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culture et histoire - Page 359

  • 1720 et 1763, deux dates essentielles et mal connues

    1720, ce fut la déroute de Law,, la peste de Marseille,  les premiers enlèvements d’enfants dans les rues de Paris.

    1763 c’est la victoire des jansénistes sur les jésuites, la défaite française dans la Guerre de Sept ans, les mensonges de Voltaire dans l’affaire Calas, la première expérience royale d’économie libérale.

    On le paye encore…

  • Amérique réelle, Amérique hyper-réelle 2/3

    Dans un essai de 1946, un an après la défaite totale du national-socialisme, Orwell notait combien le mot « fascisme » avait perdu sa signification originelle : « il n’a maintenant plus aucune signification sauf dans la mesure où il désigne quelque chose qui n’est pas désirable » (…). On peut dire la même chose d’un vaste éventail de référents postmodernes, y compris du terme devenu polymorphe de « totalitarisme », qui date du début des années 20 du siècle passé, quand il est apparu pour la première fois et n’avait pas encore de connotation négative. Et qui sait s’il aura toujours cette connotation négative si on part du principe que le système américain, monté en épingle, pourrait, en cas d’urgence, utiliser des instruments totalitaires pour garantir sa survie ?

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  • Spartacus (Eric Teyssier)

    Eric Teyssier, spécialiste de la Rome antique, est maître de conférences à l’université de Nîmes où il dirige le département d’histoire.

    Spartacus ! Ce nom claque comme un coup de fouet. Le cinéma, la télévision et la littérature en font le héros d’un peplum et une sorte d’icône révolutionnaire. Mais que savons-nous vraiment de cet homme dont la destinée historique s’inscrit dans l’espace de deux années ? Spartacus évolue dans l’Italie des dernières décennies de la République romaine.

    Voici l’histoire surprenante, à partir des sources antiques, de ce gladiateur qui en l’an 73 av. J.-C. a mené la rébellion de milliers d’esclaves romains et a tenté de sauvegarder leur vie durant deux années d’errance et d’espérance. Spartacus fut un bon général et un bon tacticien, brave et habile. Il a impressionné son temps.

    Spartacus, Eric Teyssier, éditions Perrin, collection Tempus, 384 pages, 9,50 euros

    A commander en ligne sur le site de l’éditeur

    https://www.medias-presse.info/spartacus-eric-teyssier/77618/

  • La Marche rouge – Épisode 6 : Aux armes !

    La marche rouge

    Trente ans après les terribles émeutes de 1720, quand les bandouliers de la Régence enlevaient des jeunes gens, et des enfants, pour les envoyer au Mississippi, ça recommence. Des policiers, payés à la pièce, arrêtent des jeunes gens qui traînent -ou qui déambulent -, des enfants qui mendient, qui jouent,  ou qui simplement rentrent de l’école. La population commence par ne pas y croire. Bientôt elle va comprendre et se soulever. Ce sera la plus grande explosion de violence parisienne entre la Fronde et la Révolution.

    Épisode 6 : Aux armes !

    Pendant que le faubourg Saint-Germain prend feu, des étudiants prennent en chasse un invalide suspect qui trouve refuge à un jet de pierres du Palais de justice. Tandis que le guet réussit à dégager la rue, des jeunes se rendent chez un armurier pour exiger qu’il leur ouvre…

  • Le dernier confident de Louis XVI : l’abbé Edgeworth de Firmont

    L’abbé Edgeworth de Firmont (1745-1807), fils d’un pasteur converti au catholicisme et installé en France, exerça son apostolat dans le Paris pré-révolutionnaire et révolutionnaire. Le 17 mars 1791, il devenait le directeur spirituel de Madame Elisabeth de France qui recherchait un prêtre non assermenté pour exercer ce ministère. Il le resta jusqu’à l’émeute du 10 août 1792 et l’emprisonnement de la princesse au Temple.

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  • La Marche rouge – Épisode 5 : Le soulèvement des domestiques du faubourg Saint-Germain

    La marche rouge

    Trente ans après les terribles émeutes de 1720, quand les bandouliers de la Régence enlevaient des jeunes gens, et des enfants, pour les envoyer au Mississippi, ça recommence. Des policiers, payés à la pièce, arrêtent des jeunes gens qui traînent -ou qui déambulent -, des enfants qui mendient, qui jouent,  ou qui simplement rentrent de l’école. La population commence par ne pas y croire. Bientôt elle va comprendre et se soulever. Ce sera la plus grande explosion de violence parisienne entre la Fronde et la Révolution.

    Épisode 5 : Le soulèvement des domestiques du faubourg Saint-Germain

    Début mai 1750 les enlèvements continuent. Le 21 un enlèvement de trop se fait au nez et à la barbe de domestiques qui lancent la chasse aux cris de « À moi la livrée ! ». Les archers, mobilisés, sont obligés de reculer. Il y aura de gros dégâts matériels et deux morts. À deux pas de la place où se déroule l’émeute, le comte de Maridor reçoit les confidences de son domestique, un certain Robert-François Damiens…

  • Géopôles : Le Parti communiste et ses virus mutants

    Depuis sa création au congrès de Tours en décembre 1920, le Parti communiste n’a cessé de trahir la France. Il fut le collaborateur, non seulement de Staline mais aussi de Hitler aux temps du Pacte germano-soviétique. Il ne cessa par la suite d’être un agent de la politique soviétique en France. Il fut aussi le collabo des Vietminh en Indochine et du FLN en Algérie contre l’armée française… Pourtant, ce parti est toujours dans le paysage politique français et a même un candidat aux présidentielles. Mais qu’en est-il de son influence aujourd’hui ?

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  • Insurrection – Budapest 1956, le cauchemar d’une nation (David Irving)

    David Irving est un écrivain britannique à succès, autour de nombreux livres d’histoire notamment consacrés à la seconde guerre mondiale dont les traductions françaises ont été publiées chez différents grands éditeurs comme Albin Michel ou Robert Laffont, avant d’être banni pour avoir trop mis en doute l’histoire officielle.

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  • Le Who's Who du fascisme européen

    Le Who's Who du fascisme européen est paru en Norvège depuis 6 ans déjà, grâce aux travaux de 3 universitaires d'Oslo, Stein Ugelvik Larsen, Bernt Hagtvet et Jan Petter Myklebust. Le bilan de leurs travaux est paru aux éditions universitaires d'Oslo en langue anglaise, ce qui nous en facilite la lecture, même si l'on serait tenté de déplorer l'anglicisation systématique des travaux académiques. L'intérêt pour le fascisme n'a cessé de croître depuis une quinzaine d'années. On a essentiellement retenu les noms de Nolte en RFA, de son compatriote Reinhard Kühnl, de l'Italien Renzo de Felice, de l'Américain Stanley G. Payne et, plus récemment, de l'Israëlien Zeev Sternhell. Mis à part Nolte, tous ces “fascistologues” figurent dans la table des matières de cette encyclopédie du fascisme de 816 pages. C'est dire le sérieux de l'entreprise et la rigueur historique qu'on acquerra en se livrant à une lecture critique de ces éclairages divers.

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