culture et histoire - Page 306
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Les ORIGINES du SERVAGE en France [PODCAST AUDIO] Éditions Voxgallia
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Au temps des chevaliers
Dans les spectacles historiques, les films ou dans les romans, ils font rêver toutes les générations. Mais qui étaient vraiment les chevaliers ? Depuis une vingtaine d’années, les historiens ont beaucoup travaillé sur la question. Révisant nombre d’idées reçues.
Cet été, comme tous les ans, « la Légende des chevaliers », spectacle joué dans le cadre des Médiévales de Provins, fait le plein de spectateurs, tout comme « les Chevaliers de la Table ronde » et « Le Secret de la lance » au Puy du Fou ou « le Tournoi de chevalerie » de Sedan. Dans les familles, on reverra en DVD Excalibur de John Boorman (1981) ou Kingdom of Heaven de Ridley Scott (2005), ce qui n’empêchera pas l’aïeule de se remémorer Les Aventures de Robin des Bois (1938), film dans lequel Errol Flynn était si beau… Les plus jeunes préféreront Kaamelott, d’Alexandre Astier (2005), série dont l’esprit rappellera à leurs parents Monty Python, Sacré Graal, de Terry Gilliam, chef d’œuvre satirique de leur jeunesse (1975). Pour ceux pour qui ne jurent que par un bon livre, Lancelot du Lac, Perceval ou Ivanhoé sont des romans qui traversent les générations.
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La BATAILLE de FONTENOY - LOUIS XV
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Clausewitz, la biographie (Bruno Colson)
Bruno Colson est professeur à l’université de Namur, où il enseigne l’histoire de la guerre et de la stratégie. Spécialiste de la période napoléonienne, il est l’auteur de nombreux ouvrages de référence en histoire militaire.
La pensée militaire de Carl von Clausewitz (1780-1831), essentiellement exprimée dans son œuvre majeure Vom Kriege (De la guerre), est toujours considérée comme la plus importante sur le sujet. Le développement de nouvelles formes de guerre au XXIe siècle a même entraîné un regain d’intérêt à son égard.
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Les derniers jours, la fin de l’Empire romain d’Occident (Michel De Jaeghere)
Michel De Jaeghere, historien et journaliste, dirige notamment Le Figaro Histoire et Le Figaro Hors-série.
La disparition de l’Empire romain d’Occident est peut-être l’événement le plus intéressant et le plus important de l’histoire universelle. Des générations d’historiens ont tenté d’expliquer la complexité de cet effondrement.
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C’étaient les Celtes
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La Petite Histoire : Les corps francs, troupes de choc de la Grande Guerre
Dans le contexte figé de la guerre des tranchées, ce sont les corps francs qui ont rempli les missions les plus périlleuses en quête de renseignements. Ces unités d’élite, ancêtres des forces spéciales, avaient pour missions la destruction d’objectifs mais surtout la capture de prisonniers, directement dans la tranchée ennemie. Pour ce faire, l’entraînement et la sélection étaient rudes, et leur équipement comme leur encadrement étaient adaptés. Autonomes du reste de l’armée, ils étaient, avec les as du ciel, l’élite de ce premier conflit mondial.
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Surprise ! On y arrive
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Le Franks Casket : ce mystérieux coffret qui renferme le secret de l’Europe
En ce début de troisième millénaire, l’une des rares questions à portée philosophique et civilisationnelle soulevées dans le cadre du traité constitutionnel de l’Union européenne était celle des « racines » de l’Europe. Celle-ci aura engendré une lutte entre le monde catholique, appelé par le pape Jean-Paul II lui-même à affirmer ses « racines judéo-chrétiennes », et le monde « laïc », qui obtiendra que le préambule de la Constitution ne se limite à évoquer « tous les héritages culturels, religieux et humanistes de l’Europe, à partir desquels se sont développées les valeurs universelles que sont les droits inviolables et inaliénables de la personne, de la liberté, de la démocratie, de l’égalité et de l’état de droit ».
La stratégie de l’Église catholique consistant à ne pas se limiter à l’évocation de racines «chrétiennes », mais « judéo-chrétiennes »[1], ceci afin d’obtenir l’appui de la communauté juive européenne et permettant d’obtenir en retour la mention d’une dimension biblique de l’Europe, s’avérera être un échec. La chose est d’autant plus tragique que tentait de s’imposer simultanément dans la sphère publique l’idée d’un apport fondamental de la culture arabo-islamique à notre civilisation.
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#118 - Éric Mansion-Rigau pour le livre qu'il a préfacé "Les mémoires de Gabriel de Choiseul"