, qui pourrait par exemple conduire à autoriser certaines manipulations génétiques. De façon générale il s’agit pour les progressistes de se débarrasser des mœurs traditionnelles.
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Deux cents ans de révolution française 1/5
Initiée au XVIIIe siècle la révolution française se poursuit. Elle est en passe d’atteindre son objectif ultime : mettre fin à la civilisation européenne, pour promouvoir un homme nouveau et construire un monde meilleur.
- La révolution progressiste à l’œuvre depuis deux cents ans
En initiant la révolution de 1789, les progressistes entendent détruire la société traditionnelle et la remplacer par une autre, la société moderne, conforme à l’idéologie des Lumières. La société moderne s’oppose en tout point à la société traditionnelle. La société traditionnelle est charpentée par des structures collectives, la famille, la paroisse villageoise ou de quartier, la religion : les individus sont à leur service et ont envers elles des devoirs.