culture et histoire - Page 305
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Université d'été 2022 - bande annonce
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Qu'est ce qu'être Français et le principe d'état ? Partie 2 : café richelieu
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Révolte Hongroise, l’histoire cachée….
Pour le 60e anniversaire de la révolte du peuple hongrois de 1956, plutôt que de refaire la chronologie des événements qui est lue partout ailleurs, procédons à une lecture alternative des événements, en mettant le projecteur sur des faits oubliés.
On ne peut pas comprendre la révolution contre l’oppression communiste de 1956 et la répression féroce qui s’en suivit sans avoir à l’esprit le rôle important qu’à joué en Hongrie la communauté juive. Le 20 mars 1919, les communistes s’emparaient déjà du pouvoir en Hongrie et faisaient régner la terreur. Leur chef était un petit gratte-papier vivant d’escroqueries dans le milieu des assurances, un certain Aaron Cohen qui se faisait appeler Bela Kun.
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Regards nouveaux sur Nietzsche 2/5
Par la suite, la sociale-démocratie oscillera entre le légalisme strict, devenu "révisionnisme" ou "réformisme" parce qu'il acceptait la société capitaliste / libérale, ne souhaitait que la modifier sans bouleversement majeur, et le révolutionnisme, partisan d'un chambardement généralisé par le biais de la violence révolutionnaire. Cette seconde tendance demeurera minoritaire. Mais c'est elle, rappelle R. Hinton Thomas, qui puisera dans le message nietzschéen.
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La petite Histoire : L’avènement des Capétiens – Les grands Capétiens
Les Capétiens, descendants directs d’Hugues Capet, ont incontestablement posé les bases de la France royale, de l’État moderne, et l’ont fait accéder au statut de plus grande puissance de la chrétienté médiévale. De Philippe Auguste à Philippe Le Bel en passant par Saint Louis, Louis VI le Gros ou encore Louis VIII, leur ère est sans doute l’une des périodes les plus importante et fondatrice de notre histoire. Mais pour commencer, pour cet épisode 1, posons les bases nous aussi en parlant du premier d’entre eux, Hugues Capet, et expliquons simplement comment les Capétiens se sont installés sur le trône, ont légitimé leur dynastie et débuté cette merveilleuse aventure française.
https://www.tvlibertes.com/la-petite-histoire-lavenement-des-capetiens-les-grands-capetiens
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Regards nouveaux sur Nietzsche 1/5
Il y a cent ans paraissait l'ouvrage le plus célèbre de Nietzsche, celui qui sera le plus lu et que toute personne moyennement cultivée citera ou évoquera spontanément : Ainsi parlait Zarathoustra. On sait d'emblée que le philosophe allemand a une réputation qui sent le soufre, que ses vigoureuses tirades anti-chrétiennes risquent de faire chavirer toutes les certitudes, que son rejet, qualifié d'aristocratique, de toute espèce de moralisme, fait de sa pensée une gâterie, une ivresse, une drogue pour un très petit nombre. Tous les fantasmes sont permis quand il est question de Nietzsche ; chacun semble avoir son petit Nietzsche-à-soi, chacun tire de l'itinéraire du philosophe de Sils-Maria une opinion chérie qu'il exhibera comme un badge coloré, avec la certitude coquine de choquer quelques bien-pensants. Et, en effet, en cent ans, on a dit tout et n'importe quoi à propos de Nietzsche, tout et le contraire de tout.
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Le premier numéro de La Furia, le « Hara-Kiri de droite », s’est écoulé en deux mois à 60.000 exemplaires dont 25.000 en kiosque
Le but est de réarmer les pensées. » Le 18 mai, lors d’un live organisé par la chaîne YouTube « Livre noir », Laurent Obertone livre l’ambition de La Furia. Ce trimestriel lancé en début d’année se présente comme un « Hara-Kiri de droite », célèbre magazine des années 1960 plusieurs fois interdit. La couverture rose bonbon du numéro 2, sorti le 24 avril, affiche, à sa « une », une caricature d’Emmanuel Macron, assis sur un tas de billets, vêtu d’une veste de costume et de bas résille. Les titres – « Les Dessous du pouvoir », « Politiciens : sont-ils aussi vicieux que les journalistes ? », ou « Sardine Ruisseau contre-attaque » – donnent un avant-goût de la ligne éditoriale subversive.
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Le TRAITÉ de TROYES signé le 21 mai 1420
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Royauté et incarnation, par Vladimir Volkoff.
Eric Muraise dit dans "Le Grand Monarque", que la France possède encore quelques monarchistes mais des royalistes, non. Différence : les monarchistes préfèrent un régime; les royalistes aiment un homme.
La monarchie est à la royauté ce que le déisme, avec son horlogerie, est à l'Église avec ses chapiteaux et ses encensoirs. Eric Muraise peut avoir raison. Nous en connaissons tous de ces monarchistes grincheux qui n'ont qu'un sujet de conversation : dénigrer le Prince. Ils ont le choix, pourtant, surtout à notre époque où il y a de moins en moins de trônes et de plus en plus de prétendants. Mais non : le Prince, qu'ils se reconnaissent est toujours celui qui leur plaît le moins. Ils s'arrangent pour regretter l'aïeul, préférer l'oncle, attendre le petit-fils. Dans l'histoire, même, aucun Louis, aucun Henri ne les satisfait. Au mieux, ils vénèrent un Childebrand quelconque, dont personne n'a jamais entendu parler. Ces monarchistes Jean-qui-grogne ne sont pas des royalistes ; car la monarchie ne sera jamais qu'une idée, tandis que la Royauté est une incarnation.
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Épouses de ministres sous Louis XIV