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LA DÉCADENCE VESTIMENTAIRE DES POLITIQUES
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L'Occident est-il décadent ? Un débat entre Olivier Piacentini et Daniel Conversano - Russie, Europe
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La France, vers une nouvelle nation paysanne ?
Chaque année à la fin de l’hiver, la France se rappelle, quelques jours, qu’elle a été une grande nation paysanne, d’abord paysanne : c’est le Salon de l’Agriculture qui est l’occasion de ce rappel, de ce souvenir, de cette nostalgie même. Mais c’est aussi le temps des discours convenus des politiques et des officiels du Pays légal, qui viennent caresser les bêtes et leurs éleveurs dans le sens du poil, et qui les oublient la semaine suivante et toutes les autres, sauf, étrangement, en période électorale.
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PALMADSHOW - Avec Jonathan Sturel et Alexandre Simonnot - Le Forum du PdF (23/02/2023)
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L’enracinement politique. Stéphane Ravier en conférence à Nantes le samedi 4 mars 2023
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Louis-Antoine, un nouveau venu dans la musique dissidente : Dieu, la France et le Roy
Thierry DeCruzy
Nouveau venu dans la musique dissidente, Louis-Antoine nous propose un album de dix chansons de sa composition. Engagées, elles sont prometteuses. Le style rappel Brassens, par le jeu de guitare, mais sur une autre voie… L’artiste est musicien, de formation classique, et a déjà bourlingué dans la chanson sous d’autres styles. Musicalement, il est passé “du côté obscur de la Force”, suivant l’expression consacrée pour signifier qu’il est entré dans la dissidence, corps et âme. Effectivement, sa démarche est totale : politique et spirituelle comme l’illustrent ses compositions. Il chante ainsi Dieu, la France et le Roy, titre éloquent de son album.
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Malaise à la ferme
Yves Thréard
Derrière des paysages bucoliques, l’agriculture française souffre de plus en plus. Quelques chiffres suffisent à planter le décor, à traduire le malaise qui court les campagnes. En moins de dix ans, notre balance commerciale agricole est passée d’un excédent de 6 milliards d’euros à un déficit de 300 millions. Aujourd’hui, notre pays achète un poulet sur deux à l’étranger, importe 40% de ses légumes et 60% de ses fruits. C’est dire si l’excellence française donnée en spectacle au Salon de l’agriculture, grand-messe annuelle qui s’ouvre ce matin, n’est qu’une façade trompeuse. Elle est loin de garantir l’indépendance alimentaire que la crise sanitaire a plus que jamais mise au goût du jour.
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Malaise à la ferme
Yves Thréard
Derrière des paysages bucoliques, l’agriculture française souffre de plus en plus. Quelques chiffres suffisent à planter le décor, à traduire le malaise qui court les campagnes. En moins de dix ans, notre balance commerciale agricole est passée d’un excédent de 6 milliards d’euros à un déficit de 300 millions. Aujourd’hui, notre pays achète un poulet sur deux à l’étranger, importe 40% de ses légumes et 60% de ses fruits. C’est dire si l’excellence française donnée en spectacle au Salon de l’agriculture, grand-messe annuelle qui s’ouvre ce matin, n’est qu’une façade trompeuse. Elle est loin de garantir l’indépendance alimentaire que la crise sanitaire a plus que jamais mise au goût du jour.
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LA FRANCE DEVIENT MOCHE !
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Bistrot des Moutons n°2