culture et histoire - Page 498
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Valeurs héroïques contre valeurs bourgeoises ! (Georges Valois)
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Un tabou de l'histoire contemporaine : l'attaque allemande contre l'Union Soviétique en juin 1941
Le 22 juin de cette année, il y avait tout juste 50 ans que la Wehrmacht était entrée en Russie. Notre époque se caractérisant par un engouement pour les dates-anniversaires, médias et politiciens ont eu l'occasion de se manifester et de faire du tapage. Mais on savait d'avance ce qu'ils allaient nous dire. Ils nous ont rappelé que l'Allemagne, pendant la Seconde Guerre mondiale, avait utilisé des méthodes criminelles (l'ordre de déclencher l'Opération Barbarossa) et concocté des desseins tout aussi criminels (le Plan de la réorganisation politique et économique des territoires de l'Est). Et que c'est pour promouvoir ces méthodes et réaliser ces desseins que les Allemands ont combattus. Avec des reproches dans la voix, avec des trémolos de honte, on nous a remémoré que toutes les institutions politiques, y compris la Wehrmacht, ont participé à ces crimes.
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LE TEMPS DES CAMPS
Le 12 novembre 1949, Le Figaro littéraire publie un article portant ce titre : « Au secours des déportés dans les camps soviétiques. Un appel aux anciens déportés des camps nazis ». Constatant que « des témoignages accablants sont produits en nombre toujours plus considérable sur les camps de déportation soviétiques », le texte réclame une commission d’enquête sur le sujet, commission formée « d’anciens déportés politiques éprouvés », rescapés des camps nazis. L’article est accompagné d’une carte des régions de déportation en URSS – le mot « goulag » y figure.
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Perles de Culture n°287 : Monarchie, République et libertés
Anne Brassié reçoit le docteur Jean-Yves Pons pour son blog « Conseil dans l’espérance d’un roi » sur l’échec de la République, l’apathie des Français, la restriction des libertés…
https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n287-conseil-dans-lesperance-dun-roi
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Une histoire de la Nouvelle France, Partie Deux.
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Une Histoire de la Nouvelle France Partie 1
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Le site Medias-presse-info consacre un article au Cahier d'Histoire du nationalisme n°19 sur les mouvements nationalistes en Belgique de 1945 à 2000
Source Médias presse info cliquez ici
Hervé Van Laethem a derrière lui déjà plusieurs décennies de militantisme nationaliste en Belgique. Au cours des dernières années, il s’est illustré à la tête du mouvement NATION. Il est également très présent et actif parmi les réseaux établis entre mouvements nationalistes à travers l’Europe. C’est également un fin connaisseur de la géopolitique syrienne qui a été reçu à plusieurs reprises par les autorités de ce pays, y compris par le président Bachar el-Assad.
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Avant-Garde d’Europe
Certains d’entre nous militent dans un parti ou un mouvement politique radical ; d’autres dans un parti populiste ; d’autres encore participent aux activités d’un centre d’études, d’un magazine ou d’une association ; d’autres enfin se réclament d’une communauté précise.
Nous venons de différents pays européens et nous voulons nous rendre utiles, comme avant-garde d’une tendance.
Comment pouvons-nous être utiles en SYNERGIE – en tant que véritables “unités impériales” – à la cause nationale-révolutionnaire européenne?
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Charles Maurras et l’Histoire
Une fois n’est pas coutume : j’ai accepté, pour une raison de calendrier (les 150 ans de sa naissance), de me pencher sur un personnage qui sort du cadre habituel de mon étude qui est le XVIIIe siècle : Charles Maurras.
Né au XIXe siècle et mort au XXe (1868-1952), Charles Maurras a suscité et suscite encore bien des passions. Nous y reviendrons dès que possible.
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1941 : les Soviétiques préparaient la guerre !
Pendant des décennies, l'attaque allemande contre l'Union Soviétique, commencée le 22 juin 1941, a été considérée comme l'exemple par excellence d'une guerre d'extermination, préparée depuis longtemps et justifiée par des arguments raciaux. L'historiographie soviétique qualifiait en outre cette guerre de “guerre de pillage” et ajoutait que l'Allemagne avait trahi ses promesses, avait rompu la parole donnée. Jusqu'en 1989, le Pacte Hitler/Staline des 23 et 24 août 1939 avait été interprété de cette façon dans l'apologétique soviétique. L'observateur des événements était littéralement noyé sous un flot d'arguments qui visaient à étayer au moins 2 thèses :
- 1) La signature du traité a empêché Moscou d'être impliqué dans les premiers événements de la guerre européenne, qui aura ultérieurement comme victime principale l'URSS ;
- 2) Le pouvoir soviétique a vu d'avance le plan des “impérialistes” et l'a contrecarré ; il visait à détourner l'armée allemande vers l'Est. L'Union Soviétique aurait ainsi été la victime, à l'été 1941, de sa fidélité à la lettre du pacte et de sa volonté de paix. Cette loyauté, l'URSS l'a payée cher et a failli être complètement détruite sur le plan militaire.