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culture et histoire - Page 359

  • Où était la France quand la Pangée existait ?

    La théorie de la dérive des continents, démontrée par le scientifique allemand et fils de pasteur Alfred Lothar Wegener (1880-1930, mort de froid lors d’une expédition au Groenland), n’a été validée que lors des années septante. Il est maintenant admis que jadis, la Terre ne formait qu’un seul et unique continent, la Pangée, baignée par un seul et unique océan, Téthys. Elle retrouvera un jour cet état de figure, mais dans très longtemps. Plus longtemps encore qu’il n’en faudra au Stade Rennais pour remporter un trophée…

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  • « L’islam est beaucoup plus proche du communisme que d’une religion » : conférence d’Odon Lafontaine (Olaf) sur les origines de l’Islam

    Intéressante conférence,  politiquement incorrecte, d’Olaf (Odon Lafontaine) sur le secret des origines de l’Islam et sur la lente construction de cette idéologie politico-religieuse, fabriquée historiquement par ses chefs pour justifier leurs actions et y faire adhérer leurs troupes. Un sujet d’une importance capitale au moment où une immigration musulmane de masse, largement endoctrinée, s’introduit dans nos pays de civilisation chrétienne et tandis que des guerres sont menées sous couvert de l’Islam partout dans le monde et notamment à travers d’horribles attentats sur le sol de France, comme aujourd’hui à la gare Saint-Charles de Marseille. Attentat qui a coûté la vie à au moins deux voyageuses.

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  • L’Action Française et l’Islam (IX/XI)

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    Inclusion ou assimilation… 

    les premières réflexions

    En 2016, selon Jean-Paul Gourévitch, la masse des immigrés, en comptant les descendants nés en France, et les irréguliers (évalués à 500 000), avait doublé en 25 ans : elle s’élèverait à 8 millions de personnes, soit 22% de la population. En 2015, le flux s’est emballé avec les offensives islamistes en Libye et en Syrie. L’Union européenne a laissé pénétrer dans la zone Schengen 900 000 Syriens, Afghans, Irakiens, Marocains, Pakistanais, Somaliens, Albanais et Kosovars, presque tous musulmans.

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  • Et Rome s’enfonça dans la nuit (Gilles Cosson)

    Gilles Cosson, polytechnicien, après une carrière d’homme d’affaires, s’est consacré à une recherche spirituelle, est devenu un grand voyageur et un écrivain, auteur de nombreux romans historiques et de quelques essais.

    Ce roman historique décrit le long siège de Rome entamé en l’an 409 par le wisigoth Alaric. Le héros central de l’ouvrage est un personnage imaginaire, un vieux sénateur du nom de Tullius Metellus, qui tente de sauver Rome, se rend à Ravenne pour y rencontrer l’empereur Honorius, un faible, et envisager avec Innocent III, le pape de l’époque, comment assurer la survie d’une civilisation.

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  • Altheim, Spengler, Nietzsche et la décadence, mythe de la Révolution conservatrice

    Dans son analyse du roman antique (Roman und Dekadenz), Franz Altheim note que cette forme très par­ticulière de la littérature antique présente une sorte de désordre stylistique, correspondant à une époque de transformation profonde de la société et de la politique. C'était une époque où s’achevait la civilisation de la polis et que s’affirmait la civilisation alexandrine, concentrée sur les grandes cités cosmopolites, dans des empires tentaculaires. d’Alexandrie à Pergame et à Rome, où disparaissaient les antiques idéaux républicains, triomphait une plèbe urbaine aux origines composites mais homogène dans son style de vie. Dans toute la Grèce, le roman s’était substitué à toutes les autres formes littéraires canoniques, telles l’épopée et la tragédie. Le roman antique s’est formé par les concours de rhétorique sophistique, dans la poésie érotique, l’historiographie, où l’on confondait tous les styles, pour les unifier ensuite dans une forme nouvelle, témoin de la désagrégation des formes anciennes mais néanmoins spécifique.

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  • Idée prussienne, destin allemand 5/5

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    Après 1870, l'Allemagne fut réorganisée en de plus grands ensembles. La Kleinstaaterei — division en petits États — prit fin et laissa la place à un monde “bipolaire” : au Nord, la Prusse (qui avait pris de l'extension à l'Est et à l'Ouest) et la Saxe ; au Sud, le Bade-Würtemberg et la Bavière, dont les attaches culturelles avec l'Autriche étaient plus qu'évidentes et l'adhésion au nouvel ensemble assez réticente. Le Nord l'emportait dans tous les domaines de direction : économique, militaire, démographique et politique. Das Preussentum était un principe d'État, une idée directrice et une éthique. C'était un mythe mobilisateur et unificateur. Au Sud, en Bavière, se manifestaient la part romantique de l'Allemagne, une sensibilité particulière, des coutumes, un art de vivre tournés plutôt vers la patrie charnelle que vers la communauté nationale ; en d'autres termes, une inci­tation à la résistance contre l'unité.

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