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culture et histoire - Page 495

  • Salut à la victoire !

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    L’œuvre de Julius Evola aura marqué d’une empreinte indélébile la Droite européenne et nord-américaine. Et, bien tenu, Europe Maxima ne fait pas exception. Il reste encore des textes inédits en français, sans parler de plusieurs ouvrages qui ne sont plus réédités. Les prix de l’occasion pour certains de ces livres sont tout simplement exorbitants !

    Les éditions Kontre Kulture ont beaucoup œuvré pour la redécouverte des livres rares. Leur réédition du maître-ouvrage Révolte contre le monde moderne fut une initiative sans doute attendue depuis fort longtemps, d’autant plus qu’il est fortement conseillé de commencer par cet ouvrage riche, ouvrage qui pose les fondations de la pensée évolienne.

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  • BOUTANG, VU DE HAUT

    La remarquable biographie que Stéphane Giocanti consacre à Pierre Boutang ressuscite la figure fascinante de l’héritier du maurrassisme.

    A la mort de Pierre Boutang, en 1998, la presse, le monde intellectuel et même le président de la République ès qualités (en l’occurrence Jacques Chirac) avaient rendu hommage à un personnage qui, journaliste, essayiste et militant politique, mais aussi philosophe, poète et traducteur, avait toute sa vie occupé sa place dans la vie publique, même si ses idées l’avaient marginalisé. Mais aujourd’hui, qui sait qui il fut ? C’est pourquoi il faut saluer la scrupuleuse biographie que lui consacre Stéphane Giocanti, déjà auteur d’une biographie de Maurras (2006), d’Une histoire politique de la littérature (2009) et d’un essai biographique sur Alphonse, Ernest, Léon et Lucien Daudet (2013). Familier de Boutang, Giocanti a notamment consulté ses cahiers et carnets inédits, environ 13 000 pages dactylographiées ou manuscrites dont la rédaction s’est étalée entre 1935 et 1997.

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  • Le massacre de Verden en 782

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    A l'heure où les inquisiteurs de la bien pensance nous demandent de ramper et de battre notre coulpe dans des commémorations repentantes à l'indignation sélective et criminelle, nous ne devons pas oublier les longues cohortes de fantômes, oubliés, brûlés, décapités, noyés par villes, tribus et nations entières... au nom de la "religion de l'amour" !
    Ils sont eux aussi de notre Histoire !
    Ainsi de Verden, ce massacre oublié, pire : honoré dans l'historiographie officielle carolingienne et chrétienne !... Vae Victis !

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  • Le dernier empereur d’Occident 3/3

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    Assassinat de l'empereur Julien (331-363)...

    "le plus grand homme qui peut-être ai jamais été", Voltaire.

    Toute sa vie, Julien respectera scrupuleusement la morale mithriaque, exigeante et chevaleresque: loyauté, maîtrise de soi, bonté et piété. Une des premières mesures de l'autocrate est de proclamer la liberté religieuse, pour les païens, dont les temples en Orient étaient pillés par le clergé, pour les hérétiques. Ces derniers sont libres de rentrer d'exil, de sortir de la clandestinité, à la grande fureur des orthodoxes.

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  • Le dernier empereur d’Occident 2/3

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    Assassinat de l'empereur Julien (331-363)...

    "le plus grand homme qui peut-être ai jamais été", Voltaire.

    Assassinat de l'empereur Julien le Philosophe

    L'Histoire, est écrite par les vainqueurs, leur offrant ainsi la tentation humaine d'embellir leurs actions. Mais parfois, la haine dicte aussi leur témoignage qui alors humilie lâchement leur adversaire pourtant déjà à terre, alors le manque de noblesse du vainqueur, le rend indigne des lauriers que le sort de la bataille lui a décerné...

    C'est ainsi que l’empereur romain Flavius Claudius Julianus, lâchement assassiné par un soldat romain chrétien. le 26 juin 363.. est communément désigné sous le nom insultant de "Julien l'Apostat" (L’apostasie signifie le renoncement consenti et réfléchi à faire partie d’une organisation religieuse).

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  • La conception de la nation de Fichte par Lionel BALAND

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    Le philosophe Johann Gottlieb Fichte, né à Rammenau, près de Dresde, en 1762, et décédé à Berlin, en 1814, est une des grandes figures de l’Idéalisme allemand, aux côtés d’Emmanuel Kant (1724 – 1804), de Georg Wilhelm Friedrich Hegel (1770 – 1831) et de Friedrich Wilhelm Joseph von Schelling (1775 – 1854).

    Parmi les productions littéraires les plus connues de Fichte figurent les Discours à la nation allemande, tenus durant l’hiver 1807 – 1808, alors que les armées de Napoléon occupent la Prusse, à Berlin et publiés en 1808 dans cette ville. Ils visent à réveiller le sentiment national allemand et à la réalisation d’un État regroupant les Allemands.

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  • La diplomatie de Staline 2/2

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    [Ci-contre : Churchill, Roosevelt, Staline à la conférence de Yalta, fév. 1945]

    Les Britanniques et les Américains sont surpris : ils avaient cru que l'Uncle Joe allait avaliser sans réticence leur politique maximaliste, en rupture totale avec les usages diplomatiques en vigueur en Europe. Mais Staline, comme le Pape et Bell, l'Evêque de Chichester, s'oppose au principe radicalement révolutionnaire de la reddition inconditionnelle que Churchill et Roosevelt veulent imposer au Reich (qui demeurera, pense Staline, en tant que principe politique en dépit de la présence éphémère d'un Hitler). Si Roosevelt, en faisant appel à la dictature médiatique qu'il tient bien en mains aux États-Unis, parvient à réduire au silence ses adversaires, toutes idéologies confondues, Churchill a plus de difficulté en Angleterre. Son principal adversaire est ce Bell, Évêque de Chichester.

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  • Le dernier empereur d'Occident 1/3

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    Assassinat de l'empereur Julien (331-363)...

    "le plus grand homme qui peut-être ai jamais été", Voltaire.

    Assassinat de l'empereur Julien le Philosophe

    L'Histoire, est écrite par les vainqueurs, leur offrant ainsi la tentation humaine d'embellir leurs actions. Mais parfois, la haine dicte aussi leur témoignage qui alors humilie lâchement leur adversaire pourtant déjà à terre, alors le manque de noblesse du vainqueur, le rend indigne des lauriers que le sort de la bataille lui a décerné...

    C'est ainsi que l’empereur romain Flavius Claudius Julianus, lâchement assassiné par un soldat romain chrétien. le 26 juin 363.. est communément désigné sous le nom insultant de "Julien l'Apostat" (L’apostasie signifie le renoncement consenti et réfléchi à faire partie d’une organisation religieuse).

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